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Le Sphinx Rouge
Radu Portocala (préface de)
Date de parution : 02/06/2022
Éditeurs :
10/18

Le Sphinx Rouge

Radu Portocala (préface de)
Date de parution : 02/06/2022
Le Cardinal de Richelieu comme vous ne l’avez jamais vu !
 
Décembre 1628. D’Artagnan et les trois mousquetaires participent au siège de La Rochelle. Victorieux des anglais, le Cardinal de Richelieu regagne Paris. Au même moment, arrive dans la capitale un... Décembre 1628. D’Artagnan et les trois mousquetaires participent au siège de La Rochelle. Victorieux des anglais, le Cardinal de Richelieu regagne Paris. Au même moment, arrive dans la capitale un jeune aristocrate, le Comte de Moret, porteur de mystérieuses lettres destinées à la mère, à la femme et au frère... Décembre 1628. D’Artagnan et les trois mousquetaires participent au siège de La Rochelle. Victorieux des anglais, le Cardinal de Richelieu regagne Paris. Au même moment, arrive dans la capitale un jeune aristocrate, le Comte de Moret, porteur de mystérieuses lettres destinées à la mère, à la femme et au frère du roi Louis XIII, respectivement Marie de Médicis, Anne D’Autriche et le duc d’Orléans.
C’est le début d’une véritable saga, comme les affectionne Dumas, faite de complots, d’aventures, de passions et de jeux de pouvoir. Au cœur de ce tourbillon palpitant se tient Le Sphinx Rouge : Le Cardinal de Richelieu lui-même, dont l’ombre planait déjà sur les Trois Mousquetaires et qui apparaît ici en pleine lumière, déjouant toutes les intrigues qui menacent le trône de France.
Le Sphinx Rouge est suivi ici d’un autre récit de Dumas, La Colombe, qui conclue les aventures du Comte de Moret.
 
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EAN : 9782264080936
Code sériel : 00578
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 960
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264080936
Code sériel : 00578
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 960
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • bfauriaux 13/12/2023
    Le sphinx rouge c'est Richueliue, un des plus important personnages francais de son epoque, l'eminence grise de tous les projets et ce livre noue en brosse un portrait clinique, un peu romance mais Dumas sait garder le realisme global de l'oeuvre.On retrouve le souffle de l'epopee qui caracterise les romans de l'auteur.Un grand roman classique a decouvrir pour les amateurs d'histoire et de romans de cape et d'epee.
  • Lamifranz 04/01/2023
    Curieuse histoire que celle du « Comte de Moret » connu également sous le titre du « Sphinx Rouge ». Ecrit vers 1865, ce roman est paru en feuilleton en 1865 et 1866 dans le journal « Les Nouvelles », mais n’a jamais été édité en volume. Du moins pas avant 1948 (et encore, en version condensée). Il faudra attendre 2008 pour avoir une version à peu près intégrale, en complétant le manuscrit de Dumas avec les épisodes publiés. Le problème, c’est que, autant dans le manuscrit que dans le feuilleton, la fin fait défaut. C’est peut-être très bien pour le suspense, mais c’est terrible pour la frustration. Et c’est bien dommage parce que l’histoire est chouette, l’intrigue bien menée, les personnages réussis (et même surprenants, pour certains) …Voyez vous-mêmes : Nous sommes en 1628. La France est sous le règne de Louis XIII et de son ministre Richelieu. Ces deux-là, inutile de les présenter, vous les retrouverez sis ans plus tard dans les « Trois Mousquetaires ». En ce temps-là, ce n’était pas comme aujourd’hui, ça grenouillait dans tous les coins de la Cour et du Gouvernement : il y avait la Reine-Mère, Marie de Médicis, la reine en titre, Anne d’Autriche, et le frère du roi, Gaston d’Orléans, ces trois personnages accumulant à eux seuls autant d’intrigues et de complots que seul plus tard Talleyrand eut un palmarès équivalent ! Le problème c’est que Louis XIII, avec les femmes, c’est pas l’attirance absolue. Avec les hommes, il y a un doute, dirons-nous. Alors les deux reines, (vous savez comment elles étaient les femmes en ce temps-là) se mettent dans la tête de l’intéresser à la gent féminine en le faisant tomber amoureux d’Isabelle de Lautrec, une suivante d’Anne d’Autriche. Le hic, c’est qu’Isabelle est amoureuse du comte de Moret, un bâtard de Henri IV (donc demi-frère du roi et de Gaston d’Orléans). La pauvrette, qui se rend compte du drôle de jeu qu’on veut lui faire jouer, demande la protection du duc de Richelieu. Richelieu, c’est lui le Sphinx Rouge (l’appellation est tirée de Michelet dans son « Histoire de France au XVIIème siècle ») : la pourpre cardinalice lui va à merveille. Et Dumas en fait un portrait des plus étonnants, bien éloigné de celui qu’il faisait en 1843 dans les « Trois Mousquetaires » : Richelieu est ici la perle des ministres, travailleur infatigable au service de la France, capable de mansuétude et de pardon. Les autres personnages sont aussi bien décrits : Louis XIII est certes un roi faible et influençable, mais il est montré aussi comme mal dans sa peau, un homme qui souffre. Et nos jeunes amoureux sont bien comme tous les héros de Dumas, jeunes, beaux, traînant tous les cœurs après soi (non, je m’égare, ça c’est Racine) mais pleins de vie et d’amour… Alors forcément quand on se trouve en plan à la fin du roman, sans savoir ce que sont devenus ces personnages, on est sacrément frustrés ! L’Histoire nous apprend que le Comte de Moret s’est embringué dans une conspiration de Gaston d’Orléans (celui-là n’en est pas à une près), et qu’il est mort en 1632 à la bataille de Castelnaudary, d’un coup d’arquebuse (et non pas d’une indigestion de cassoulet comme on pourrait le croire) Or le roman se termine brusquement en 1630. Que s’est-il passé pendant ces deux années ? Mystère. Un petit roman antérieur « La colombe » paru en 1850, évoque les deux mêmes personnages (le Comte et Isabelle) dans ces années-là, mais on n’apprend pas grand-chose de plus. On aura donc toujours ce petit regret de ne pas connaître la fin de ce beau roman. Dommage, car c’est du Dumas comme nous l’aimons, vif, enlevé, avec toujours ce qui fait son charme : cet amour qu’il porte à ses personnages : on rapporte souvent cette anecdote : un jour Alexandre Dumas fils le trouve en pleurs sur son manuscrit. Il est affolé : « Qu’avez-vous, père ? ». Et notre bon Alex de répondre en un sanglot : « Je viens de tuer Porthos ! » (c’était bien sûr, la fin du « Vicomte de Bragelonne ») Curieuse histoire que celle du « Comte de Moret » connu également sous le titre du « Sphinx Rouge ». Ecrit vers 1865, ce roman est paru en feuilleton en 1865 et 1866 dans le journal « Les Nouvelles », mais n’a jamais été édité en volume. Du moins pas avant 1948 (et encore, en version condensée). Il faudra attendre 2008 pour avoir une version à peu près intégrale, en complétant le manuscrit de Dumas avec les épisodes publiés. Le problème, c’est que, autant dans le manuscrit que dans le feuilleton, la fin fait défaut. C’est peut-être très bien pour le suspense, mais c’est terrible pour la frustration. Et c’est bien dommage parce que l’histoire est chouette, l’intrigue bien menée, les personnages réussis (et même surprenants, pour certains) …Voyez vous-mêmes : Nous sommes en 1628. La France est sous le règne de Louis XIII et de son ministre Richelieu. Ces deux-là, inutile de les présenter, vous les retrouverez sis ans plus tard dans les « Trois Mousquetaires ». En ce temps-là, ce n’était pas comme aujourd’hui, ça grenouillait dans tous les coins de la Cour et du Gouvernement : il y avait la Reine-Mère, Marie de Médicis, la reine en titre,...
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  • Taraxacum 01/12/2022
    Avouons-le, ça part fort bien. Un spadassin au grand coeur refusant d'assassiner le fils légitimé de feu son roi, un vilain coup d'épée dans le dos, un homme laissé pour mort, et quelque pages après, on remet ça! Pour moi, le roman de capes et d'épées doit en effet forcément contenir quelques messieurs embrochés ! Plus sérieusement, Le Sphinx rouge, s'il est très plaisant à lire, ne se hisse pas à la hauteur des plus grands romans de notre Alexandre national. Il y a d'excellents passages et la multiplicité des intrigues secondaires ne me gêne pas, la plupart pas du tour résolues comme si Dumas courait tant de lièvres à la fois qu'il en oubliait, mais reconnaissons que c'est loin d'être subtil dans les portraits de ses personnages. Richelieu est un génie, sauf en poésie, qui maintient à lui tout seul la grandeur de la France, Monsieur est un lâche, Louis XIII un dépressif sans ressort...Il en faudrait tout de même un peu plus pour des portraits aussi vivants qu'il sait les faire. Et je ne parle pas des deux reines, où Dumas laisse percer une très vilaine misogynie, mais on a un peu l'habitude avec lui, toutes les femmes qui ne sont pas des vierges au coeur pur tiennent de la garce sous sa plume. L'intrigue se centre autour du jeune comte de Moret, légitimé par son Henri IV de père, ses amours et ses intrigues, avec Richelieu qui plane sur la France et passe son temps à tenter de défaire les intrigues des cours étrangères pour ruiner le pays, et celles de Monsieur pour piquer la place de son royal aîné. Et au milieu de tout ça, on dit du mal du duc de Savoie, on conte fleurette, on intrigue, on tente de démêler le vrai du faux de la mort d'Henri IV.... Plutôt pour les aficionados de Dumas, mais ceux-là ne se priveront pas! La fin aussi, brusque, qui appelait apparemment une suite non produite, laisse le lecteur frustré.Avouons-le, ça part fort bien. Un spadassin au grand coeur refusant d'assassiner le fils légitimé de feu son roi, un vilain coup d'épée dans le dos, un homme laissé pour mort, et quelque pages après, on remet ça! Pour moi, le roman de capes et d'épées doit en effet forcément contenir quelques messieurs embrochés ! Plus sérieusement, Le Sphinx rouge, s'il est très plaisant à lire, ne se hisse pas à la hauteur des plus grands romans de notre Alexandre national. Il y a d'excellents passages et la multiplicité des intrigues secondaires ne me gêne pas, la plupart pas du tour résolues comme si Dumas courait tant de lièvres à la fois qu'il en oubliait, mais reconnaissons que c'est loin d'être subtil dans les portraits de ses personnages. Richelieu est un génie, sauf en poésie, qui maintient à lui tout seul la grandeur de la France, Monsieur est un lâche, Louis XIII un dépressif sans ressort...Il en faudrait tout de même un peu plus pour des portraits aussi vivants qu'il sait les faire. Et je ne parle pas des deux reines, où Dumas laisse percer une très vilaine misogynie, mais on a un peu l'habitude avec lui, toutes les femmes qui...
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  • Tiguidou 03/07/2021
    Roman historique mettant en "vedette" le Cardinal de Richelieu et Louis XIII. Écrit par Alexandre Dumas qui dans son Roman targue d'être précis et de faire oeuvre de professeur d'histoire pour ceux qui ne la connaissent pas , me semble beaucoup plus romancier qu'historien. Après quelques vérifications rapides ( merci internet) je me suis rendu compte que Dumas a pris quelques libertés avec l'histoire. Ainsi il laisse entendre que Louis XIII n'est pas le fils de Henri IV, ce qui n'est pas prouvé, et que Louis XIII était homosexuel ce qui n'est pas prouvé non plus. Si je vous parle de Louis XIII plutôt que du Cardinal de Richelieu C'est qu'il me semble que le Roi prend plus de place dans ce roman que le Cardinal qui est sensé être la raison première de ce roman. Mais tous ces détails ne m'ont pas empêché d'apprécier ma lecture surtout pour le côté romanesque de cette histoire et pour la qualité d'écriture de Dumas. Ce roman historique est une bonne occasion pour moi de faire connaissance avec les personnalités importantes de cette époque et de mieux saisir le caractère du Cardinal et son influence sur son époque. Je ne prend pas pour argent comptant tout ce qui est écrit dans ce roman parce que justement C'est un roman mais malgré tout cela me donne une bonne idée de l'ambiance et des complots constants entourant le Roi et le Cardinal en plus de toutes les intrigues amoureuses innombrables en cette époque. La quantité phénoménale de personnages dans ce roman est un peu déroutante mais à la fin du roman il y a un très utile dictionnaire des noms propres. Tous ces personnages qui ont leur place dans le roman l'alourdissent et l'allongent ce qui rend la lecture un peu moins agréable. Finalement après le dictionnaire des noms propres il y a dans cette edition une partie supplementaire intitulée La colombe qui est un échang de lettres entre deux personnages du roman et cette partie je ne l'ai pas lue.Roman historique mettant en "vedette" le Cardinal de Richelieu et Louis XIII. Écrit par Alexandre Dumas qui dans son Roman targue d'être précis et de faire oeuvre de professeur d'histoire pour ceux qui ne la connaissent pas , me semble beaucoup plus romancier qu'historien. Après quelques vérifications rapides ( merci internet) je me suis rendu compte que Dumas a pris quelques libertés avec l'histoire. Ainsi il laisse entendre que Louis XIII n'est pas le fils de Henri IV, ce qui n'est pas prouvé, et que Louis XIII était homosexuel ce qui n'est pas prouvé non plus. Si je vous parle de Louis XIII plutôt que du Cardinal de Richelieu C'est qu'il me semble que le Roi prend plus de place dans ce roman que le Cardinal qui est sensé être la raison première de ce roman. Mais tous ces détails ne m'ont pas empêché d'apprécier ma lecture surtout pour le côté romanesque de cette histoire et pour la qualité d'écriture de Dumas. Ce roman historique est une bonne occasion pour moi de faire connaissance avec les personnalités importantes de cette époque et de mieux saisir le caractère du Cardinal et son influence sur son époque. Je...
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  • Granna21 14/02/2021
    Ce roman est un magnifique portrait de Richelieu, homme d'état passionnant. L'écriture est fluide comme Dumas sait le faire, chaque fin de paragraphe nous tient en haleine même s'il y a moins de rebondissement que dans d'autres romans de Dumas. De plus il nous peint une période historique méconnue (de moi en tout cas...). Les personnages secondaires sont travaillés et attachants. Et pour ne rien gâcher la couverture est franchement splendide.
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