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Les Âges sombres
Pierre Demarty (traduit par)
Date de parution : 16/05/2012
Éditeurs :
Sonatine

Les Âges sombres

Pierre Demarty (traduit par)
Date de parution : 16/05/2012

Avec La Compagnie des menteurs, Karen Maitland a renouvelé le thriller historique. Avec Les Âges sombres, elle confirme sa maîtrise absolue du genre.

Avec La Compagnie des menteurs, Karen Maitland a renouvelé le thriller historique. Avec Les Âges sombres, elle confirme sa maîtrise absolue du genre.

1321. Les habitants d’Ulewic, une petite cité isolée...

Avec La Compagnie des menteurs, Karen Maitland a renouvelé le thriller historique. Avec Les Âges sombres, elle confirme sa maîtrise absolue du genre.

1321. Les habitants d’Ulewic, une petite cité isolée de l’est de l’Angleterre, sont sous le joug de leur seigneur et de l’Église, celle-ci ayant supplanté, depuis quelques années,...

Avec La Compagnie des menteurs, Karen Maitland a renouvelé le thriller historique. Avec Les Âges sombres, elle confirme sa maîtrise absolue du genre.

1321. Les habitants d’Ulewic, une petite cité isolée de l’est de l’Angleterre, sont sous le joug de leur seigneur et de l’Église, celle-ci ayant supplanté, depuis quelques années, le paganisme qui régnait dans la région. Non loin du village s’est installée une petite communauté chrétienne de femmes, des béguines originaires de Belgique. Sous l’autorité de sœur Martha, elles ont jusqu’alors été assez bien tolérées. Mais les choses commencent à changer. Le pays connaît en effet des saisons de plus en plus rigoureuses, les récoltes sont gâchées, les troupeaux dévastés et le besoin d’un bouc émissaire se fait sentir. Neuf hommes du village, dont on ignore l’identité, vont profiter de la tension qui commence à monter pour restaurer un ordre ancien et obscur. Renouant avec de terribles rites païens, usant de la terreur, du meurtre et de la superstition, ils vont s’en prendre aux béguines, qui devront les démasquer et élucider les secrets du village avant que la région ne soit mise à feu et à sang.

Avec cet ouvrage d’une intelligence et d’une érudition peu communes, Karen Maitland nous entraîne dans un Moyen-Âge d’un réalisme stupéfiant, sans jamais se départir d’un extraordinaire sens de l’intrigue et du suspense. Après La Compagnie des menteurs, élu meilleur livre de l’année par le New York Times et salué par une critique unanime, elle se hisse désormais au rang des grands maîtres du genre, aux côtés d’Umberto Eco ou de Iain Pears.

Karen Maitland est née en 1956. Elle vit en Angleterre, dans le Norfolk. Après La Compagnie des menteurs, Les Âges sombres est son deuxième roman publié en France chez Sonatine Éditions.

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EAN : 9782355841484
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782355841484
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • enmale2lectures 05/11/2023
    Ayant adoré La Compagnie Des Menteurs, je me suis lancé dans son second roman, qui se passe également au Moyen-Âge. Oublions la peste noire, notre compagnie et le loup.. mais entrons dans le village d'Ulewic et particulièrement au sein d'un béguinage. Autant vous le dire tout de suite, ce roman ne dépasse pas LCDM mais il reste très bon et possède encore une fois une panoplie de personnages ultra réalistes et intéressants : Osmanna, Servante Martha, Père Ulfrid, Béatrice (que je déteste) et enfin la petite Pisseflaquette. Donc principalement des femmes. Moi qui préfère suivre les aventures d'un groupe mixte, j'avoue avoir été émue et emporté par ce groupe de femme qui essaie de survivre dans ce monde dirigé par L' Église, donc... des hommes. Ça va être assez compliqué de donner mon avis sans trop en dire car ce gros bébé fait tout de même 760 pages, mais je n'ai pas sentie une seule fois une flemme de lecture ! Ce roman est vraiment intéressant, il aborde beaucoup de sujets, notamment la religion, la place des femmes au moyen âge, la corruption, l'homosexualité, l'avortement et même l'agression envers des enfants... Donc très très joyeux n'est-ce pas ? Karen Maitland a un don pour garder son lecteur accroché de la première à la dernière page, car sa plume est très fluide. Elle a le secret pour écrire des personnages imparfaits et surtout impactants. Ce n'est pas un roman riche en action, où il se passe toujours quelque chose de dingue. Mais on suit les péripéties des béguines et on fini réellement par être attaché à ces femmes fortes qui tentent - malgré le danger - de faire le plus de bien autour d'elles. La fin est assez particulière mais totalement crédible. J'étais moins choqué que dans son précédent roman mais ça reste tout de même intéressant !Ayant adoré La Compagnie Des Menteurs, je me suis lancé dans son second roman, qui se passe également au Moyen-Âge. Oublions la peste noire, notre compagnie et le loup.. mais entrons dans le village d'Ulewic et particulièrement au sein d'un béguinage. Autant vous le dire tout de suite, ce roman ne dépasse pas LCDM mais il reste très bon et possède encore une fois une panoplie de personnages ultra réalistes et intéressants : Osmanna, Servante Martha, Père Ulfrid, Béatrice (que je déteste) et enfin la petite Pisseflaquette. Donc principalement des femmes. Moi qui préfère suivre les aventures d'un groupe mixte, j'avoue avoir été émue et emporté par ce groupe de femme qui essaie de survivre dans ce monde dirigé par L' Église, donc... des hommes. Ça va être assez compliqué de donner mon avis sans trop en dire car ce gros bébé fait tout de même 760 pages, mais je n'ai pas sentie une seule fois une flemme de lecture ! Ce roman est vraiment intéressant, il aborde beaucoup de sujets, notamment la religion, la place des femmes au moyen âge, la corruption, l'homosexualité, l'avortement et même l'agression envers des enfants... Donc très très joyeux n'est-ce pas ? Karen Maitland a un don...
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  • NathalieFerron 26/10/2023
    Même auteure que “La Compagnie des Menteurs”. Des béguines venues de Bruges s'installent à Ulewic, en Angleterre. Après des récoltes gâchées, et la maladie des bêtes qui ont dû être abattues, leur présence commence à en déranger plusieurs. La croyance chrétienne des béguines heurte les croyances païennes des villageois, dérange énormément le prêtre de la paroisse, Père Ulfrid, ainsi que Lord d'Acaster. Qu'arrivera-t-il à ces femmes qui offrent leurs vies à Dieu et leurs bontés aux gens d'Ulewic ? Excellent roman historique qui m’a poussé à faire des recherches sur ce mouvement composé de femmes laïques, célibataires ou veuves. Le mouvement naît au XIIème siècle en Europe du nord, d’une volonté de refuser ce qui est offert aux femmes de l’époque, soit le mariage, soit la vie religieuse. Elles sont donc libres de faire ce qui leur plaît: prier, travailler, écrire, elles enseignent et offrent leurs soins aux malades des villages près du béguinage. Elles sont complètement autosuffisantes car elles travaillent les champs, font divers artisanats qu’elles vendent ou échangent aux marchés. Si l’envie de se marier ou de devenir religieuse se fait sentir, elles sont libres de quitter la communauté de femmes sans reproche. L'intrigue du roman est captivante. À Lire !
  • ElBaathory 24/08/2023
    Suite à une première découverte, synonyme de coup de cœur, j’étais plus qu’impatient de retrouver Karen Maitland et son œuvres Les Âges Sombres, tout fraîchement débarqué chez moi. Étonnement et au vu des avis laissant entendre que La Malédiction du Norfolk était le roman le moins abouti de la romancière, je dois bien admettre avoir moins été emporté par cette lecture que par la précédente. Pour autant et malgré un impact moins important de mon côté, je ne peux nier avoir passé une excellent moment au cours de ce voyage temporel, une fois de plus, des plus réussi. Il est indéniable que l’auteure sait parfaitement de quoi cette dernière traite et les nombreux sujets dévoilés m’ont plus que convaincu et séduits. Une fois de plus j’ai été plus que sensible quant à la place prépondérante des traditions païennes et autres coutumes de l’époque, régentent parfaitement cette période dont j’ai adoré m’enivrer. La plume de Karen Maitland se veut toujours aussi immersive et fluide avec, cette fois-ci, une dimension pieuse et m’ayant permis de faire la rencontre des sœurs Martha, représentantes de la communauté et du mouvement béguinal. En qualité de sujet m’étant inconnu, j’ai trouvé des plus intéressant la peinture réalisée par cette dernière et m’ayant permis de découvrir un mode de vie pieux et singulier dont les codes et autres usages se veulent étonnants. La présence de dieu est aussi représenté par le membre de l’église, le Père Ulrich et ses quelques déboires quant à la gente féminine. Une représentation du sexe féminin également des plus réussie tant ces dernières détiennent une place prépondérante et de véritables rôles. Sorcières, guérisseuses, religieuses et tant d’autres encore, chacune des figures rencontrées détient son lot de secrets ainsi que son nombre de nuances. J’ai adoré réaliser leur rencontre et suivre l’évolution de chacune même s’il m’a parfois manqué de fil conducteur pour appréhender aux mieux l’intrigue dévoilée. En effet et alors que précédemment cette dernière était construite avec facilité, celle-ci se veut complexifiée et bien des points de vues sont apportés quant à son dénouement dont seuls quelques indices sont dissimulés à travers les nombreux chapitres, précédés d’une présentation succincte mais éloquente de nombreux Saints. Bien plus que son scénario, Karen Maitland semble s’être appuyée sur l’ambiance de son œuvre pour marquer son lecteur et c’est chose faite tant l’atmosphère de son roman se veut à la fois sombre mais séduisante mais aussi mystérieuse et angoissante. En centrant son action au sein d’une bourgade sauvage, cette dernière offre un huis clos saisissant dont j’ai pris plus que plaisir à fouler le pavé et autres chemins accompagné d’une nouvelle galerie de portraits des plus variées et diversifiée ainsi qu’à faire tomber certains angoissants masques. C’est pourquoi et sans être aussi captivant que ma précédente lecture, Karen Maitland dévoile un écrit aussi immersif que saisissant dont je me suis enivré de sa sombre et envoûtante ambiance, portée par des personnages aussi pieux que singuliers. Je ressors plus qu’enchanté de cette nouvelle incursion au cœur du moyen âge qui prend vie avec facilité grâce au travail historique réalisé par l’auteure.Suite à une première découverte, synonyme de coup de cœur, j’étais plus qu’impatient de retrouver Karen Maitland et son œuvres Les Âges Sombres, tout fraîchement débarqué chez moi. Étonnement et au vu des avis laissant entendre que La Malédiction du Norfolk était le roman le moins abouti de la romancière, je dois bien admettre avoir moins été emporté par cette lecture que par la précédente. Pour autant et malgré un impact moins important de mon côté, je ne peux nier avoir passé une excellent moment au cours de ce voyage temporel, une fois de plus, des plus réussi. Il est indéniable que l’auteure sait parfaitement de quoi cette dernière traite et les nombreux sujets dévoilés m’ont plus que convaincu et séduits. Une fois de plus j’ai été plus que sensible quant à la place prépondérante des traditions païennes et autres coutumes de l’époque, régentent parfaitement cette période dont j’ai adoré m’enivrer. La plume de Karen Maitland se veut toujours aussi immersive et fluide avec, cette fois-ci, une dimension pieuse et m’ayant permis de faire la rencontre des sœurs Martha, représentantes de la communauté et du mouvement béguinal. En qualité de sujet m’étant inconnu, j’ai trouvé des plus intéressant la peinture réalisée...
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  • Vexiana 14/07/2023
    Tout dans ce roman était fait pour me plaire...en théorie. Déjà la couverture, une personne vêtue cape rouge se détachant sur un paysage sinistre noir et blanc, est intrigante et réussie. Le contexte historique est très propice à une intrigue sombre, dans une Angleterre médiévale où se mêlent christianisme pur et dur, intransigeant et misogyne, et paganisme. Bref, je me suis attelée à cette lecture dont je tiens à souligner de bonnes qualités. Les personnages sont très bien rendus même si ils sont tous absolument détestables. Il n'y en a pas un auquel je me sois attachée. Mais cela n'est pas, en soi, un souci, c'est même, je trouve une des qualités de ce roman. Cela participe à une appréciation du contexte sociologique d'une période qui était très dure et où, souvent , la vie de la plupart ne tenait pas à grand chose. J'ai également bien aimé la façon dont est rendue le rapport à la foi des personnages. L'auteure s'est vraiment attachée à rendre la foi aveugle des chrétiens du Moyen âge : Inconditionnelle et acceptée par tous, même dans un obscurantisme qui fait frémir aujourd'hui. Pour le reste, je dois dire que je me suis beaucoup ennuyée. C'est long, c'est lent, le passage d'un narrateur à l'autre n'est pas toujours judicieux et alourdit le récit d'informations et d'intrigues secondaires dont nous ne connaitrons jamais l'aboutissement. Pas plus que sur la trame principale, finalement. [masquer]Le fin mot de l'incarnation de l'Owlman n'est pas donnée. Mais si cette créature est vraiment fantastique, doit-on en déduire que l'hostie fait également de réels miracles?[/masquer] Je n'ai pas non plus compris l'intérêt de donner des prénoms féminins à des personnages masculins et inversément. Certes, dans un des cas ça participe à une petite intrigue qui dure une trentaine de pages mais sinon, à part embrouiller inutilement le lecteur je n'ai pas saisi l'intérêt. J'écris cette note quelques semaines après avoir terminé le livre et, à froid, je ne retiens surtout que n'ennui et l'aspect brouillon et inachevé. Tout dans ce roman était fait pour me plaire...en théorie. Déjà la couverture, une personne vêtue cape rouge se détachant sur un paysage sinistre noir et blanc, est intrigante et réussie. Le contexte historique est très propice à une intrigue sombre, dans une Angleterre médiévale où se mêlent christianisme pur et dur, intransigeant et misogyne, et paganisme. Bref, je me suis attelée à cette lecture dont je tiens à souligner de bonnes qualités. Les personnages sont très bien rendus même si ils sont tous absolument détestables. Il n'y en a pas un auquel je me sois attachée. Mais cela n'est pas, en soi, un souci, c'est même, je trouve une des qualités de ce roman. Cela participe à une appréciation du contexte sociologique d'une période qui était très dure et où, souvent , la vie de la plupart ne tenait pas à grand chose. J'ai également bien aimé la façon dont est rendue le rapport à la foi des personnages. L'auteure s'est vraiment attachée à rendre la foi aveugle des chrétiens du Moyen âge : Inconditionnelle et acceptée par tous, même dans un obscurantisme qui fait frémir aujourd'hui. Pour le reste, je dois dire que je me suis beaucoup ennuyée. C'est long, c'est lent, le passage...
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  • Carolivra 11/02/2023
    En 1321, en Angleterre, le petit village d’Ulewic est sous le joug du seigneur D’Acaster qui accable ses paysans d’impôts et fait régner la terreur. Le prêtre de la paroisse, quant à lui, peine à rassembler ses ouailles le dimanche à l’église. Dans le même temps, une communauté de béguines s’est installée. Ces femmes vivent en parfaite harmonie et autarcie, suscitant la jalousie des villageois qui doivent, en outre, faire face à des récoltes désastreuses. D’anciennes superstitions refont alors surface: le owlman serait de retour pour restaurer un ordre ancien et punir les béguines… J’ai adoré ce thriller historique au point que je l’ai dévoré en quelques jours. Il m’a été difficile de ne pas le lâcher tant l’autrice maîtrise son intrigue à la perfection. Elle nous plonge dans une période sombre du moyen-âge, marqué par les épidémies de famine, les mauvaises récoltes, la dévastation des troupeaux. On suit à la fois les béguines mais aussi le prêtre du village et certains villageois. Autant de points de vue qui permettent une intrigue dense et passionnante. Il y a d’abord ce prêtre qui a été « muté » dans ce village pour lequel il n’éprouve que de l’aversion. Tourmenté par ses désirs et sa passion, il peine à maintenir son autorité dans le village. La religion catholique prélève, de plus, des impôts et devient de plus en plus impopulaire. Les béguines vont devenir le bouc émissaire du prêtre, celles par qui tous les maux sont arrivés, des sorcières en somme. C’est l’autre point fort du roman, montrer cette communauté de béguines qui vit en autarcie complète. Mais bien vite, ces femmes, vivant seules, sans mari, sans prêtre pour les guider, vont cristalliser toutes les jalousies du village. L’Histoire nous apprend que les femmes, indépendantes, sont toujours la première cible de la religion et du pouvoir. La vie au béguinage nous laisse avec des personnages très différents. Chaque Martha a son rôle et son importance et ce n’est pas le courage qui manque à ces femmes. Il y a enfin le village et ses habitants. Sans éducation aucune, sans possibilité de mener une autre vie, les villageois sont à la merci des puissants. Les superstitions ont toujours lieu et quand des hommes masqués agissent dans la nuit, on y voit très vite la marque du Mal et du Diable. J’ai adoré cette ambiance sombre et poisseuse. Karen Maitland exacerbe les tensions. Avec de solides connaissances historiques, elle livre ici un roman intense qui vous prend à la gorge. Les âges sombres est donc un énorme coup de cœur pour moi, la découverte d’une autrice au talent indéniable. En 1321, en Angleterre, le petit village d’Ulewic est sous le joug du seigneur D’Acaster qui accable ses paysans d’impôts et fait régner la terreur. Le prêtre de la paroisse, quant à lui, peine à rassembler ses ouailles le dimanche à l’église. Dans le même temps, une communauté de béguines s’est installée. Ces femmes vivent en parfaite harmonie et autarcie, suscitant la jalousie des villageois qui doivent, en outre, faire face à des récoltes désastreuses. D’anciennes superstitions refont alors surface: le owlman serait de retour pour restaurer un ordre ancien et punir les béguines… J’ai adoré ce thriller historique au point que je l’ai dévoré en quelques jours. Il m’a été difficile de ne pas le lâcher tant l’autrice maîtrise son intrigue à la perfection. Elle nous plonge dans une période sombre du moyen-âge, marqué par les épidémies de famine, les mauvaises récoltes, la dévastation des troupeaux. On suit à la fois les béguines mais aussi le prêtre du village et certains villageois. Autant de points de vue qui permettent une intrigue dense et passionnante. Il y a d’abord ce prêtre qui a été « muté » dans ce village pour lequel il n’éprouve que de l’aversion. Tourmenté par ses désirs et...
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