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Le petit Sapin de Noël
Philippe Giraudon (traduit par)
Date de parution : 08/11/2018
Éditeurs :
Editions Héloïse D'Ormesson

Le petit Sapin de Noël

Philippe Giraudon (traduit par)
Date de parution : 08/11/2018
Grâce à son écriture subtilement ironique et à ses histoires à rebondissements, Stella Gibbons nous transporte au cœur d’une Angleterre respectablement excentrique.
L’esprit pétillant de Stella Gibbons parcourt ces quinze nouvelles, profondes sous leur apparente légèreté. Qu’il s’agisse de Pompey, de Mr Pavey ou de Miss Garfield, tous les personnages sont confrontés... L’esprit pétillant de Stella Gibbons parcourt ces quinze nouvelles, profondes sous leur apparente légèreté. Qu’il s’agisse de Pompey, de Mr Pavey ou de Miss Garfield, tous les personnages sont confrontés à la morale victorienne corsetée. Vont-ils oser la transgresser et échapper à leur vie si convenable ? Avec générosité et fantaisie,... L’esprit pétillant de Stella Gibbons parcourt ces quinze nouvelles, profondes sous leur apparente légèreté. Qu’il s’agisse de Pompey, de Mr Pavey ou de Miss Garfield, tous les personnages sont confrontés à la morale victorienne corsetée. Vont-ils oser la transgresser et échapper à leur vie si convenable ? Avec générosité et fantaisie, Stella Gibbons dénonce les clichés d’une société ankylosée par les conventions et les qu’en-dira-t-on.
Ces condensés d’humour british, tout en retenue élégante, sont un enchantement. Ils nous transportent dans un monde délicieusement suranné qui vacille.
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EAN : 9782350874777
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 216
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782350874777
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 216
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • madamedekeravel 10/06/2023
    On pourrait penser que ces nouvelles sont un brin conventionnelles sur le plan des relations hommes / femmes, mais il faut replacer ces écrits dans leur contexte. Dans les années 1930, il était surement avant-gardiste de parler de relations sexuelles hors mariage, de familles recomposées ou de femmes qui revendiquent un autre "métier" que femme au foyer. Et puis je ne peux pas résister à cet esprit "so british" qui me fait penser à la série littéraire des Cazalet de Elizabeth Jane Howard, ou à la série télé "Downton abbey". Une lecture agréable donc. #Challenge "Plumes féminines"
  • antigoneCH 17/12/2022
    Ce livre est un achat de bouquinerie, choisi essentiellement pour sa référence à Noël, l’an dernier. J’aime bien, au final, avoir ainsi quelques titres de saison dans ma PAL, à ressortir à l’occasion. Mais là, il faut avouer, que derrière cette couverture un poil trompeuse, qui promettait au mieux une petite histoire feel good de Noël, se cache en réalité un recueil de nouvelles d’une grande dame de la littérature anglaise. Ai-je donc été déçue ? Et bien non, pas du tout, vous l’auriez deviné… En effet, avec humour et sens du détail, Stella Gibbons égratigne avec délectation, dans ses nouvelles, la société anglaise des années 1930. Et si, dans la première nouvelle, qui donne son titre au recueil, il est bien question de Noël, les autres récits n’en font pas vraiment mention. L’autrice cherche plutôt à nous entraîner dans des familles, des intérieurs, où des choix ont été faits, des décisions prises, et où l’idée est aujourd’hui de peser le pour et le contre de cette vie choisie. Est-il encore possible de se laisser aller à l’illusion de la liberté ? Ses personnages se taisent beaucoup, gardent leurs sentiments pour eux, quitte à se retrouver dans des situations inextricables. Heureusement, Stella Gibbons, telle une maître du destin, joue avec eux et finit toujours par les mener exactement où elle le voulait, parfois à notre grand soulagement… Je dois dire que j’ai été enchantée par cette incursion dans la littérature anglaise. Je ne connaissais pas vraiment Stella Gibbons, dont j’ai très envie à présent de découvrir plus largement l’oeuvre. Cette romancière a, en 1927, publié dans une revue littéraire un poème qui a reçu des critiques élogieuses de Virginia Woolf. Et son premier roman » Cold Comfort Farm », publié en 1932, a eu un grand succès. En 1950, elle est devenue membre du Royal Society of Literature. Stella Gibbons n’est donc pas vraiment n’importe qui. Et j’ai ainsi fait, en prenant ce recueil avec de la neige sur la couverture, une belle trouvaille de bouquinerie !Ce livre est un achat de bouquinerie, choisi essentiellement pour sa référence à Noël, l’an dernier. J’aime bien, au final, avoir ainsi quelques titres de saison dans ma PAL, à ressortir à l’occasion. Mais là, il faut avouer, que derrière cette couverture un poil trompeuse, qui promettait au mieux une petite histoire feel good de Noël, se cache en réalité un recueil de nouvelles d’une grande dame de la littérature anglaise. Ai-je donc été déçue ? Et bien non, pas du tout, vous l’auriez deviné… En effet, avec humour et sens du détail, Stella Gibbons égratigne avec délectation, dans ses nouvelles, la société anglaise des années 1930. Et si, dans la première nouvelle, qui donne son titre au recueil, il est bien question de Noël, les autres récits n’en font pas vraiment mention. L’autrice cherche plutôt à nous entraîner dans des familles, des intérieurs, où des choix ont été faits, des décisions prises, et où l’idée est aujourd’hui de peser le pour et le contre de cette vie choisie. Est-il encore possible de se laisser aller à l’illusion de la liberté ? Ses personnages se taisent beaucoup, gardent leurs sentiments pour eux, quitte à se retrouver dans des situations inextricables....
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  • Sicily 06/01/2021
    Cela faisait un moment que j'avais envie de lire ce recueil de nouvelles. Globalement j'ai été déçue. Certaines histoires ont peu d'intérêt : on ne voit pas vraiment où veut en venir l'auteur. Certes le style est plaisant, mais le récit n'aboutit pas. Malgré tout, quelques nouvelles se démarquent, comme "La part du gâteau". Une lecture agréable mais sans plus.
  • CathR 19/01/2020
    Quinze nouvelles dans un esprit british. Ironie, excentricité et humour y sont présents jusque dans les moindres recoins. C'est parfois acide, parfois plus léger mais chacune des nouvelles révèle une vraie tendresse pour le genre humain qui semble souvent perdu... A déguster au chaud avec thé et shortbread pour accentuer le plaisir!
  • DViolante 05/12/2019
    Je ne connaissais pas Stella Gibbons avant d'ouvrir Le Petit sapin de Noël et j'ai découvert un petit bijou de littérature britannique comme je les aime. Il s'agit d'un recueil de nouvelles qui dépeignent la bonne société anglaise entre les deux guerres. Les jeunes gens passent leur temps à s'amuser (ou à tenter de s'amuser) dans des soirées, flirtent et n'ont pas d'autres sources d'intérêts. Puis les couples se forment et les femmes restent à la maison, à attendre leur mari. La bonne et la nurse s'occupent de la maison et des enfants et elles se rendent alors compte de la vacuité de leur vie. Lorsqu'elles tentent de s'affranchir de cette vie étriquée, c'est pour s'apercevoir qu'elles ne sont plus ni jeunes ni compétentes pour se faire embaucher et que le mariage est comme un enclos fermé sur leur couple. Celles qui sont restées célibataires ne s'en sortent finalement pas mieux, puisqu'elles ne rêvent que de mariage ou regrettent un ancien amant. Quant aux classes inférieures de la société, elles ne sont pas en reste en matière de préjugés et d'intolérance. Ainsi la mère d'une jeune fille, mère célibataire, estime qu'il n'est pas convenable que sa fille travaille comme bonne à tout faire chez une femme dont l'amant est mort à la guerre... J’ai adoré l’esprit caustique et le regard critique et désabusé sur une société qui nous semble étrangère et désuète, mais dont la mentalité étriquée n’est hélas pas toujours si éloignée de notre époque… Un gros coup de cœur !Je ne connaissais pas Stella Gibbons avant d'ouvrir Le Petit sapin de Noël et j'ai découvert un petit bijou de littérature britannique comme je les aime. Il s'agit d'un recueil de nouvelles qui dépeignent la bonne société anglaise entre les deux guerres. Les jeunes gens passent leur temps à s'amuser (ou à tenter de s'amuser) dans des soirées, flirtent et n'ont pas d'autres sources d'intérêts. Puis les couples se forment et les femmes restent à la maison, à attendre leur mari. La bonne et la nurse s'occupent de la maison et des enfants et elles se rendent alors compte de la vacuité de leur vie. Lorsqu'elles tentent de s'affranchir de cette vie étriquée, c'est pour s'apercevoir qu'elles ne sont plus ni jeunes ni compétentes pour se faire embaucher et que le mariage est comme un enclos fermé sur leur couple. Celles qui sont restées célibataires ne s'en sortent finalement pas mieux, puisqu'elles ne rêvent que de mariage ou regrettent un ancien amant. Quant aux classes inférieures de la société, elles ne sont pas en reste en matière de préjugés et d'intolérance. Ainsi la mère d'une jeune fille, mère célibataire, estime qu'il n'est pas convenable que sa fille travaille comme bonne à...
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