Emma dans la nuit : Le livre de Wendy Walker

Emma, 17 ans, et Cass, 15 ans, sont les sœurs Tanner, devenues tragiquement célèbres depuis leur inexplicable disparition. Après trois ans d’absence, Cass frappe à la porte de chez ses parents. Elle est seule. Elle raconte comment sa sœur et elle ont été victimes d’un enlèvement puis retenues captives sur une mystérieuse île. Emma y serait toujours. Mais la psychiatre qui suit cette affaire, le Dr Abigail Winter, doute de sa version des faits et s’intéresse de plus près aux Tanner. Elle finit par découvrir, sous le vernis des apparences, une famille dysfonctionnelle régentée par une mère narcissique. Que s’est-il réellement passé trois ans auparavant ? Cass dit-elle toute la vérité ?... Le narcissisme, voilà un très bon sujet pour un thriller. J'ai apprécié ce frisson psychologique raconté à deux voix, celle d’Abigail Winter, psychiatre et celle de Cassandra. L’auteur nous entraine dans une enquête très prenante, rythmée de séduction, mensonges, manipulation....Wendy Walker réussi avec brio le pari d’accrocher le lecteur tout au long du récit, avec une écriture subtile et addictive. La confrontation entre la famille Tanner et la police laisse une tension permanente tout au long du récit. Un page-turner épatant.

Je ne savais pas que le narcissisme était une maladie, bien que les élections américaines l’ont mis bien à l’évidence avec le plus notoire et illustré malade mental au plus haut échelon du pays. J’ai aussi appris que c’est narcissique était de formidable manipulateur. Quelle surprise… ceci étant dit, le roman est a un niveau de fourberies rarement atteint dans ce que j’ai lu. Comme dirait un coach de hockey notoire; un game dans la game. On assiste à une combinaison de poker à l’intérieur d’une partie d’échec , où tous les coups sont permis. Les personnages sont complexes dans toutes leurs perfidies et sournoiserie retord. La relation entre la psy et le policier m’a semblé obscure, mais , on réalise, que la loyauté est un élément déterminant dans le jugement des autres pour la pay, teintée bien sûr des antécédents familiaux

Je ne savais pas que le narcissisme était une maladie, bien que les élections américaines l’ont mis bien à l’évidence avec le plus notoire et illustré malade mental au plus haut échelon du pays. J’ai aussi appris que c’est narcissique était de formidable manipulateur. Quelle surprise… ceci étant dit, le roman est a un niveau de fourberies rarement atteint dans ce que j’ai lu. Comme dirait un coach de hockey notoire; un game dans la game. On assiste à une combinaison de poker à l’intérieur d’une partie d’échec , où tous les coups sont permis. Les personnages sont complexes dans toutes leurs perfidies et sournoiserie retord. La relation entre la psy et le policier m’a semblé obscure, mais , on réalise, que la loyauté est un élément déterminant dans le jugement des autres pour la pay, teintée bien sûr des antécédents familiaux