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Dune, Tome 5 : Les Hérétiques de Dune
Guy Abadia (traduit par)
Date de parution : 10/03/2022
Éditeurs :
Pocket
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Dune, Tome 5 : Les Hérétiques de Dune

Guy Abadia (traduit par)
Date de parution : 10/03/2022

Dans des mondes futurs, Atréides et Arkonens se disputent l'exploitation de l'épice sur Dune, planète hostile peuplée de Fremens et d'immenses vers attirés par les impulsions des moissonneuses. Alors que les cruels Arkonnens complotent avec l'empereur, Paul Atréides, le fils du duc Leto, semble être le messie attendu par les Fremens.

Des milliers d’années ont passé depuis que Leto II le Tyran, l’Empereur-Dieu, est mort. Sa disparition a entraîné un tourbillon de violences, la Grande Famine, la Dispersion de l’humanité à...

Des milliers d’années ont passé depuis que Leto II le Tyran, l’Empereur-Dieu, est mort. Sa disparition a entraîné un tourbillon de violences, la Grande Famine, la Dispersion de l’humanité à travers les univers. Mais l’objectif du Tyran a été atteint : la survie de l’humanité. Dune, maintenant appelée Rakis, est revenue...

Des milliers d’années ont passé depuis que Leto II le Tyran, l’Empereur-Dieu, est mort. Sa disparition a entraîné un tourbillon de violences, la Grande Famine, la Dispersion de l’humanité à travers les univers. Mais l’objectif du Tyran a été atteint : la survie de l’humanité. Dune, maintenant appelée Rakis, est revenue à son désert et n’intéresse plus personne depuis que l’on sait synthétiser l’Épice. Mais là-bas, dit-on, une jeune fille, Sheeana, semble pouvoir commander aux vers géants. Et sur tout le pourtour de l’Empire, les Égarés de la Grande Dispersion commencent à revenir sur la planète. Rakis attirera-t-elle de nouveau tous les regards ?

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EAN : 9782266320528
Code sériel : 9999
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 816
Format : 108 x 177 mm
Pocket
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EAN : 9782266320528
Code sériel : 9999
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 816
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • MarineBvB94 01/09/2023
    La saga Dune reprend de sa superbe avec ce cinquième tome à mi-chemin entre le récit initiatique et le récit d'aventure. Les nouveaux personnages qui y sont développés sont particulièrement intéressants à suivre et on prend plaisir à évoluer avec eux.
  • FeyGirl 03/07/2023
    Après les événements du tome précédent, est advenue une période de troubles marquée par une grande famine suivie par la dispersion de l'humanité au-delà de l'univers connu, réalisant ainsi le souhait de Leto II. 1#8201;500 ans plus tard, certains sont revenus après plusieurs générations, avec des intentions floues qui suscitent l'inquiétude. Sur Dune, appelée maintenant Rakis (et non plus Arrakis) et redevenue un désert, apparaît une enfant dans une tribu isolée, à qui les vers obéissent : Sheeana. Les prêtres et les habitants de Rakis la parent d'une quasi-divinité, ce qui ne manque pas d'attirer l'attention des soeurs du Bene Gesserit. Le Bene Gesserit est à nouveau puissant, comme s'il avait rempli un vide après la disparition de l'Empire ; il est toujours autant obsédé par son programme de sélection génétique, et on se demande s'il a encore un sens alors que les soeurs veulent éviter à tout prix un nouveau Kwisatz Haderach. le Bene Gesserit a reçu un jeune ghola de Duncan créé par le Bene Tleilax qui y aurait implanté une mystérieuse modification. Jeune adolescent, Duncan est entraîné par les soeurs et protégé par le commandant du Bene Gesserit, le mentat Miles Teg. Mais le Bene Gesserit est traversé par des... Après les événements du tome précédent, est advenue une période de troubles marquée par une grande famine suivie par la dispersion de l'humanité au-delà de l'univers connu, réalisant ainsi le souhait de Leto II. 1#8201;500 ans plus tard, certains sont revenus après plusieurs générations, avec des intentions floues qui suscitent l'inquiétude. Sur Dune, appelée maintenant Rakis (et non plus Arrakis) et redevenue un désert, apparaît une enfant dans une tribu isolée, à qui les vers obéissent : Sheeana. Les prêtres et les habitants de Rakis la parent d'une quasi-divinité, ce qui ne manque pas d'attirer l'attention des soeurs du Bene Gesserit. Le Bene Gesserit est à nouveau puissant, comme s'il avait rempli un vide après la disparition de l'Empire ; il est toujours autant obsédé par son programme de sélection génétique, et on se demande s'il a encore un sens alors que les soeurs veulent éviter à tout prix un nouveau Kwisatz Haderach. le Bene Gesserit a reçu un jeune ghola de Duncan créé par le Bene Tleilax qui y aurait implanté une mystérieuse modification. Jeune adolescent, Duncan est entraîné par les soeurs et protégé par le commandant du Bene Gesserit, le mentat Miles Teg. Mais le Bene Gesserit est traversé par des dissensions, alors que d'au-delà de l'univers connu arrivent les Honorées Matriarches, simulacres des Révérendes Mères qui les surnomment avec mépris les catins, tant leur technique a développé les manipulations sexuelles. le Bene Gesserit les perçoit comme un danger, tandis qu'en parallèle le Bene Tleilax a son propre agenda et espère prendre l'ascendant sur le Bene Gesserit. Le roman expose une situation politique complexe, avec des personnages approfondis. Miles Teg est un vieil homme pétri du sens du devoir et stratège, alors que Duncan, encore adolescent, apprend sous la férule des soeurs. Les Révérendes Mères, que ce soit Taraza, Odrade ou Lucille, ont chacune une personnalité qui se développe au fil des événements. Les personnages secondaires ne sont pas en reste, notamment Watt, chef du Bene Tleilax, fournisseur des gholas et dont les cuves axol restent un mystère. Les prêtres de Rakis, eux, apparaissent en creux comme faibles face à ces structures puissantes. Mais chacune des organisations religieuses est confrontée à des oppositions internes, sur des bases théologiques ou de conflit de pouvoir. Ce roman possède la même puissance que le précédent tome, bien que l'histoire soit bien différente : plusieurs confréries, chacune ayant son dessein et sa vision à long terme. Et comme il s'agit de religions, chacune est persuadée d'être supérieure aux autres (évidemment). Chaque chapitre ne fait qu'entrevoir un monde de complexité, grâce à une écriture qui souvent suggère plus qu'il ne montre (l'auteur n'est pas toujours facile à lire à cause de son habitude de ne pas exposer directement certains faits), le passé et le futur sont presque plus importants que le présent, et surtout, les complots attendent derrière chaque page. La profondeur de l'univers et de l'intrigue est fascinante. L'action est très présente avec des combats, des fuites et des trahisons, sur Rakis et sur Gammu, l'ancienne planète des Harkonnen. Car le passé est très présent dans ce tome de Dune, ne serait-ce que parce que plusieurs personnages sont des descendants des Atréides, et peuvent avoir une parcelle du don qui a fait naître le Kwisatz Haderach. Quoi qu'il en soit, ce tome donne très envie de lire le suivant.
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  • Zehisus 04/04/2023
    Comme pour chaque livre, la seule question qui subsite une fois la lecture achevée est de savoir s'il m'a suffisamment plu, interpellé, questionné ou émerveillé pour que je souhaite me replonger un jour dedans et parcourir une nouvelle fois ses pages. La réponse est oui, pour revivre cette gigantesque fresque qui s'écoule sur plusieurs milliers d'années, même si à partir de ce tome j'ai quelque peu décroché avec la direction narrative de Dune...
  • beldrak 06/02/2023
    Plusieurs milliers d'années ont passées, l'histoire a vu passer Paul Muad Dib puis Leto son fils prendre le pouvoir sous la forme d'un empereur vermiforme. Ensuite, une longue période s'est écoulée entrainant la grande famine et la dispersion. Nous nous retrouvons après tout cela pour observer à nouveau l'humanité tenter de survivre. Alors que dire sans trop spoiler ? Tout d'abord j'ai trouvé que le roman laissait trop d'information de côté. A la fin du roman je me suis rendu compte que j'avais plus de question en suspend que de question répondues. Certains protagonistes sont totalement ignorés. Qu'est devenu Ix ? Pourquoi les Egarés sont mentionnés mais jamais présents ? De quoi ont peur les Honorées matriarches ? A chaque fois, l'auteur laisse vaguement penser qu'il pourrait y avoir quelque chose puis passe à un autre sujet. A côté de cela l'action est souvent mise de côté pour des considérations pas forcément passionnantes. Que ce soit la description de la flore de chaque planète pour l'histoire des meubles, j'ai eu du mal à comprendre cette insistance de l'auteur sur des sujets tiers tout en omettant les sujets principaux. J'ai également été très déçu par le personnage de Miles Teg. Sa monté en puissance... Plusieurs milliers d'années ont passées, l'histoire a vu passer Paul Muad Dib puis Leto son fils prendre le pouvoir sous la forme d'un empereur vermiforme. Ensuite, une longue période s'est écoulée entrainant la grande famine et la dispersion. Nous nous retrouvons après tout cela pour observer à nouveau l'humanité tenter de survivre. Alors que dire sans trop spoiler ? Tout d'abord j'ai trouvé que le roman laissait trop d'information de côté. A la fin du roman je me suis rendu compte que j'avais plus de question en suspend que de question répondues. Certains protagonistes sont totalement ignorés. Qu'est devenu Ix ? Pourquoi les Egarés sont mentionnés mais jamais présents ? De quoi ont peur les Honorées matriarches ? A chaque fois, l'auteur laisse vaguement penser qu'il pourrait y avoir quelque chose puis passe à un autre sujet. A côté de cela l'action est souvent mise de côté pour des considérations pas forcément passionnantes. Que ce soit la description de la flore de chaque planète pour l'histoire des meubles, j'ai eu du mal à comprendre cette insistance de l'auteur sur des sujets tiers tout en omettant les sujets principaux. J'ai également été très déçu par le personnage de Miles Teg. Sa monté en puissance tout le long du roman laissait espérer un final en beauté et en fait ... Je ne vais pas spoiler mais tout ça pour ça ? Une fois encore plus de question que de réponses à son sujet. J'ai trouvé également que les personnages étaient souvent englués malgré eux dans leurs histoires. Le fond de ce roman est de montrer l'affrontement du Bene Tleilax et du Bene Guesserit mais même comme ça l'affrontement paraissait souvent déséquilibré. Au final un roman qui se laisse lire malgré certaines longueurs ( et certains manques, c'est paradoxal ). On est loin de l'action des premiers roman et de la profondeur de l'Empereur Dieu ici.
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  • ged7fr 12/01/2023
    Enfin j’ai terminé le cinquième et sixième tome de la saga Dune : le dernier écrit par Franck Herbert. Cela a été un beau voyage à pied, pour en montrer l’effort nécessaire, essentiellement passé sous la pluie. Herbert est un auteur qui ne se laisse pas simplement comprendre. Il faut le lire puis le méditer. Moi c’était au cours de mes 30 minutes de marche quotidienne entre chez moi et mon bureau. Je ressassais les chapitres lus la veille pour en tirer les messages. Ce tome ne fait pas exception : je n’ai pas tout compris. Le propos et l’intention de certains chapitres restent encore complètement nébuleux. Heureusement j’en ai compris certains et je pense avoir dégagé une compréhension voire une théorie du pouvoir. _____ Pour moi, Dune est avant tout une saga du pouvoir, en particulier le pouvoir exercé par certaines institutions et leurs dirigeants. Ces institutions sont souvent, si ce n’est systématiquement, en concurrence les unes avec les autres. Cependant le schéma de fonctionnement est toujours le même. C’est un cycle que j’appellerai le « cycle de la voix dans sa tête ». Avant d’expliquer ce titre un peu étrange, commençons par décrire ce cycle. Il est constitué de quatre phases : 1) « la certitude de l’avenir » : chaque... Enfin j’ai terminé le cinquième et sixième tome de la saga Dune : le dernier écrit par Franck Herbert. Cela a été un beau voyage à pied, pour en montrer l’effort nécessaire, essentiellement passé sous la pluie. Herbert est un auteur qui ne se laisse pas simplement comprendre. Il faut le lire puis le méditer. Moi c’était au cours de mes 30 minutes de marche quotidienne entre chez moi et mon bureau. Je ressassais les chapitres lus la veille pour en tirer les messages. Ce tome ne fait pas exception : je n’ai pas tout compris. Le propos et l’intention de certains chapitres restent encore complètement nébuleux. Heureusement j’en ai compris certains et je pense avoir dégagé une compréhension voire une théorie du pouvoir. _____ Pour moi, Dune est avant tout une saga du pouvoir, en particulier le pouvoir exercé par certaines institutions et leurs dirigeants. Ces institutions sont souvent, si ce n’est systématiquement, en concurrence les unes avec les autres. Cependant le schéma de fonctionnement est toujours le même. C’est un cycle que j’appellerai le « cycle de la voix dans sa tête ». Avant d’expliquer ce titre un peu étrange, commençons par décrire ce cycle. Il est constitué de quatre phases : 1) « la certitude de l’avenir » : chaque institution est convaincu que l’avenir se déroulera de la manière qu’il projette. Par exemple, l’empereur-Dieu de Dune est convaincu de la véracité et de l’effectivité du « sentier d’or » 2) Cette certitude de l’avenir amène à la « certitude de la légitimité de sa mission » : de fait les protagonistes se semblent investit de la tâche qui leur permettra de faire advenir cet avenir. Par exemple le Bene-Tleilax trouve légitime de vouloir imposer une vision religieuse spécifique. 3) Ce qui amène à la « certitude de l’emploi des moyens », car pour faire advenir cet avenir il faut agir sur cet univers. Par exemple le Bene-Gesserit, pour améliorer la qualité politique des dirigeants, cherche à améliorer les lignées aristocratiques par un contrôle génétique, en particulier ceux des Atréides. 4) Ce qui les amène à leur « certitude de la légitimité de leur dirigisme », car les « bonnes » intentions et les « bonnes » méthodes, ne peuvent produire que de « bonnes » actions. Par exemple la transformation de Dune en un jardin par Paul Atréides. Le cumul des bonnes actions amène alors à confirmer la « certitude de l’avenir » : la boucle est bouclée. Mais ce que nous apprend le récit de Dune c’est que toutes ces « certitudes » ne sont que des « illusions ». 4) Que dire des bonnes actions lorsque la transformation de Dune en jardin provoque, in fine, la disparition du fier peuple fremen ? 3) Que dire de l’adéquation des moyens lorsque le Kwisatz Haderach, le dirigeant ultime, échappe au contrôle et au plan du Bene Gesserit ? 2) Que dire de la légitimité de la mission, alors que le culte de la dissimulation du Bene-Tleilax font de ce peuple l’ennemi ultime ? Car pour être légitime, faut-il que l’on connaisse et que l’on consente aux buts et objectifs. 1) Que dire de l’illusion de l’avenir imposé par le sentier d’or ? Soit l’avenir est malléable et le « sentier d’or » n’a aucun sens, soit il est figé et alors il n’y a pas d’avenir. Ce qui nous amène à l’explication du titre de ce cycle de la « voix dans la tête ». Car tous ces protagonistes sont convaincus de leur légitimité parcequ’ils entendent des voix dans leur tête. Le Bene-Tleilax pense communiquer avec Dieu. Le Bene Gesserit pense pousser aux ultimes conclusions l’usage de la raison sur une base finalement subjective. Paul Atréide et son fils, empereur-Dieu, voient l’avenir. Finalement, le Bene-Tleilax à la foi, le Bene-Gesserit raisonne comme des cloches et les Atréides sont hypnotisés. Mention spéciale pour les « honorés matriarches » qui sont une abomination du pouvoir : la destination ultime de la dérive du pouvoir par le cynisme. C’est sur cette voix que s’engage par exemple le Bene-Gesserit. Car malgré l’échec du Kwisatz Haderach, les mères ne se remettent pas en question, ne se dissolvent pas, en fait elles essaient de maintenir à bout de bras leur pouvoir en tentant de perdurer par tous les moyens. Les tomes 5 6 sont le récit de cette perte de sens, de cette chute dans le cynisme, sous couvert de lutter contre pire qu’elles. Le Chapitre, la planète mère de l’ordre, est à l’image de leur déliquescence, elle transforme leur planète-jardin en planète-désert afin de pouvoir pérenniser la production de leur drogue de divination : l’épice. Il y a ceux qui gouvernent et ceux qui sont gouvernés. L’univers de Dune est très riche, il y a beaucoup d’acteurs mais tous ne sont pas explorés aussi bien que les gouverneurs. Je vais en faire deux catégories. La première sont les peuples. Ils sont assez peu visibles. Lorsqu’ils le sont c’est soit comme chair à canon, soit en curiosité anthropologique que les aristocrates ne comprennent pas ou méprisent. Il y a une scène dans le tome 5, où Lucille (je crois) du Bene Gesserit observe sans comprendre une danse dans rituelle dans une rue à peine perturbée par l’escorte armée de Sheena (ce chapitre me hante). Dans d’autres chapitres les descendant Atréides méprisent aux plus au point les derniers rejetons des fremens que leur ancêtre a détruit. Mais l’acteur qui représente toute la fluidité et la droiture des peuples est Duncan Idaho. C’est l’homme révolté et qui se révolte contre les pouvoirs en place. Il ne cherche jamais le pouvoir, mais la liberté contre tous les pouvoirs. Son fardeau est de lutter contre son conditionnement à se soumettre aux pouvoirs : soumission certes par la contrainte mais aussi par l’estime et les sentiments. La seconde catégorie, et qui est certainement le rattage de Franck Herbert, sont les acteurs logistiques : la CHOM (les marchands), les Ixiens (les techniciens), la Guilde des navigateurs (les transporteurs). Ce sont des acteurs mineurs dans la saga Dune. Et pourtant si nous prenons l’image de notre monde actuel qui détient et façonne le pouvoir : les techniciens qui innovent pour innover, les marchands qui en font des biens lucratifs et les transporteurs qui les disséminent partout. Ils forment un écosystème consumériste. Dans Dune c’est le pouvoir qui détruit l’écologie des planètes, dans la réalité c’est le culte consumériste qui détruit notre écosystème. Notre pouvoir est inféodé au consumérisme. C’est là le grand rattage de Franck Herbert, ce qu’il n’a pas vue. _____ Je crois qu’il est indéniable que les tomes 5 6 préparaient une nouvelle phase de la saga. Peut-être que les successeurs de Franck Herbert, s’en sont emparés. Pour ma part, je vais terminer l’exploration de la saga Dune ici avec les 6 premiers tomes originaux de l’auteur. Excepté le préquel concernant la guerre butlérienne, qui me semble un sujet intéressant à découvrir, je pense avoir fait le tour de cet univers (détrompez-moi !). J’avais commencé cette saga, il y 30 ans, j’avais détesté (je préférai le film de Lynch). Je l’ai redécouverte il y a 4-5 ans, j’ai adoré, malgré les migraines. J’aime toujours le film de Lynch, son étrangeté, et j’attends le second volet du film de Villeneuve, son esthétisme.
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