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Séance infernale
Claude Demanuelli (traduit par), Jean Demanuelli (traduit par)
Date de parution : 13/09/2018
Éditeurs :
Sonatine

Séance infernale

Claude Demanuelli (traduit par), Jean Demanuelli (traduit par)
Date de parution : 13/09/2018
Un thriller obsessionnel et fascinant
 
Quelle est la teneur de Séance infernale, film mythique aujourd’hui perdu ? Et qu’est-il arrivé à son réalisateur, le Français Augustin Sekuler, mystérieusement disparu en 1890 lors d’un voyage en... Quelle est la teneur de Séance infernale, film mythique aujourd’hui perdu ? Et qu’est-il arrivé à son réalisateur, le Français Augustin Sekuler, mystérieusement disparu en 1890 lors d’un voyage en train entre la Bourgogne et Paris ? Le film est-il lié à une série de meurtres qui endeuillent la ville... Quelle est la teneur de Séance infernale, film mythique aujourd’hui perdu ? Et qu’est-il arrivé à son réalisateur, le Français Augustin Sekuler, mystérieusement disparu en 1890 lors d’un voyage en train entre la Bourgogne et Paris ? Le film est-il lié à une série de meurtres qui endeuillent la ville d’Édimbourg ?

Telles sont quelques-unes des questions auxquelles Alex Whitman, chercheur de reliques cinématographiques pour riches collectionneurs, tente de répondre, sans se douter des dangers auxquels il s’expose. De Los Angeles à Genève en passant par Paris, un puzzle diabolique se met en place, sur lequel apparaît peu à peu l’incroyable vérité qui se cache
derrière ce film maudit.

À la façon de Theodore Roszak dans La Conspiration des ténèbres, Jonathan Skariton s’inspire de personnages et de faits réels (la disparition du pionnier du cinéma Louis Aimé Augustin Le Prince), et nous propose une quête passionnante qui devient vite aussi obsessionnelle
pour le lecteur que pour son héros.
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EAN : 9782370561008
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 384
Format : 140 x 220 mm
EAN : 9782370561008
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 384
Format : 140 x 220 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Bazart 28/01/2019
    "Séance infernale" est un thriller vendu comme le "Da Vinci Code du cinéma" selon le bandeau de présentation qu'on trouve en librairie, mais plus qu'au roman de Dan Brown on pense surtout à l'ambiance de Conan Doyle et de Sherlock Holmes.. Dans cet excellent thriller inspiré de faits réels, autour de la disparition à jamais élucidée de Louis Aimé Augustin Leprince, un des pionniers du cinéma, qui disparaîtra mystérieusement en 1890 au cours d'un voyage en train reliant Dijon à Paris,Jonathan Skariton tisse une intrigue dont le décor, la ville d'Édimbourg, est presque un personnage à part entière. Mélant avec un vrai brio fiction et éléments réels, Jonathan Skariton nous livre un puissant thriller, où l'on devine un travail de recherche minutieux, avec une multitude de détails qui ne nuisent en rien à l'intrigue pour coller au plus près de la réalité, et d'un véritable mystère pour au final proposer une expérience immersive vraiment convaincante. Un roman policier audacieux,et totalement maîtrisé.
  • Amnezik666 05/10/2018
    Je remercie chaleureusement les éditions Sonatine et NetGalley pour leur confiance renouvelée. Vous l’aurez certainement remarqué j’ai un faible pour les thrillers et, même si c’est moins évident, pour le cinéma ; difficile, pour ne pas dire impossible de résister à un roman qui combine ces deux éléments et saupoudre le tout d’une bonne dose d’énigmes à résoudre. Je ne sais pas si je peux me prétendre cinéphile, mais il est vrai que je suis un passionné de cinéma depuis de nombreuses années, même si mes goûts personnels me portent plus vers le cinéma contemporain, je connais quand même mes classiques (la preuve, je connais quasiment tous les films cités dans ce roman). J’avais déjà lu que l’attribution de l’invention du cinéma aux Frères Lumière et à Thomas Edison était sujette à caution, mais je dois reconnaître que j’ai été bluffé par le travail de recherche effectué par l’auteur. Si le personnage d’Augustin Sekuler est fictif, il s’inspire d’un inventeur français bien réel, Louis Aimé Augustin Le Prince, qui aurait été un précurseur en matière de cinéma. Et qui, comme Augustin Sekuler, disparaîtra mystérieusement en 1890 au cours d’un voyage en train reliant Dijon à Paris. La comparaison s’arrête à ça, tout le reste n’est que fiction. Je rassure ceux et celles que l’idée de courir après un vieux film rebuterait, il y a bien plus que ça dans ce roman. Un tueur en série particulièrement retors, voilà qui devrait vous motiver davantage. Il faut savoir que si Alex Whitman se donne corps et âme dans son travail, c’est pour essayer de surmonter un drame personnel survenu une dizaine d’années plus tôt : la disparition de sa fille alors qu’il la conduisait au parc de Meadows à Édimbourg. Disparition suivie, quelque temps plus tard, par son divorce. D’enfant il est aussi question dans la vie d’Augustin Sekuler, sa fille Zoe ayant elle aussi mystérieusement disparu. De nos jours aussi à Édimbourg une menace plane sur les enfants, suite à la découverte du corps calciné d’une fillette, l’inspecteur Georgina McBride est persuadée qu’un tueur en série sévit depuis plusieurs années en toute impunité… même si sa hiérarchie ne semble pas partager son point de vue. Vous l’aurez compris sans qu’il me soit utile de le préciser : celui qui a enlevé (et certainement tué) la fille de Whitman dix ans plus tôt et le tueur en série qui sévit encore aujourd’hui sont très certainement une seule et même personne. Mais alors quel rapport avec ce fichu film oublié de tous ? Et bien, ne comptez pas sur moi pour vous le dire ! Je ne suis pas là pour vous raconter le bouquin, mais pour vous donner envie de le lire. L’enquête, avec ses multiples ramifications, est tout simplement captivante. Impossible de lâcher le morceau une fois que vous aurez mordu à l’hameçon. Et faites-moi confiance, l’auteur sait y faire pour que vous appâter. Les chapitres sont courts, l’écriture va à l’essentiel, tout est fait pour assurer un rythme de croisière soutenu. Et qui, bien entendu, ira crescendo au fil des pages ! J’ai beaucoup aimé les personnages de Whitman et McBride, mais il serait franchement injuste de ne pas citer le troisième larron : Charlie, le collègue et ami de Whitman. Pour être tout à fait franc, tous les personnages sont impeccablement travaillés et crédibles. Une intrigue qui fait aussi la part belle à la ville d’Édimbourg, au point que l’on pourrait quasiment la considérer comme un personnage à part entière. Je n’y ai jamais mis les pieds, mais en refermant ce bouquin j’ai eu envie d’aller la visiter, de découvrir tous ces coins et recoins à côté desquels un visiteur non avisé passerait sans les voir. Si la plupart des notes vers lesquels pointent les appels de note vous renseignent sur tel ou tel aspect de l’histoire, d’autres sont nettement plus surprenantes. L’auteur vous invite à revêtir votre tenue d’enquêteur et à les décrypter (sans vous en donner la clé). J’ai envoyé un mail à l’auteur afin d’avoir des explications (à supposer qu’explications il y ait), on verra bien s’il me répondra ou non. Pour un premier roman Jonathan Skariton nous propose un mélange des genres (Indiana Jones Sherlock Holmes affrontent le Da Vinci Code) audacieux, mais totalement maîtrisé.Je remercie chaleureusement les éditions Sonatine et NetGalley pour leur confiance renouvelée. Vous l’aurez certainement remarqué j’ai un faible pour les thrillers et, même si c’est moins évident, pour le cinéma ; difficile, pour ne pas dire impossible de résister à un roman qui combine ces deux éléments et saupoudre le tout d’une bonne dose d’énigmes à résoudre. Je ne sais pas si je peux me prétendre cinéphile, mais il est vrai que je suis un passionné de cinéma depuis de nombreuses années, même si mes goûts personnels me portent plus vers le cinéma contemporain, je connais quand même mes classiques (la preuve, je connais quasiment tous les films cités dans ce roman). J’avais déjà lu que l’attribution de l’invention du cinéma aux Frères Lumière et à Thomas Edison était sujette à caution, mais je dois reconnaître que j’ai été bluffé par le travail de recherche effectué par l’auteur. Si le personnage d’Augustin Sekuler est fictif, il s’inspire d’un inventeur français bien réel, Louis Aimé Augustin Le Prince, qui aurait été un précurseur en matière de cinéma. Et qui, comme Augustin Sekuler, disparaîtra mystérieusement en 1890 au cours d’un voyage en train reliant Dijon à Paris. La comparaison s’arrête à ça, tout le...
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  • Stelphique 22/09/2018
    Ce que j’ai ressenti: ***Clap de début! Et commencer dès le premier chapitre, à sentir l’euphorie d’une course contre la montre, une enquête bien spéciale dans le milieu très privé du cinéma, à la recherche d’un film perdu: Séance Infernale. Jonathan Skariton envoie déjà mille étincelles dans nos yeux, pour captiver toute notre attention! Ça a claqué: les avances d’argent sont tombées, le jeu de piste brûlant, et surtout l’enjeu clairement établi. Notre détective Alex Whitman DOIT trouver ce film, envers et contre tout, à n’importe quel risque, (puisque le prix n’est pas un problème… ). Mais a-t-il seulement existé ce film?!…Et nous, lecteurs, on sent qu’on tient sans doute là, un secret historique bien croustillant! Alors prenez vous, un petit paquet de pop-corn à portée de main, et partons dans les coulisses infernales des balbutiements d’une révolution visuelle… « -aucun ne se rendait compte du trésor qui soupirait non loin d’eux.« ***Clap ouvert… Loin de se contenter de mettre la lumière sur des secrets bien enfouis dans les pellicules poussiéreuses, Jonathan Skariton nous balance dans ses pages, une intrigue retorse dans une atmosphère de flou mystérieux. Deux histoires effroyables qui se jouent dans les temps, les instants oubliés, l’innocence perdue, les images subliminales… Une étrange ressenti de rien pouvoir saisir, de capter à peine un détail qu’il est déjà parti, alors forcément ce livre devient vite, une ritournelle obsédante….Tant de questions nous viennent au cours de cette lecture : Où est la vérité? Combien faudra-t-il enlever d’artifices pour la voir dans toute sa nudité? Combien de feux vont prendre pour étouffer la brillante découverte? Qui est le vrai Prince? « Tout ce temps passé à écumer l’endroit pour finalement ne pas en saisir la véritable essence. » ***Clap fermé… A voir ses milieux très fermés, où tous les coups sont permis, on se rend bien compte des dangers que Alex Whitman va essuyer…Il a été touché par la tragédie, et aucune blessure de ce genre ne guérit jamais, mais ici, le piège se referme sur ces plaies, et on sent que chaque attaque est un tourment de plus à son enfer personnel. Donc lancé sur des pistes occultes et autres travers opaques, il se peut qu’il réveille un ou deux démons (Convoitise, Cauchemar ou encore Pouvoir) dans son sillage…En principe, si les secrets sont bien cachés, c’est que des personnes se sont donnés beaucoup de mal pour les dissimuler, surtout dans la course aux brevets des inventions…Alors, aller remuer les cendres froides du passé, est carrément fou…Bravo Jonathan Skariton pour cette passionnante enquête au cœur des rouleaux d’images! « Quand un homme se sent sur le point de mourir d’une mort absurde, il perd toute notion de bon sens. » ***Clap de fin! J’ai adoré! Jonathan Skariton nous donne un puissant thriller, où l’on devine un travail de recherche minutieux, et des heures de recensement pour coller au plus près de la réalité, et d’un véritable mystère. J’ai été captivée par cette lecture, et je noterais aussi que j’ai été agréablement surprise par l’originalité des « effets » de mise en pages qui se sont glissés dans les lignes, notamment la partition. En bref, allez le voir, partez le lire, collectionnez les petits secrets, et découvrez, peut être, le vrai pionnier du cinéma… #9835; la Tempête était là, qu’elle vienne, que vienne la Tempête, qu’elle arrive. Putain, qu’elle arrive maintenant. #9835; Ma note Plaisir de Lecture 9/10Ce que j’ai ressenti: ***Clap de début! Et commencer dès le premier chapitre, à sentir l’euphorie d’une course contre la montre, une enquête bien spéciale dans le milieu très privé du cinéma, à la recherche d’un film perdu: Séance Infernale. Jonathan Skariton envoie déjà mille étincelles dans nos yeux, pour captiver toute notre attention! Ça a claqué: les avances d’argent sont tombées, le jeu de piste brûlant, et surtout l’enjeu clairement établi. Notre détective Alex Whitman DOIT trouver ce film, envers et contre tout, à n’importe quel risque, (puisque le prix n’est pas un problème… ). Mais a-t-il seulement existé ce film?!…Et nous, lecteurs, on sent qu’on tient sans doute là, un secret historique bien croustillant! Alors prenez vous, un petit paquet de pop-corn à portée de main, et partons dans les coulisses infernales des balbutiements d’une révolution visuelle… « -aucun ne se rendait compte du trésor qui soupirait non loin d’eux.« ***Clap ouvert… Loin de se contenter de mettre la lumière sur des secrets bien enfouis dans les pellicules poussiéreuses, Jonathan Skariton nous balance dans ses pages, une intrigue retorse dans une atmosphère de flou mystérieux. Deux histoires effroyables qui se jouent dans les temps, les instants oubliés, l’innocence perdue, les images subliminales…...
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