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Olympos
Jean-Daniel Brèque (traduit par)
Collection : Ailleurs et Demain
Date de parution : 08/03/2012
Éditeurs :
Robert Laffont

Olympos

Jean-Daniel Brèque (traduit par)
Collection : Ailleurs et Demain
Date de parution : 08/03/2012

Ilium chantait les exploits de la guerre de Troie, surveillée par le scholiaste Thomas Hockenberry pour le compte des posthumains divinisés qui habitent sur Mars le mont Olympos.
Depuis, les choses...

Ilium chantait les exploits de la guerre de Troie, surveillée par le scholiaste Thomas Hockenberry pour le compte des posthumains divinisés qui habitent sur Mars le mont Olympos.
Depuis, les choses se sont corsées. Échappant au scénario d’Homère, Grecs et Troyens, Achille et Hector, se sont alliés pour vaincre les dieux...

Ilium chantait les exploits de la guerre de Troie, surveillée par le scholiaste Thomas Hockenberry pour le compte des posthumains divinisés qui habitent sur Mars le mont Olympos.
Depuis, les choses se sont corsées. Échappant au scénario d’Homère, Grecs et Troyens, Achille et Hector, se sont alliés pour vaincre les dieux et assiéger leur forteresse martienne. Ils profitent de la porte ouverte dans l’espace par les Moravecs, qui leur apportent un sérieux appui.
Mais la porte commence à se refermer…
Sur Terre, les Voynix, qui ont longtemps été les serviteurs des Derniers Hommes, ont soudain entrepris de les massacrer. Les Derniers Hommes, élevés dans la soie, vont devoir apprendre à se battre.
Ophu d’Io et Mahnmut sont envoyés sur Terre pour prévenir un cataclysme qui menace la planète depuis des millénaires, sous la forme d’un sous-marin doté de missiles à trous noirs.
Harman retrouvera-t-il Ada après un périple qui lui fera traverser la moitié de la Terre sous la conduite d’un Prospero qui n’est peut-être que le fantôme d’une Intelligence Artificielle ?
Mêlant avec génie sa vaste culture littéraire à des actions débridées, Dan Simmons fournit toutes les réponses aux énigmes dont il avait peuplé Ilium. Et en suscite quelques autres…
Après Hypérion et Endymion, le nouvel exploit de Dan Simmons, Ilium, a été l’un des plus grands succès de la collection « Ailleurs et demain ».

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EAN : 9782221131510
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782221131510
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • dagoba04 31/12/2021
    Suite et fin du fameux diptyque Ilium- Olympos. Autant vous le dire d'entree, après la claque monumentale que Simmons m'a donné avec Ilium j' en attendais beaucoup de ce deuxième opus. La claque cette fois ci n' est pas arrivée de suite. En effet Simmons pédale dans la choucroute pendant les 300 premières pages de ce pavé qui en fait plus de 1000. Comme le désagréable impression qu'il s'est englué et qu'il a perdu le controle. Je lui pardonne parce que gérer des miliiers de troyens,d'argiens,de moravecs, de post- humains et de milliers de dieux grecs en retombant sur ses pattes ça doit pas être facile tous les jours. Je te pardonne parce que je t' aime cher Dan. Mais mon exigence n' est pas la même avec toi qu'avec d' autres... Hyperion c' est toi bordel ! L' Échiquier du Mal c' est toi! Terreur c' est toi bordel !!!! C' est la rançon du succès. Tu es trop fort,trop génial et trop talentueux pour nous laisser comme ça. Car Simmons est talentueux et génial et après ce démarrage poussif en mode diesel il va a nouveau nous le prouver. L' auteur va donc reprendre la main et faire comprendre à ses personnages, Zeus et Achille en personne que c'est lui qui commande... Et la on retrouve sa Majesté Simmons ! Un festival de science- fiction, un cocktail détonnant d'aventure,de poesie,de littérature et d' action. L' auteur va même rajouter une corde a son arc que je ne lui connaissais pas : L' humour. Le dialogue entre Zeus et Achille m' a tout simplement fait pleurer de rire. Idem pour les échanges entre Achille et son amazone, Dan Simmons s' est lâché sur l' humour sans dénaturer son récit. En résumé : Malgré un retard a l' allumage Simmons signe a nouveau avec Olympos une extraordinaire fresque littéraire. Comme d' habitude.... Suite et fin du fameux diptyque Ilium- Olympos. Autant vous le dire d'entree, après la claque monumentale que Simmons m'a donné avec Ilium j' en attendais beaucoup de ce deuxième opus. La claque cette fois ci n' est pas arrivée de suite. En effet Simmons pédale dans la choucroute pendant les 300 premières pages de ce pavé qui en fait plus de 1000. Comme le désagréable impression qu'il s'est englué et qu'il a perdu le controle. Je lui pardonne parce que gérer des miliiers de troyens,d'argiens,de moravecs, de post- humains et de milliers de dieux grecs en retombant sur ses pattes ça doit pas être facile tous les jours. Je te pardonne parce que je t' aime cher Dan. Mais mon exigence n' est pas la même avec toi qu'avec d' autres... Hyperion c' est toi bordel ! L' Échiquier du Mal c' est toi! Terreur c' est toi bordel !!!! C' est la rançon du succès. Tu es trop fort,trop génial et trop talentueux pour nous laisser comme ça. Car Simmons est talentueux et génial et après ce démarrage poussif en mode diesel il va a nouveau nous le prouver. L' auteur va donc reprendre la main et faire comprendre à ses personnages, Zeus et Achille en personne...
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  • pdupaty 01/09/2021
    Après un premier tome bien consistant, j'ai mis deux ans pour me remettre dans ce diptyque. A la fin d'Ilium, Patrocle n'est pas tué par Hector comme dans l'oeuvre d'Homère mais est enlevé et téléporté loin de Troie, suite à une manigance d'Aphrodite. De ce fait, Achille, au lieu de vouloir tuer Hector, s'allie à ce dernier et déclare la guerre aux dieux olympiens. La guerre de Troie sort donc complètement des rails et Achéens et Troyens s'unissent pour aller combattre les divinités qui se planquent sur le mont Olympos de Mars. Ils profitent de la porte ouverte dans l'espace par les Moravecs, qui leur apportent un sérieux appui. Parallèlement, les humains à l'ancienne se font attaquer par les voynix, des robots qui étaient au départ à leur service et qui se retournent contre leurs maîtres en vue de les exterminer. Ils sont également confrontés au monstre Caliban et ses rejetons, issus de la Tempête de Shakespeare. Ces humains, habitués jusque là à une vie d'oisiveté et d'assistanat, vont devoir apprendre à survivre et à se battre pour échapper à l’extinction. C'est tout aussi touffu et complexe que le premier volume, et j'ai mis un bon mois pour en arriver au bout (sachant que je suis un gros lecteur et que je lis plutôt vite). C'est très bien écrit avec une bonne touche d'humour, qui fait qu'on n'a pas de difficultés à rentrer dedans. Après, c'est quand même assez inégal. D'un côté, c'est un univers d'une grande richesse imaginé par un auteur au talent immense : univers parallèles, auteurs classiques, transhumains interconnectés, robots intelligents, le tout autour d’une Terre détruite par une guerre mondiale... Ce mélange d'Antiquité et de futur lointain est aussi excellent qu'original. Comme pour le premier volume, je trouve les passages sur les personnages de la guerre de Troie et les dieux grecs vraiment passionnants, et moins sur les autres (cependant, j'ai fini par m'attacher à certains humains, que je trouvais horripilants dans Ilium, car ils évoluent d'une manière assez intéressante). Il faut aussi s'accrocher pour comprendre certains passages. Dan Simmons est très érudit mais ma culture générale a ses limites :D Ainsi, je ne connais quasiment rien de Shakespeare (je devrais peut-être m'y pencher un jour car ça m'en donne finalement assez envie) et les personnages de Caliban, Sycorax, Ariel et Prospero ne me parlent pas du tout. Quant aux tentatives d'explications scientifiques, ça parle de physique quantique donc ça me dépasse totalement :D Mais surtout, il y a des longueurs, des passages inutiles ou décousus qui font qu'on a parfois envie de sauter des pages. Et puis la multiplicité des arcs narratifs fait qu'on perd parfois un peu le fil. Et la fin fait vraiment trop hollywoodienne à mon goût ! Au final, j'ai aimé Olympos mais pas autant qu'Ilium. C'est un bon roman de science-fiction, bien écrit, bien documenté et qui a dû demander un immense travail à son auteur. Mais c'est trop dense, inégal et manquant d'un poil de cohésion pour que ce soit un chef d'oeuvre.Après un premier tome bien consistant, j'ai mis deux ans pour me remettre dans ce diptyque. A la fin d'Ilium, Patrocle n'est pas tué par Hector comme dans l'oeuvre d'Homère mais est enlevé et téléporté loin de Troie, suite à une manigance d'Aphrodite. De ce fait, Achille, au lieu de vouloir tuer Hector, s'allie à ce dernier et déclare la guerre aux dieux olympiens. La guerre de Troie sort donc complètement des rails et Achéens et Troyens s'unissent pour aller combattre les divinités qui se planquent sur le mont Olympos de Mars. Ils profitent de la porte ouverte dans l'espace par les Moravecs, qui leur apportent un sérieux appui. Parallèlement, les humains à l'ancienne se font attaquer par les voynix, des robots qui étaient au départ à leur service et qui se retournent contre leurs maîtres en vue de les exterminer. Ils sont également confrontés au monstre Caliban et ses rejetons, issus de la Tempête de Shakespeare. Ces humains, habitués jusque là à une vie d'oisiveté et d'assistanat, vont devoir apprendre à survivre et à se battre pour échapper à l’extinction. C'est tout aussi touffu et complexe que le premier volume, et j'ai mis un bon mois pour en arriver au bout...
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  • lehibook 24/04/2020
    ». Dans cette suite d’Ilium ,on ne peut reprocher à Dan Simmons de la mesquinerie dans son projet mais force est de constater que la multiplicité des arcs narratifs finit par perdre le lecteur . De plus sa volonté de mixer Homère , Shakespeare , Proust , Joyce à un scénario de SF amène à la multiplication de « Tunnels » : citations interminables du côté classique et accablantes explications techniques (Tachyons, trous noir, Brane….) côté SF , plus quelques éléments prospectifs sur le conflit israélo-arabe !! Certes il y a des moments savoureux ( Achille et sa « poufiasse » d’Amazone , les cuites et les galipettes d’Ulysse etc..) mais clairement Simmons ne montre pas la maîtrise exposée dans le cycle d’Hypérion ( tiens il y a Monéta dans Olympos aussi) .
  • Livrepoche 26/08/2019
    Voila que je referme les dernières pages d’Olympos très satisfait d’avoir terminer une oeuvre que je qualifierais d’abord de volumineuse mais on peut ajouter dense, riche en éléments que Dan Simmons a parfaitement mené à son terme. Enfin, presque parfaitement. Il me reste un petit goût. Amertume? Déception d’avoir frôlé le magistral? Avec Ilium, cette histoire est tout juste démente. Je crois n’avoir jamais lu un roman aussi foisonnant, fourmillant d’idées aussi folles les unes que les autres. Mais la cohérence n’est pas perdu car c’est une oeuvre finement réfléchis, savamment mise en scène dans un univers développé à l’extrême. Si on ajoute la présence incongrue (mais crédibles) des guerriers mythologiques d’Homère, on peut dire qu’Olympos est épique. Mais Dan Simmons n’est pas exempt de faiblesses. Si je n’ai aucun problème avec la stigmatisation dans une oeuvre de fiction, il faut à minima qu’elle soit argumentée et un minimum subtile. Dans Flashback, cela ne m’avait pas choqué mais lire une deuxième fois (il y en a peut-être d’autres) l’utilisation du même grand méchant diabolique me dérange. Surtout que cela nous ramène vulgairement à l’actualité alors qu’on se trouvait à des années lumières… La suite sur le blog…
  • VeroniquePascual 21/07/2019
    Je le relis tous les deux ou trois ans depuis que je l'ai! Il me transporte dans un autre monde, riche de références, varié, avec un récit dynamique . Pour moi, c'est un chef d'oeuvre!
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