À couper le souffle : Le livre de Alexis Laipsker

Je découvre l'auteur avec ce roman , j ai vue en cours de route que c'était un tome 4 mais en soit il se lit bien indépendamment des autres. Dès les premières premières pages on est happée par l' histoire, c'est hyper rythmé, haletant, oppressant. On sent a chaque chapitre l'urgence de la situation, le timing est serré, déjà trois meutre et là c'est la fille du commissaire, les collègues n'ont pas le droit a l échec , inimaginable... Un roman très page turner, de très court chapitre, un rythme effréné de la première à la dernière page. C'est une belle découverte.

Mais quel plaisir de retrouver Montalvert (Menthe à l'eau pour les intimes haha) et Venturi pour une nouvelle affaire ! Et cette fois, une affaire qui les touche de près, car c'est la fille de Venturi qui a été enlevée et il ne lui reste que 17h à vivre... Autant vous dire qu'on est sur les dents dès le début du roman. Comme toujours avec Alexis Laipsker, l'enquête démarre sur les chapeaux de roue et ensuite, on ne peut plus lâcher, tant le suspense et l'angoisse sont présents. Dans ce tome, je n'ai jamais vu Venturi dans cet état. On le sait, c'est un flic-ours avec des méthodes peu orthodoxes et un humour décapant. Mais ici, c'est sa fille qui est enlevée et il est prêt à tout pour la retrouver, même si ça doit mettre sa carrière en jeu. Sa fille est plus importante. Au-delà de l'enquête qui prend aux tripes, l'auteur montre aussi que malgré toutes ces enquêtes, la famille reste importante. Dailleurs, on le sait : Venturi vit pour son travail, mais sa femme et ses enfants sont aussi importants pour lui. Vous vous en doutez, encore une fois j'ai adoré ma lecture (mais en même temps, j'ai aimé tous ses polars donc je n'avais aucun doute là-dessus !). J'ai été prise dans les tourments de Venturi, dans sa colère et son impuissance à retrouver sa fille. J'ai vécu cette course contre la montre comme si sa fille faisait partie de ma famille. En résumé, un polar qui m'a, une fois de plus, totalement absorbée. Mention spéciale aux remerciements de l’auteur à la fin, qui m'ont beaucoup fait rire. Si vous n'avez pas l'habitude de lire les remerciements, eh bien faites-le ici, vous allez rire ! Bref, j'attends maintenant avec impatience le prochain, parce que je sais que je l'aimerais !

Nom de Zeus !!! Quel thriller !! Je crois que des quatre tomes du commissaire Venturi (tous des coups de cœur), c'est mon préféré !! Même si j'ai capté qui était le coupable facilement (je crois que je commence à comprendre les mécanismes du cerveau de Laipsker) , cette tension jusqu'au bout du roman était hallucinante ! Étant un chouilla, juste un chouilla hein, claustrophobe...j'ai manqué d'air à plusieurs moments même si la climatisation etait à fond ou que les fenêtres étaient ouvertes ! Pfiou. Je n'ai pas pu lâcher ce roman ! Ps: J'ai bien aimé les clins d'œil aux grands policiers des copains écrivains de polars. #x1f605

Une claque ! Je ne sais pas, en tout cas je ne m'en souviens plus, si un roman m'avait autant happé avant celui-ci. Car une fois commencé, je n'ai pas pu m'arrêter avant de l'avoir complètement terminé. Je l'ai dévoré en seulement 6h ! Franchement j'ai été prise dans ce tourbillon de stress. Alexis Laipsker signe là, un thriller hyper angoissant, non pas en terme d'horreur (bon je n'essaierais pas non plus d'être enterrée vivante), mais c'est surtout que l'on est embarqué dans une telle frénésie, une course contre la montre qui monte crescendo. Le suspense est intense dès les premières pages. Le lecteur n'a aucune minute de répit. Je me disais même que si je lisais plus vite, ils arrivaient à la retrouver à temps mdr. On retrouve donc le duo Montalvert et Venturi, sur cette affaire le temps leur est compté, une jeune femme est enterrée vivante, et n'a plus que quelques heures à vivre. Mais cette femme ce n'est pas n'importe qu'elle femme, c'est la fille du commissaire Venturi. Emma Venturi n'a plus que 17h à vivre. J'en ai fait des hypothèses, souvent le chapitre d'après elles devenaient infructueuses, mais finalement j'avais raison, bon pas sur les tenants et les aboutissants, ni sur les raisons, mais j'avais bien compris qui était "le Fossoyeur". Mais malgré ça, j'ai adoré ma lecture, je pense Alexis Laipsker détient un art entre les doigts : bon déjà ils nous prouvent qu'il y a toujours une mort encore plus horrible que la précédente, mais surtout il arrive avec des mots à nous embarquer comme si on faisait partie du roman. Tous ses livres sont impossibles à lâcher, des plans machiavéliques, des intrigues à couper le souffle !