Le Sens de nos pas

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Karollb 15/05/2023
  Philomène 15 ans vient de perdre sa mère dans un terrible accident. Le silence des adultes autour de ce drame la laisse dans le désarroi. Elle profite de la fugue d'Auguste 85 ans, dont la bru a décidé de son placement en maison de retraite, pour filer avec lui. Les liens se créeront ils? Quel sens à tout cela ce périple va t'il trouver ? Philomène et auguste trouveront-ils les réponses et la sérénité qui en découleraient? Je retiens de cette lecture ce besoin irrépressible de vivre, d'agir et d'aimer. La force du pardon et de la résilience sont tout aussi nécessaires que l'acceptation de la douleur dû à la perte.
• CelineNrs 03/05/2023
  Ce roman c’est l’histoire d’ Auguste et Philomène que tout oppose mais que tout rapproche. C’est une histoire intergénérationnelle, une histoire de chemin à construire, à reconstruire, une histoire de fugue, une histoire de quête qu’ils vont partagés. Le sens de nos pas est un roman doux, sensible, intime, qui traite de la fin de vie et de deuil, des sujets fort, que Claire écrit avec justesse pour nous amener vers une lecture délicate et bouleversante. Ce duo avancera main dans la main, nous fera passer par un panel d’émotions, tout ça pour nous rappeler de vivre l’instant présent, de profiter de la vie, et des jolis moments de bonheurs qu’elle nous offre.
• goretti66 02/05/2023
  Un roman bouleversant !! Claire Norton aborde ici un sujet sensible, avec douceur. Elle nous fait vivre une magnifique histoire avec des personnages très touchants. On passe du rire aux larmes, elle nous fait passer par mille émotions. Une histoire d’amour, d’amitié et aussi d’espoir. J’ai eu beaucoup de mal à lâcher ce roman. A lire sans hésitation !
• LJecteur 01/05/2023
  Auguste vit avec son fils et sa belle-fille. Vieillissant, il se rend compte d'à quel point il représente un poids pour eux. Dans son regard, on ressent son impuissance et sa souffrance. Si bien que son projet de fugue paraît absolument nécessaire pour fuir cette situation si terrible. Et puis, il y a Philomène. Elle a perdu sa mère et pense qu'on lui cache la vérité. Pour ne pas l'inquiéter ou la traumatiser. Ces deux êtres semblent être victimes de leur âge et dans une situation impossible qui ne peut que déclencher la fuite. Dans cette fugue, on retient son souffle pour Auguste, malade, mais si bienveillant. On ne peut qu'être spectateur et attendri par ces quelques jours hors du temps. C'est un roman qui se lit très vite avec des personnages très attachants (comme tous ceux de l'autrice). Vraiment une belle histoire qui émeut à coup sûr !
• NoelleL 30/04/2023
  Auguste a « son » banc, dans un joli parc du Vésinet. Celui où, tant de fois, il est venu s’asseoir avec Jeanne, son grand amour. Depuis la mort de cette dernière, il continue d’y venir chaque jour se souvenir des belles choses... Cet après-midi-là, c’est accablé qu’Auguste s’assied : il vient d’apprendre coup sur coup que sa belle-fille et son fils s’apprêtent à le placer en maison de retraite, et qu’il est atteint d’un mal incurable qui ne lui laisse que quelques mois à vivre. Échouée à l’autre bout du banc, Philomène, quinze ans, est tout aussi désemparée. Fille unique, elle vient de perdre sa mère dans un accident de voiture et a rompu toute communication avec son père, qu’elle accuse de lui cacher la véritable cause de cet accident : un suicide. Leur seule issue, cet après-midi-là : s’enfuir. Auguste parce qu’il refuse de passer le peu de temps qu’il lui reste enfermé et passif. Philomène parce qu’elle ne pourra pas faire son deuil tant qu’elle n’aura pas résolu le mystère de la mort de sa mère. Également désemparé, Auguste n’a aucune envie de s’encombrer de cette gamine. Encore un très joli roman de Claire Norton, réflexion sur notre société et son rapport... Auguste a « son » banc, dans un joli parc du Vésinet. Celui où, tant de fois, il est venu s’asseoir avec Jeanne, son grand amour. Depuis la mort de cette dernière, il continue d’y venir chaque jour se souvenir des belles choses... Cet après-midi-là, c’est accablé qu’Auguste s’assied : il vient d’apprendre coup sur coup que sa belle-fille et son fils s’apprêtent à le placer en maison de retraite, et qu’il est atteint d’un mal incurable qui ne lui laisse que quelques mois à vivre. Échouée à l’autre bout du banc, Philomène, quinze ans, est tout aussi désemparée. Fille unique, elle vient de perdre sa mère dans un accident de voiture et a rompu toute communication avec son père, qu’elle accuse de lui cacher la véritable cause de cet accident : un suicide. Leur seule issue, cet après-midi-là : s’enfuir. Auguste parce qu’il refuse de passer le peu de temps qu’il lui reste enfermé et passif. Philomène parce qu’elle ne pourra pas faire son deuil tant qu’elle n’aura pas résolu le mystère de la mort de sa mère. Également désemparé, Auguste n’a aucune envie de s’encombrer de cette gamine. Encore un très joli roman de Claire Norton, réflexion sur notre société et son rapport à la mort.

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