Les Optimistes : Le livre de Rebecca Makkai

"Amours, amitiés, trahisons, parsèment cette fresque extraordinairement vivante et foisonnante. L'auteure a su retracer à la perfection ces années de stupeur qui marqueront à tout jamais une époque et plusieurs générations. Un livre à lire absolument, tant pour sa verve romanesque que pour le témoignage de l'époque qu'il apporte."|Nathalie Iris

"Finaliste du Pulitzer, Les Optimistes est le grand roman de la génération sacrifiée du SIDA."|Léonard Desbrières

"Beau roman"|Stéphane Ehles

"J'avais conservé un bon souvenir de "Chapardeuse" son premier roman paru chez Gallimard. Alors quand je vois le nom de Rebecca Makkai à paraître sur les programmes de janvier, j'étais ravie. Je ressors de ce livre très émue. Plus de 500 pages avec une bande d'amis. Par n'importe laquelle, une petite communauté de jeunes hommes, gay, à Chicago en 1985, au moment où l'on découvre le Sida, où l'on comprend qu'il tue, où sur la photo, les uns disparaissent après les autres, sans vraiment comprendre ce qui leur arrive. Car à cette époque, tout un tas d'idées reçues circulent sur ce virus mal connu, aussi bien du côté de ceux qui sont touchés que de ceux qui sont sensés les soigner. C'est la chronique d'un monde qui s'effondre, des certitudes qui vacillent, du chaos que cela engendre, des sensibilités, des humanités, car dans cette période troublée, il y a pourtant des gens qui furent des soutiens inestimables, une solidarité, des gens lumineux, prêts à faire passer la vie des autres avant la leur, quelles que soient les conséquences des années après. On en retrouve certains en 2015, ceux qui ont survécu, qu'ont ils à dire, à raconter, à découvrir? Dans ce roman on parle aussi d'art, de Paris, de transmission, d'amitié, une autre forme d'amour, des formes et des contours de l'amour. C'est un roman magnifique et bouleversant."|Aurélie Janssens

" (Ce roman) nous transporte avec finesse, intelligence et empathie au cœur de ce monde flamboyant et brisé. "|Le 21h/Minuit weekend

" Rebecca Makkai déploie, tout au long de cet épais roman, un savoir-faire romanesque impressionnant, qui jamais n'écrase sa puissance émotionnelle, ni la subtilité des sentiments éprouvés par ses personnages. "|RAPHAËLLE LEYRIS

" Ce roman nous transporte avec finesse, intelligence et empathie au coeur de ce monde flamboyant et brisé."|Solveig Touzé

"Une fresque qui tient toutes ses promesses."

" Rebecca Makkai défie avec passion le nihilisme ordinaire grâce à l'espoir, la conviction que les gens sont bons, que l'avenir sera meilleur, et que le temps ne sert pas à guérir mais bien à se réinventer. "

" C'est une véritable symphonie que Rebbecca Makkai a composée avec Les Optimistes, jonglant avec brio entre les générations et offrant une fusion spectaculaire du passé et du présent, comme de l'universel et du personnel. Un roman magnifique et incroyablement vivant. "

" Rebecca Makkai signe un magnifique roman plein de compassion sur la vie après le désastre. "

" Un roman ambitieux qui pose d'importantes questions sur la rédemption, la tragédie et les liens qui nous unissent. "

" Du mélange savant de deux époques, Rebecca Makkai tire un roman déchirant. "

" Un voyage saisissant... Rebecca Makkai livre une réflexion puissante et inoubliable, non sur la mort, mais sur le pouvoir de la vie. Un roman qui touchera ses lecteurs en plein cœur. "

" Portée par une incroyable empathie, Rebecca Makkai dessine un tableau sensible de la mort et de la maladie peuplé de personnages forts. Un roman tendre et intelligent, aussi captivant qu'émouvant : une combinaison imbattable. "

" Rebecca Makkai est une auteure à suivre. "

" Rebecca Makkai met en lumière cette tragédie de l'Amérique moderne que beaucoup cherchent à oublier. Un roman habile, puissant et d'une grande beauté. "

" L'un des premiers romans à raconter en profondeur l'histoire du sida, des années 1980 à nos jours. Un roman fascinant et bouleversant. "|Michael Cunningham

" Rebecca Makkai porte un regard bouleversant sur l'amour et la mort et évoque non seulement l'horreur de l'épidémie de sida mais aussi la profonde générosité qui s'est formée dans son sillage. "

" Un roman qui a tout pour devenir un classique moderne. "

" Rebecca Makkai offre aux lecteurs un roman incroyable sur l'amitié et la résilience face à la tragédie. "

" Un voyage poignant à travers l'histoire du sida. "

" Parfait pour les amateurs d'histoire fortes et riches en émotions. "

" Autour de personnages habilement construits qui se débattent avec leur passé et luttent pour s'aimer malgré tout, Rebecca Makkai recrée avec précision le Chicago des années 1980, le début de l'épidémie de sida, le Paris contemporain et celui de la Première Guerre mondiale. Un hommage à la force inébranlable de l'amour et de l'art. "

" Tantôt déchirant, tantôt plein d'espoir, ce roman met en lumière les premières années du sida, d'une façon qui éveillera la nostalgie des uns et la curiosité des autres. Rebecca Makkai signe un quatrième roman d'envergure qui démontre que les liens du sang ne sont pas toujours les plus forts. "

" Un roman puissant, qui prend son temps, emprunt de nostalgie, et qui brosse le portrait d'une époque à la fois pleine de liberté et pourtant crépusculaire. Magnifique ! "

"Bouleversant et fascinant."|Gérard de Cortanze

"A travers une galerie de personnages criants de sincérité, la talentueuse Rebecca Makkai montre comment la vie surgit au coeur de la mort, et l'espoir dans la dévastation."|Estelle Lenartowicz

"Un roman foisonnant. Et bouleversant."|Victorine de Oliveira

"Un très ambitieux et lumineux roman sur l'une des plus grandes tragédies du XXe siècle."|Olivia Mauriac

"Un roman mené tambour battant, aux allures d'épopée de combat."|Elisabeth Philippe

"Formidable galerie de personnages."|Ariane Bois

"D'une plume maîtrisée qui explore avec intelligence et acuité la complexité d'êtres brisés sans jamais tomber dans le pathos, Rebecca Makkai redonne vie à une génération sacrifiée."|Geneviève Simon

"S'esquisse un subtil roman de la transmission entre les générations pour perpétuer la mémoire de ceux dont la jeunesse fut sacrifiée."|Mathieu Champalaune