Lisez! icon: Search engine
Dune - Tome 4 : L'Empereur-Dieu de Dune
Guy Abadia (traduit par)
Date de parution : 20/01/2022
Éditeurs :
Pocket

Dune - Tome 4 : L'Empereur-Dieu de Dune

Guy Abadia (traduit par)
Date de parution : 20/01/2022

Dans des mondes futurs, Atréides et Harkonnen se disputent l'exploitation de l'épice sur Dune, planète hostile peuplée de Fremens et d'immenses vers attirés par les impulsions des moissonneuses. Alors que les cruels Harkonnen complotent avec l'empereur, Paul Atréides, le fils du duc Leto, semble être le messie attendu par les Fremens.

Leto II Atréides, l'Empereur-Dieu de Dune, est désormais un ver des sables à face humaine. À peu près invulnérable et immortel, il a entrevu dans l'avenir une terrible menace :...

Leto II Atréides, l'Empereur-Dieu de Dune, est désormais un ver des sables à face humaine. À peu près invulnérable et immortel, il a entrevu dans l'avenir une terrible menace : l'extinction de l'espèce humaine. Pour la conjurer, il fait respecter impitoyablement, dans l'univers humain, son ordre, le Sentier d'Or. Ainsi,...

Leto II Atréides, l'Empereur-Dieu de Dune, est désormais un ver des sables à face humaine. À peu près invulnérable et immortel, il a entrevu dans l'avenir une terrible menace : l'extinction de l'espèce humaine. Pour la conjurer, il fait respecter impitoyablement, dans l'univers humain, son ordre, le Sentier d'Or. Ainsi, l'Empire a connu trente-cinq siècles de paix. La Guilde et le Bene Gesserit ont les mains liées : c'est Leto qui contrôle sur Dune les dernières réserves de l'indispensable épice de longue vie. Mais les Tleilaxu et les Ixiens fourbissent leurs armes en secret. Et, par sa prescience, Leto voit un avenir où il sera séduit ; il voit aussi que pour sauver l'humanité de la mort, il peut être amené à sacrifier plus que sa vie…

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782266320511
Code sériel : 5245
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 704
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266320511
Code sériel : 5245
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 704
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Lucl 05/03/2023
    Un plaisir de renouveau ! Après plus de 2 mois, c’était un plaisir de lecture et un renouveau dans cette série. En effet les Enfants de Dune m’avait dans l’ensemble plu. Cependant un aspect notamment fantastique m’avait sorti de l’histoire: avec les pouvoirs qu’obtiens Leto II en fusionnant avec les truites des sables. Dans ce tome nous nous retrouvons plusieurs millénaires après la fin des Enfants de Dune. J’ai eu la sensation de découvrir un monde familier mais que je n’aurais pas vue depuis longtemps et je trouve ce côté très réussi. Une redécouverte de Dune qui donne un vent de fraicheur à la saga. Le personnage central de Leto est absolument intriguant et totalement ambigu. Sa transformation en ver et la description qu’en fait Herbert est je trouve entre fascinant et glaçant. On retrouve une inéluctabilité et un plan bien rôdé par le fils de Muad’Dib: le sentier d’or. Je recommande fortement se tome surtout si comme moi le précédent m’a quelque peut frustré. Au final un vrai plaisir qui se rapproche de la découverte et de l’intéret du 1er Tome mais qui reste toutefois pour moi le meilleur tome pour le moment.
  • arcade_d 02/01/2023
    La tragédie de Léto, re-voir, re-lire, le re-tour du « re » Pour la 13ème fois je termine la tragédie de Léto II de Franck Herbert à travers « Les enfants de Dune » et l’Empereur Dieu de Dune ». J’entends la question : 13ème fois ? Pourquoi ? Comme la tragédie de Paul dans « Dune » et le « Messie de Dune », c’est une tragédie. Qui ne va pas revoir « Phèdre » ou « Roméo et Juliette » au théâtre sous prétexte qu’il l’aurait vu précédemment ? La réponse est dans la mise-en-scène, lale metteureuse en scène. Un·e lecteuriste est également un·e metteureuse en scène de ses propres lectures. Iel n’est spectateuriste réellement que dans le souvenir de sa lecture. (Aller, j’arrête avec l’inclusif qui pourtant est nécessaire et je vais plutôt utiliser le féminin qui représente la majorité des lectrices.) Relire c’est faire l’expérience de sa propre évolution en tant que metteuse en scène, de faire l’expérience de ses propres transformations. Relire est un acte de foi. C’est faire confiance à ses propres métamorphoses et d’être capable d’accepter le constat de ses propres changements intérieurs par la nouvelle mise-en-scène qui va surgir à la re-lecture. C’est accepter de s’aventurer sur une... La tragédie de Léto, re-voir, re-lire, le re-tour du « re » Pour la 13ème fois je termine la tragédie de Léto II de Franck Herbert à travers « Les enfants de Dune » et l’Empereur Dieu de Dune ». J’entends la question : 13ème fois ? Pourquoi ? Comme la tragédie de Paul dans « Dune » et le « Messie de Dune », c’est une tragédie. Qui ne va pas revoir « Phèdre » ou « Roméo et Juliette » au théâtre sous prétexte qu’il l’aurait vu précédemment ? La réponse est dans la mise-en-scène, lale metteureuse en scène. Un·e lecteuriste est également un·e metteureuse en scène de ses propres lectures. Iel n’est spectateuriste réellement que dans le souvenir de sa lecture. (Aller, j’arrête avec l’inclusif qui pourtant est nécessaire et je vais plutôt utiliser le féminin qui représente la majorité des lectrices.) Relire c’est faire l’expérience de sa propre évolution en tant que metteuse en scène, de faire l’expérience de ses propres transformations. Relire est un acte de foi. C’est faire confiance à ses propres métamorphoses et d’être capable d’accepter le constat de ses propres changements intérieurs par la nouvelle mise-en-scène qui va surgir à la re-lecture. C’est accepter de s’aventurer sur une nouvelle création ayant pour base la même chorégraphie des mots. Je suis un grand digresseur et mes re-lectures bien souvent entraine cette qualité (?) de la digression. L’oraison carmélite est un acte de Foi. Elle demande de faire le silence de l’âme pour vivre l’expérience de la relation amicale avec Dieu. Cette rencontre est intérieure et digressive. La digression est un chemin doré qui permet de ne jamais rester sur une idée fixe, un problème à résoudre par des mots ancrés. Non l’oraison est comme la danse, le Keiko du Kendo ou une partie de jeu de rôle autour de la table avec des joueuses. La Danse, plus particulièrement la Danse contemporaine qui ne se fixe pas comme la danse classique ou se veut spectaculaire comme les Streets Danses, explore en utilisant et créant un langage non verbal, un langage sacré qui s’aborde par la relation, par la notion de sujet et pas celle d’objet, par la relation subjective et pas l’observation objective, un langage sacré qui provoque une ouverture mystérieuse et profonde chez les danseuses en même temps que les spectatrices. Léto II. Léto est l’Empereur Dieu. Il est Empereur tenant par ses décisions et son armée si particulière le pouvoir temporel, il est Dieu tenant la puissance éternelle qui exige de son armée d’apprendre à Danser, la danse de la vie, celle toujours inattendue. Il existe et en même temps « était-sera » pour construire le chemin doré, le sentier d’or, la voie de la digression permanente qui ouvre sur l’immortalité de la vie et l’éternité de nos vies, il nous y invite aussi à danser sur cette route en participant à sa création. Voilà mon RE-DUNE pour la 13ème fois (j’attends avec impatience la sortie des deux derniers tomes, la tragédie du Bene Gesserit dans la collection ailleurs et demain). Je vous invite à vivre l’expérience du « re » comme revoir « sur la route de Madison » revoir les chorégraphies de Pina Bausch ou Dominique Bagouet et Anne Teresa De Keersmaeker et à voir de la danse contemporaine à vous inscrire à du kendo ou tout art martial et à pratiquer le jeu de rôle. Relisez, empruntez ce sentier d’or. Et si vous le pouvez, poser un acte de foi, priez… Bonne vie à vous tous. ========================================== Critique de la 12ème lecture de 2018 « En fait, le souvenir ne libère rien du tout. Sans l'angoisse spirituelle, qui est une expression non verbale, il ne peut y avoir de signification nulle part. » L'Empereur Dieu de Dune est un chef d’œuvre ! Un chef d’œuvre littéraire. Herbert nous convie à un voyage dans une histoire écrite avec des mots, et qui, sublime paradoxe, illustre la pauvreté des mots pour décrire le réel. Décrire le réel ? Décrire le réel, avec des mots ? Avec tous les mots de toutes les langues de notre histoire humaine ? Cela reste-t-il une supercherie ? le REEL de l'univers, du Cosmos et même au-delà (ce qui n'est ni « ici », ni « là ») refuse de se laisser enfermer dans des mots et dans leur significations réduite, local en temps et en espace. Et pourtant, humains que nous sommes nous cherchons un Sens ! « Dieu » est un mot ! Mais Non-Dieu est également un mot ! Lire le cycle de Dune, et parvenir au coeur de celui-ci, au plus profond, avant de remonter vers sa reconstruction, c'est vivre une expérience. Vivre un Mystère. Il n'y a pas de secret dans l'empereur Dieu de Dune. Un secret est une information qui est caché qui sous-entend qu'il y a une vérité à découvrir ! Non, il n'y a pas de secret ! Il n'y a pas de problème à résoudre dans l'univers, car il n'y a pas de solution ultime de l'ingénieur qui puisse nous sauver. Il y a un mystère ! Oui, il y a un mystère. Et c'est un mystère porté par des mots est une expérience non verbale qui est à vivre. Nous sommes tous à chercher le sens. le sens de la flèche du temps qui va quelque part. Leto, Enfant et Dieu fait le don d'aimer au-delà de tout et de garder le souvenir de tous les choix que nous n'avons pas fait afin de nous offrir alors le sens que nous cherchons temps, une cible à notre flèche. Car à chaque instant nous vivons l'expérience de vivre avec un corps animé par un psyché qui tente d'ouvrir la porte de l'esprit ! Nous vivons en 2019, 40 ans après l'écriture de l'Empereur Dieu de Dune, nous vivons un temps ou les universitaires en science humaine et sociale nous ânonnent à l'unisson de Nietzsche « Dieu est mort » ! Et Nietzsche devint Fou ! Et nous le voyons ce monde, nous le voyons sombrer dans l'hédonisme le plus crasse, le plus trivial. Un monde où nous en venons à confondre Cupidité (cupidon) et Amour, Intelligence (capacité à relier la matière et l'esprit) et Calcul (Combien cela me rapporte t'il ?) Divertissement et quo-naissance. Un monde, où nous finissons par nous laisser nous même calculer par tout les algorithmes de nos frères ingénieurs, à la capacité de calcul importante mais à l'esprit totalement muré. le Jihad Butlérien risque un jour de nous devenir une nécessité, si nous voulons avoir un « à venir » ! Même en votant, en ces temps d'élection Européenne, on ne fait que vouloir résoudre un problème de calcul, on ne vit pas l'expérience de l'esprit qui passe par le coeur ! L'empereur n'autoriserait pas le mensonge de la démocratie. Voter ne sera possible que lorsque nous aurions atteint la maturité de ne plus être calculable, par aucun algorithme et aucun Scientiste. Vivre n'est pas un divertissement ! Lire le cycle de Dune de Herbert n'est pas un divertissement ! Herbert n'est pas Asimov. Non dieu n'est pas mort, il nous attend depuis toujours et pour l'éternité avec seulement son Amour (Agapè, ni éros, ni Philia) ! Ne lisez pas l'Empereur Dieu de Dune : Relisez-le !
    Lire la suite
    En lire moins
  • fleya 27/12/2022
    Après la lecture du 3ème tome qui fut assez laborieuse, je me suis lancée dans ce 4ème tome et bien que le récit reste assez compliqué, j'ai tout même apprécié cette lecture et je l'ai trouvé un peu plus abordable! D'autres auront fait de plus belles critiques que la mienne, aussi ce sera plus une critique pour ceux qui ont peur de se lancer dans ce tome, j'espère que votre lecture sera aussi agréable que la mienne! C'est partie pour le 5ème tome!
  • Lectrice_Allys 18/11/2022
    Ma lecture a été assez mitigée. Dommage. J’ai trouvé que les personnages étaient moins attachants. Pourtant, j’avais beaucoup aimé Leto dans le tome 3, Les enfants de Dune. Mais je n’ai pas trop aimé ce qu’il est devenu. Assez cynique, bien sûr. Mais on ne peut pas s’attendre à autre chose de quelqu’un qui a déjà vécu 3000 ans. Pourtant, ce que j’avais aimé chez lui, c’était sa capacité à aimer et à vivre des émotions intenses. Or, là, on ne le voit plus. A part quelques réflexions par-ci par-là, on ne perçoit pas assez son amour et sa solitude. Il a tout sacrifié pour son Sentier d’Or, pour la sauvegarde de l’humanité. Mais l’auteur passe dessus comme si cela n’avait pas grande importance. Et que dire de Siona et de Duncan Idaho qui sont superficiels et ridicules. Quant à l’histoire elle-même, elle est un peu inexistante, aucune complexité dans les complots. Il y en a un et plutôt linéaire. Je l’avais déjà lu, il y a bien longtemps maintenant, et je ne me souvenais plus de toutes les péripéties mais je suis un peu déçue de ne pas avoir trouvé le niveau des autres tomes.
  • Bastien_P 29/09/2022
    Une fresque en suspension Entre deux auteurs indépendants, il m’arrive encore de lire de “vrais” écrivains ! (Ouh le vilain). Ce coup-ci, le risque était presque inexistant, puisqu’après Dune, Le Messie de Dune et Les Enfants de Dune, j’avançais déjà en terrain connu. Ce cycle est non-seulement une pièce maîtresse de la science-fiction, mais se hisse selon moi parmi les œuvres majeures de la littérature moderne (tous genres confondus). Pourquoi ? Moult raisons à cela. L’élégance du style déjà, que l’on retrouve chez très peu d’auteurs, et qui transforme chaque ligne, chaque page en tableau impressionniste. Des petites touches, çà et là, des décors, des émotions, des réflexions, de la bienveillance aussi. Les mots ont une valeur esthétique, car choisis avec justesse pour mieux percuter et stimuler l’esprit du lecteur. Une véritable expérience spirituelle au delà de la langue. A titre de comparaison, Asimov, à côté, écrit comme un ordinateur ixien mal paramétré. L’histoire ensuite, l’univers créé par Herbert transcende l’idée même d’anticipation. Si son intrigue se déroule plusieurs dizaines de millénaires après notre ère, elle pourrait tout aussi bien se situer autant en amont. Peu importe à vrai dire. Je ne parlerai pas d’atemporalité, puisque le plan dessiné et voulu par l’Empereur-Dieu repose... Une fresque en suspension Entre deux auteurs indépendants, il m’arrive encore de lire de “vrais” écrivains ! (Ouh le vilain). Ce coup-ci, le risque était presque inexistant, puisqu’après Dune, Le Messie de Dune et Les Enfants de Dune, j’avançais déjà en terrain connu. Ce cycle est non-seulement une pièce maîtresse de la science-fiction, mais se hisse selon moi parmi les œuvres majeures de la littérature moderne (tous genres confondus). Pourquoi ? Moult raisons à cela. L’élégance du style déjà, que l’on retrouve chez très peu d’auteurs, et qui transforme chaque ligne, chaque page en tableau impressionniste. Des petites touches, çà et là, des décors, des émotions, des réflexions, de la bienveillance aussi. Les mots ont une valeur esthétique, car choisis avec justesse pour mieux percuter et stimuler l’esprit du lecteur. Une véritable expérience spirituelle au delà de la langue. A titre de comparaison, Asimov, à côté, écrit comme un ordinateur ixien mal paramétré. L’histoire ensuite, l’univers créé par Herbert transcende l’idée même d’anticipation. Si son intrigue se déroule plusieurs dizaines de millénaires après notre ère, elle pourrait tout aussi bien se situer autant en amont. Peu importe à vrai dire. Je ne parlerai pas d’atemporalité, puisque le plan dessiné et voulu par l’Empereur-Dieu repose en partie sur le poids et l’efficacité de cette dimension, mais son message revêt une universalité capable de résonner dans toutes les cultures, et à toutes les époques, passées et futures. Un vrai tour de force que d’assembler, que dis-je, d’unifier les multiples et divergentes couches de l’humanité dans une telle perception globale. Une richesse philosophique et spirituelle sans précédent. C’est ce que je retiendrai de cette fresque impressionnante d’humanisme (alors même qu’il me reste deux volumes à dévorer). Qu’il évoque la religion, dans ses aspects les plus larges comme dans ses répercussions sociétales, l’écologie, l’amour universel, la science et ses dérives, la guerre, la conscience et la mémoire collective, l’évolution de l’espèce et de l’esprit, son analyse et ses espoirs sont très justes. Frank Herbert nous immerge dans cette bulle imaginaire pour mieux distiller des vérités frappantes. Une globalité ahurissante qui ferait presque passer Orwell pour un simple éclaireur. L’Empereur-Dieu a beau m’avoir moins emballé que les précédents – trop de huis-clos, de répétitions de scènes porteuses du même message, et encore moins d’action -, il prolonge néanmoins admirablement le début du cycle. Un être qui poursuit sa transformation millénaire ; un sacrifice au nom des siens, au nom de l’humanité ; un enseignement précieux qui trouvera sa résonance dans l’éternité ; une famille Atréides dont les valeurs subsistent grâce à cet Empereur intransigeant ; des personnages riches, parties intégrantes de cette intrigue sur-mesure, des existences qui importent autant que celle de Dieu lui-même ; et le Ver, l’épice, le climat, le voyage, l’espace, l’harmonie bancale d’un Empire s’élevant sur si peu de choses. Vraiment, Herbert est un chef-d’orchestre capable de nous émerveiller et de nous inspirer. C’est l’effet que ses mots ont sur moi en tout cas. Conscient que son oeuvre ne serait pas accessible au premier venu, il a pris soin de nous prendre par la main (parfois trop) en répétant ses concepts jusqu’à nous les faire intégrer. Ces redondances aux allures d’obsession indiquent surtout combien il lui importe que son message soit entendu, et que l’Homme accepte enfin la mémoire de ses ancêtres, utilise son expérience, son intelligence et son cœur pour s’élever au delà des petites querelles ésotériques, territoriales ou pécuniaires. Lisez Dune, au moins le premier volume, et entrez dans un univers transcendant les individualités !
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la Newsletter Pocket pour trouver le livre dont vous rêvez !
Chaque semaine, riez, pleurez et évadez-vous au rythme de vos envies et des pages que nous vous conseillons.