L'Archipel des oubliés

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• catherinejean 03/04/2024

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  Coup de cœur pour la fin de cette trilogie exceptionnelle ! Dès le tome 2 terminé, l'irrésistible appel du tome 3 s'est fait sentir ! Malgré mon enthousiasme, peut-être aurais-je dû marquer une pause pour savourer pleinement les émotions ressenties, tant les récits de l'auteur sont intenses. La rencontre avec Grace Campbell, personnage au caractère chaleureux, contraste magnifiquement avec l'austérité de Sarah Geringën de la première trilogie de Nicolas Beuglet. Leur relation évolue avec authenticité, ajoutant une dimension profonde et émotionnelle à l'intrigue. La plume de l'auteur reste un délice, précise, percutante et envoûtante. Une fois plongée dans ce livre, il est impossible de s'en détacher. Comme dans ses précédents romans, l'histoire est ancrée dans des faits réels, ce qui lui confère un aspect à la fois glaçant et fascinant, culminant vers une fin d'une profondeur philosophique. Nicolas Beuglet a su une fois de plus captiver mon cœur de lectrice. Le Passager sans visage se détache comme mon favori, mais L'Archipel des Oubliés trouve tout son sens pour clôturer en beauté cette trilogie. Il me reste maintenant le tome 1 à découvrir, une perspective que j'attends avec impatience ! J'aime énormément cet auteur dont les livres que j'ai lus jusqu’à présent sont tous des coups de cœur. J'avoue que "Le Passager sans visage" est mon préféré. "L'Archipel des Oubliés" prend aussi tout son sens pour conclure cette trilogie (dont il me reste le tome 1 à lire prochainement !). Coup de cœur pour la fin de cette trilogie exceptionnelle ! Dès le tome 2 terminé, l'irrésistible appel du tome 3 s'est fait sentir ! Malgré mon enthousiasme, peut-être aurais-je dû marquer une pause pour savourer pleinement les émotions ressenties, tant les récits de l'auteur sont intenses. La rencontre avec Grace Campbell, personnage au caractère chaleureux, contraste magnifiquement avec l'austérité de Sarah Geringën de la première trilogie de Nicolas Beuglet. Leur relation évolue avec authenticité, ajoutant une dimension profonde et émotionnelle à l'intrigue. La plume de l'auteur reste un délice, précise, percutante et envoûtante. Une fois plongée dans ce livre, il est impossible de s'en détacher. Comme dans ses précédents romans, l'histoire est ancrée dans des faits réels, ce qui lui confère un aspect à la fois glaçant et fascinant, culminant vers une fin d'une profondeur philosophique. Nicolas Beuglet a su une fois de plus captiver mon cœur de lectrice. Le Passager sans visage se détache comme mon favori, mais L'Archipel des Oubliés trouve tout son sens pour clôturer en beauté cette trilogie. Il me reste maintenant le tome 1 à découvrir, une perspective que j'attends avec impatience ! J'aime énormément cet auteur dont les livres que j'ai lus jusqu’à présent sont tous des coups de...

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• calyloup13 01/04/2024

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  Découverte de cet auteur en lisant son tout premier ouvrage, cadeau de Noël d'une lointaine année Depuis, je ne l'ai plus lâché et à chaque sortie, je dévorais de plaisir chaque tome Aujourd'hui, je viens de finir le tome 6, le dernier des aventures de Grace et Sarah Ça n'a pas été mon ouvrage favori, au contraire c'était un de ceux que j'ai le moins apprécié mais quel bonheur à chaque fois de lire cette plume si fluide Merci encore et à bientôt !
• Fabrice_lireetlivres 30/03/2024

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  Les deux inspectrices Sarah Gerringen et Grace Campbell poursuivent leur enquête sur Le Passager. Elle prend un tournant très particulier quand elles rencontrent une communauté s'étant donné pour mission de contrer la multinationale Olympe. Du rythme, de l'action et un sujet développé très intéressant. J'ai aimé la dualité entre l'objectif de la multinationale et la réponse trouvée. Pour les lecteurs que nous sommes, forcément ça nous parle. A l'époque de l'ultra-communication où les contenus sont sensés nous aider, on s'aperçoit que, de plus en plus, ces contenus nous dirigent dans une direction qui n'est pas forcément celle que nous aimerions. Big Brother es-tu là ?
• Lunabiax 28/03/2024

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  L’enquêtrice écossaise Grace Campbell est toujours sur les traces du mystérieux « Passager sans visage », dont le projet vise à anéantir l’humanité. Blessée et encore secouée par son denrier affrontement avec le Passager, elle voit arriver avec méfiance Sara Geringën, qui enquête à Oslo sur le même criminel. Malgré leurs tempéraments opposés, les deux femmes finissent par faire équipe. Leur traque les mène d’abord dans un manoir isolé au nord de l’Ecosse, où elles rencontrent une étrange jeune veuve austère, avant de s’envoler pour la Norvège. A travers ce thriller, l'auteur s'interroge sur des problématiques de notre société contemporaine : l'usage des technologies et la main mise progressive des IA et des algorithmes sur notre liberté de penser et nos capacités de socialisation, le transhumanisme et l'épuisement des ressources naturelles. Le récit est mené tambour battant, et les deux enquêtrices sont attachantes. Mais quelques bémols : l’histoire personnelle de Grace et de Sara est pleine de drames et de blessures, et en les dévoilant à petites touches Nicolas Beuglet frôle le pathos ; s’il dénonce non sans justesse les dérives de notre société, il ne craint pas de prendre parti, au risque de paraître complotiste, notamment en ce qui concerne le travail journalistique, l’influence de consortiums ultra puissants ou l’efficacité des algorithmes. L’abondante bibliographie en fin d’ouvrage vient renforcer cette position et crée chez le lecteur un sentiment de malaise : que l’on s’interroge sur les dérives de l’IA et la perte de nos libertés via un récit fictionnel, soit. Mais qu’on écrive noir sur blanc, pour présenter ses sources : « quatre livres qui vont à la source des dysfonctionnements de l’information et qui vous font comprendre pourquoi le public est en droit de se méfier » ou encore qu’on emploie le terme de « formatage du journaliste », c’est un peu limite et vient nourrir la thèse selon laquelle les médias sont à la solde des gouvernements. L’enquêtrice écossaise Grace Campbell est toujours sur les traces du mystérieux « Passager sans visage », dont le projet vise à anéantir l’humanité. Blessée et encore secouée par son denrier affrontement avec le Passager, elle voit arriver avec méfiance Sara Geringën, qui enquête à Oslo sur le même criminel. Malgré leurs tempéraments opposés, les deux femmes finissent par faire équipe. Leur traque les mène d’abord dans un manoir isolé au nord de l’Ecosse, où elles rencontrent une étrange jeune veuve austère, avant de s’envoler pour la Norvège. A travers ce thriller, l'auteur s'interroge sur des problématiques de notre société contemporaine : l'usage des technologies et la main mise progressive des IA et des algorithmes sur notre liberté de penser et nos capacités de socialisation, le transhumanisme et l'épuisement des ressources naturelles. Le récit est mené tambour battant, et les deux enquêtrices sont attachantes. Mais quelques bémols : l’histoire personnelle de Grace et de Sara est pleine de drames et de blessures, et en les dévoilant à petites touches Nicolas Beuglet frôle le pathos ; s’il dénonce non sans justesse les dérives de notre société, il ne craint pas de prendre parti, au risque de paraître complotiste, notamment en ce qui...

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• Unpointcesttout 16/03/2024

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  Troisième volet des aventures de Grâce Campbell : on reprend l’histoire là où elle s’était arrêtée à la fin du tome 2 ; Grace est blessée après avoir tenté de récupérer la clé usb lui permettant d’aider Gabriel à démanteler le réseau Olympe avant que le Passager ne mette en œuvre la phase 3 du Plan . Alors que Grace reprend son enquête , Sarah Geringën , inspectrice de la police norvégienne débarque inopinément . Les deux femmes vont être amenées à faire équipe , un peu malgré elles au début … Ce que j’aime dans ce roman c’est l’atmosphère qui repose aussi bien sur les descriptions des paysages tourmentés que sur les réactions des personnages . Les deux inspectrices jouent aux super héroïnes en mode James Bond, la séduction en moins …oui, bon …, certaines péripéties à répétitions en mode « Rambo » sont peu crédibles …mais nous sommes dans un roman j’accepte …! Par contre ,la conclusion de l’intrigue m’a un peu déçue cette fois : je n’aime pas les fins ouvertes qui laissent penser à tout et n’importe quoi , c’est personnel ! « Un point c’est tout. »