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Mimosa
Date de parution : 02/11/2017
Éditeurs :
Les Escales

Mimosa

Date de parution : 02/11/2017
Une mère libanaise.
« Maman, Mama, Mimo, Mimo­sa…
Je ne sais plus si c’est ainsi que j’en suis arrivé à t’appeler Mimosa, ce surnom qui te va si bien, toi la passionnée de plantes qui,...
« Maman, Mama, Mimo, Mimo­sa…
Je ne sais plus si c’est ainsi que j’en suis arrivé à t’appeler Mimosa, ce surnom qui te va si bien, toi la passionnée de plantes qui, l’été venu, veillais avec amour sur les rosiers du jardin. Peu à peu, ton surnom est devenu ton prénom.
Tu me...
« Maman, Mama, Mimo, Mimo­sa…
Je ne sais plus si c’est ainsi que j’en suis arrivé à t’appeler Mimosa, ce surnom qui te va si bien, toi la passionnée de plantes qui, l’été venu, veillais avec amour sur les rosiers du jardin. Peu à peu, ton surnom est devenu ton prénom.
Tu me dis, Mimosa, que tu as tout oub­lié, que la guerre t’a volé ta mémoire. Je m’aperçois, quand je discute avec toi, que tes souvenirs sont intacts, mais qu’il faut aller les cher­­cher en profondeur pour les remonter à la surface – un peu comme des épaves. »
 
Dans ce récit court, fait de souvenirs à la fois drôles et émouvants, Alexandre Najjar revient sur la figure de sa mère alors qu’elle vit ses derniers jours. L’enfance, l’éducation, la transmission, la guerre du Liban et bien sûr l’amour sont au cœur de ce livre au charme indicible.
 
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EAN : 9782365693653
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782365693653
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ils en parlent

« [Alexandre Najjar] nous offre ainsi un récit de pieté filiale à I'émouvante simplicité, joliment intitulé Mimosa. » 
La Vie
« A la fin de son beau livre, nostalgique, émouvant et très pudique, son « nous deux encore » à lui, Alexandre Najjar écrit « Aujourd'hui, maman n'est pas morte. » En tout cas, grâce à son écrivain de fils, elle revit. »
 
Livres Hebdo

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Annette55 13/12/2019
    Comme je viens de lire « Franz et Harry » d’ Alexandre Najjar, né à Beyrouth, en 1967, j'ai cherché tout naturellement un de ses autres écrits. Comment ne pas s'attacher à ce court ouvrage , non un roman mais un récit une histoire vraie , où seuls quelques prénoms ont été omis ou modifiés ? Alexandre Najjar écrit à sa mère souffrante. Il retrace à grands traits sa personnalité surnommée «Mimosa»——- ce qui dans le langage des fleurs exprime la sécurité , l'amour, la sensibilité, la générosité : Symbole de L'OR et du SOLEIL , image de vie triomphante et de victoire sur les forces du mal———- cette mère, fille d'un fameux médecin libanais, le docteur Elias, mariée par amour, à 25 ans , à un avocat de quinze ans son aîné , diplômée de droit et de psychologie, ——profession peu exercée ——-car mère de six enfants en un temps très court , dont des couples de jumeaux . Leur arrivée bouleversera sa vie.. Au coeur de ce récit se tissent souvenirs épars, émouvants , fugaces, drôles , sensibles, fouillis de la mémoire, couleurs chaudes et parfums d'Orient , lumineux et / ou douloureux comme l'arrivée de la guerre le 13 avril 1975....images floues , parfums , bruits joyeux du souk dans le Beyrouth d' avant guerre , fêtes , anniversaires , prières , baptêmes..... Avec la guerre : rêves évanouis, cessez- le feu, rafales ,Trajet en pleine zone militaire , déflagrations assourdissantes , bombardements , manque de tout....Changements, éloignements : départ des enfants en France pour leurs études... Mimosa , passionnée de jardinage, dévouée , simple et responsable, fera preuve de courage et d'ingéniosité afin d'extirper sa famille de cet enfer...... Les jours heureux de l'enfance, l'infinie tendresse familiale, l'éducation et la transmission , la guerre , figurent au coeur de ce récit lumineux , délicat, pétri de grâce et d'amour aux côtés ou à travers la figure inoubliable de «  Mimosa » . C'est aussi un hommage bouleversant—-la fois intime et universel —-à toutes les MÈRES qui y sont célébrées , aimées, magnifiées : « La femme sage bâtit sa maison » .. .«  Le monde est vide sans toi.Dans le jardin, tes rosiers ont fleuri, mais tu n'es plus là pour les entretenir .Leurs roses me parlent de toi. Elles ont ta beauté ,ta douceur, ton parfum. Tu es dans chaque fleur, chaque grain de sable, chaque particule de l'univers, invisible mais omniprésente . » Un hymne à l'amour et aux liens familiaux—- au coeur de ce pays si singulier—- qui ne peut laisser personne indiffèrent —— Cela m'a rappelé un ouvrage ,lu il y très longtemps « Le soleil était chaud » de Josette Alia , vaste fresque sur la lente agonie des chrétiens d'Orient , jamais oublié ... Comme je viens de lire « Franz et Harry » d’ Alexandre Najjar, né à Beyrouth, en 1967, j'ai cherché tout naturellement un de ses autres écrits. Comment ne pas s'attacher à ce court ouvrage , non un roman mais un récit une histoire vraie , où seuls quelques prénoms ont été omis ou modifiés ? Alexandre Najjar écrit à sa mère souffrante. Il retrace à grands traits sa personnalité surnommée «Mimosa»——- ce qui dans le langage des fleurs exprime la sécurité , l'amour, la sensibilité, la générosité : Symbole de L'OR et du SOLEIL , image de vie triomphante et de victoire sur les forces du mal———- cette mère, fille d'un fameux médecin libanais, le docteur Elias, mariée par amour, à 25 ans , à un avocat de quinze ans son aîné , diplômée de droit et de psychologie, ——profession peu exercée ——-car mère de six enfants en un temps très court , dont des couples de jumeaux . Leur arrivée bouleversera sa vie.. Au coeur de ce récit se tissent souvenirs épars, émouvants , fugaces, drôles , sensibles, fouillis de la mémoire, couleurs chaudes et parfums d'Orient , lumineux et / ou douloureux comme l'arrivée de la...
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