« I am, I am, I am, est une étude passionnante et splendide de la mort, qui laisse le lecteur à bout de souffle, reconnaissant et pleinement vivant… Je n’oublierai jamais ce livre. »
Ann Patchett, auteure de Anatomie de la stupeur
« Extraordinaire… Dérangeant et captivant – un véritable page-turner… Gracieux, élégant, foisonnant de détails originaux. La prose de Maggie O’Farrell semble invincible. Un essai qui a l’éclat d’une fiction. »
The Guardian (roman du mois, août 2017)
« Électrique… Stupéfiant… Un texte qui devrait être lu par chacun… Je peux compter sur une seule main les livres qui m’ont tiré des larmes… I am, I am, I am fait partie de ceux-là. »
The Irish Times
"Parler de la Grande Faucheuse pour mieux célébrer la vie, voici le pari réussi du nouveau roman de Maggie O'Farrell [...] La prose de Maggie O'Farrell est ici aussi poétique que puissante. I am, I am, I am parle magnifiquement de la peur et des tâtonnements. On le traverse et on le referme avec une même et vive émotion."
Alexandre Fillon / LiRE
"Dans une prose simple, propre à fendre l'âme et le coeur. Maggie O'Farrell livre une réfléxion profonde sur la mort, donc sur la vie. Un immense talent littéraire."
Anne-Sophie Hache / La voix du nord
"Avec une impudeur transcendée par sa langue poétique, Maggie O'Farrell vide ses entrailles pour explorer les arcanes de la condition féminine. Sa parole intime résonne en continu avec les expériences de ses lectrices. Comment s'affranchir de son corps pour écrire, survivre à un monde d'hommes, élever ses petits ? Souvent, un regard suffit, la bienveillance d'une infirmière, le sourire d'un inconnu. C'est cette main qu'elle tend aux femmes dans un geste littéraire singulier et généreux."
Olivia de Lamberterie / ELLE
"Ce qu'il y a de formidable, avec les bons livres, c'est qu'il suffit de quelques lignes pour imaginer un monde. ça marche aussi avec les livres excellents. Comme I am, I am, I am, de l'irlandaise Maggie O'Farrell [...]. Pas gai. Jamais gai. Mais I am, I am, I am est tellement bien écrit qu'il génère une empathie à l'effet quasi euphorisant ; si Maggie O'Farrell raconte ses pires heures, c'est qu'elle n'est pas morte. [...] Maggie O'Farrell, par son écriture imagée et poétique, qui s'amuse des accumulations effrayantes, joue à merveille des contrastes. Le style se fait baume du coeur et des cicatrices. La sidération est à son comble (comment la mort, ou son idée, peut-elle être si présente ?), mais l'auteur, soudain métamorphosée en conteuse, la transformation en leçon de vie flippante et joyeuse à la fois. I am, I am, I am est un bonheur de lecture. La Grande Faucheuse n'est pas près d'écrire aussi bien."
Eric Libiot / L'Express
" Maggie O'Farrell est une auteure irlandaise et dans sa vie, elle a frôlé la mort à 17 reprises. Elle a subi des chocs, des infections, des violences et des blessures et 17 fois, elle s'est relevée, encore plus forte et résiliente qu'avant. Cette autobiographie à l'architecture surprenante, est d'une honnêteté et d'une puissance saisissante. "
Pauline / Librairie L'usage du monde - 75017 - 75017 Paris
Une façon originale d'apprendre à se défendre, de surmonter la peur. Mais ce qui l'emporte est l'humour et la puissance de ces petites résurrections, qui parlent avec sincérité de la force des femmes et de la fragilité de nos vies.
Emmanuelle de Boysson / Version femina
Un grand livre, plein d'angoisse, de résilience, de bonheur, de style. De littérature, en fait.
Jean-Claude Vantroyen / Le Soir
Un roman épuisant et glaçant.
Didier Jacob / L'Obs
Une oeuvre de résurrection, une façon de refuser le mensonge et d'accepter les mystères du lendemain. Un texte original et poétique qui n'hésite pas à trangresser, pénétrant dans une chair qui n'est pas toujours fraîche, glissant vers les eaux profondes pour mieux remonter, plus fort et moins égoïste, peut-être.
Christine Ferniot / Télérama
Ces moments de bascule, au-delà de la merveilleuse manière qu'à Maggie O'Farrel de les partager, pleine de poésie, d'une délicate ironie, d'un regard affûté sur l'humain, nous renvoient rapidement à nous-mêmes. Nous dévorons, certes son formidable recueil autobiographique, mais qui devient pour le lecteur une machine (infernale, troublante) à remonter le passé. Chacun d'entre nous a déjà failli passer de vie à trépas, et pas qu'une fois, une arête coincée dans lla gorge, un virage mal négocié, une rue traversée sans regarder...
Jacques Lindecker / L'Alsace
Chez Maggie O'Farrel c'est sur un point précis du corps que, à la manière d'un rayon laser, la menace chaque fois se localise : sur le cou, les poumons, la colonne vertébrale, les jambes, le bassin, l'abdomen, les intestins, le cervelet ... Ainsi, ces instants cruciaux sont-ils racontés indépendamment de toute chronologie. comme autant de nouvelles finissant par se répondre ou se connecter pour tisser quelque chose de plus grand qu'elles, un peu comme un organsime vivant.
Florence Noiville / Le Monde Des Livres
Un hymne à la vie poétique et puissant.
E. Girard et A. Cordonnier / Prima
Quelle drôle d'idée de se lancer dans la chronique de toutes les morts auxquelles on a échappé... Il fallait bien le talent d'une Maggie O'Farrell, brillante cheffe d'orchestre de cette partition morbide, pour rendre la chose palpitante.
Isabelle Bourgeois / Avantages
" Sur la couverture - très belle - le nombre 17, près de l'organe du coeur, et puis plus loin, ce sous-titre : " dix-sept rencontres avec la mort ". Le titre, Maggie O'Farrell l 'a emprunté à Sylvia Plath dans La Cloche de détresse (Denoel). Pour cette autobiographie, terme qu'elle emploie elle-même dans les remerciements, l'auteure irlandaise, après l'immense succès de Assez de bleu dans le ciel (Belfond et 10/18), a construit un livre déroutant fondé sur l'évocation des nombreuses fois où son corps a échappé à la mort. Les chapitres dressent l'inventaire des années et des parties de ce corps : cou, poumons, intestins, ventre. Dans le dernier, c'est de sa fille dont il est question, et c'est peut-être le plus troublant. Maggie O'Farrell a été confronté, petite, à une grave maladie. Elle interroge, dans ce texte bouleversant, ce qui la fait femme, ce qui la fait mère, ce qui constittue ce corps qui a survécu à la maladie, aux agressions des hommes, aux fausses couches, aux accouchements. "
Madeline Roth / Librairie L'Eau Vive - 84000 - 84000 Avignon
Raconter la mort pour célébrer la vie, voici un pari audacieux remporté avec grâce par cette auteure à la plume précise et très originale.
Marie-Laurence Cattoire / Le Monde des Religions
Raconter la mort pour célébrer la vie, voici un pari audacieux remporté avec grâce par cette auteure à la plume précise et très originale.
Marie-Laurence Cattoire / Le Monde des Religions
Ces textes truculents, à l'humour si délicieusement british, composent une réjouissante ode à la vie.
Sabine Syfuss-Arnaud / Challenge
Très personnel, teinté tantôt d'autodérision mordante, tantôt de poésie, le récit se lit d'un trait.
Sabine Syfuss-Arnaud / Challenge