L'immeuble de la rue Cavendish - Tome 5 Léa se lâche : Le livre de Caroline Kant

Cinquième tome de ma saga chouchou qui m’accompagne depuis presque un an maintenant ! #x1f60d Toujours dans l’immeuble de la rue Cavendish, on suit à présent Léa, la fille ainée de Thomas Lefeuvrier, de retour sur Paris après des études à Lille #x1f4bb Pour tout de même garder son indépendance, elle décide de louer l’une des chambres de bonne de Guy Lefort, au dernier étage de l’immeuble #x1f3e2 Généreuse par nature, Léa a tendance à toujours penser aux autres… jusqu’à parfois s’oublier elle-même #x1f97a Dans ce tome, Caroline Kant traite de nombreux sujets comme la crise d’adolescence, le danger des réseaux sociaux ou encore le harcèlement scolaire à travers le personnage de Manon, la petite soeur de Léa, mais aussi la monoparentalité et le fait de réussir à se reconstruire une vie amoureuse avec Thomas #x2764 On retrouve également le fil rouge des autres tomas, à savoir la recherche d’informations sur les petits garçons juifs qui vivaient dans la chambre de bonne pendant la Seconde Guerre mondiale #x1f32a Ici, l’enquête s’accélère, et les premières réponses se dévoilent #x1f440 Bien que j’ai trouvé ce tome un peu moins percutant que les précédents, j’ai tout de même super hâte de découvrir le 6ème et dernier tome de cette saga #x1f929

Je suis volontiers retournée dans la rue cavendish retrouver les habitants de cet immeuble... C'est à chaque fois une lecture que j'apprécie ! C'est un roman léger mais pas tant que ça... On y aborde des sujets sérieux... J'aimerais pouvoir aller toquer chez mes voisins avec de spontanéité et de plaisir... Je recommande volontiers cette série... J'ai hâte de lire le dernier tome... #128214;Après des études loin de la capitale, Léa est de retour à Paris et emménage au sixième étage de l'immeuble de la rue Cavendish. Entre son stage dans une boîte de production (elle rêve de devenir documentariste), son petit ami qui galère financièrement, ses voisins hauts en couleur et sa famille, au premier étage, qui compte (un peu trop) sur elle, elle ne risque pas de s'ennuyer ! D'autant plus qu'elle s'est mis en tête d'enquêter sur le mystère de la chambre de bonne qu'elle occupe... Au milieu de ce joyeux bazar, trouvera-t-elle le temps de profiter de la vie ?

Plonger dans ce cinquième tome, c’est retrouver un cocon chaleureux où chaque personnage, chaque étage, résonne d’histoires riches et émouvantes. Après avoir dévoré les premiers tomes, quel bonheur de retrouver Léa, fille aînée de Thomas Lefeuvrier, et les autres habitants hauts en couleur. À 23 ans, Léa revient de Lille après ses études pour s’installer dans une chambre de bonne au sixième étage, louée par Guy Lefort. Entre un petit ami, Jérémy, qui galère à concilier études et job, et une famille complexe composée de Manon, sa demi-sœur en pleine crise d’adolescence, et Hippolyte, un garçon angoissé depuis la perte de leur mère, Léa est sur tous les fronts. Elle est le pilier de cette famille monoparentale, jouant les baby-sitters pour aider son père, Thomas, dans sa quête de l’amour. Pourtant, à force de se dévouer, Léa oublie parfois de penser à elle-même et à ses rêves : devenir documentariste. Depuis le premier tome, un fil rouge relie les histoires : la chambre de bonne où Léa réside aujourd’hui. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Pierre et René, deux petits garçons juifs, y ont été cachés. Mais que leur est-il arrivé ? Dans ce tome, l’enquête s’accélère, apportant son lot de révélations et de suspense. Comme à son habitude, Caroline Kant traite avec finesse et sincérité des sujets qui touchent à notre quotidien : la monoparentalité, les difficultés de la vie étudiante, les dangers des réseaux sociaux et le harcèlement scolaire et les dilemmes entre carrière et vie personnelle. Chaque thème est abordé avec une sensibilité et une authenticité qui résonnent profondément chez le lecteur. "L’Immeuble de la rue Cavendish" est une série feel-good qui mêle humour, drame, et mystère. On s’attache aux personnages comme à des amis, on rit avec eux, on s’inquiète pour eux, et on partage leurs joies et leurs peines. Ce cinquième tome ne fait pas exception, et il est difficile de tourner la dernière page sans un pincement au cœur. Si vous n’avez pas encore visité l’immeuble de la rue Cavendish, il est temps de poser vos valises au 6e étage. Vous y découvrirez une galerie de personnages aussi touchants que réalistes, et une intrigue captivante qui vous tiendra en haleine.

5e tome et bientôt l'issue de l'enquête en fil rouge depuis le 1er tome... Ici, c'est Léa qui prend la parole. Elle vit dans la chambre de bonne et reçoit régulièrement son petit ami. Elle descend très souvent chez son père avec sa sœur et son petit frère pour partager des repas en famille ou les garder. Elle conseille sa petite sœur. Elle couve son petit frère. Elle suggère à son père d'aller sur des sites de rencontre. Elle fait son stage dans une boite de production de documentaires. Bref beaucoup de monde compte et gravite autour d'elle. C'est sans compter tous nos protagonistes des tomes précédents qui vont lui apporter leur aide ou tout simplement l'écouter. Que dire de plus que j'aime retrouver ses personnages, j'y suis attachée, que je me sens bien dans cet immeuble et surtout que le mystère de la chambre de bonne va enfin être révélé. Déjà dans ce tome, des choses vont être découvertes. En conclusion, si tu n'as pas commencé cette série, n'hésite plus ! Si tu es en cours de lecture, tu dois être comme moi dans l'attente de tout savoir. Alors à très vite pour le dernier opus ! Merci à l'autrice pour cette série si immersive et pleine de sentiments.