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Maléfices
Date de parution : 10/03/2005
Éditeurs :
Pocket

Maléfices

Date de parution : 10/03/2005

Une ombre rôde dans les forêts de l’Oregon. C’est d’abord un employé de l’environnement qui est retrouvé mort. Des femmes disparaissent en pleine nuit. Pas de trace d’effraction dans les...

Une ombre rôde dans les forêts de l’Oregon. C’est d’abord un employé de l’environnement qui est retrouvé mort. Des femmes disparaissent en pleine nuit. Pas de trace d’effraction dans les maisons… Puis les foyers de Portland sont envahis par des araignées aux piqûres mortelles. Les victimes s’accumulent et la psychose...

Une ombre rôde dans les forêts de l’Oregon. C’est d’abord un employé de l’environnement qui est retrouvé mort. Des femmes disparaissent en pleine nuit. Pas de trace d’effraction dans les maisons… Puis les foyers de Portland sont envahis par des araignées aux piqûres mortelles. Les victimes s’accumulent et la psychose s’intensifie. Joshua Brolin et Annabel O’Donnel vont mener l’enquête, entrer dans la toile et faire face à l’impensable. Une nouvelle génération de tueurs est née...

« Une trilogie qui a imposé Maxime Chattam comme l'un des meilleurs auteurs de thrillers contemporains. » Le Monde

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EAN : 9782266143752
Code sériel : 12249
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 640
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266143752
Code sériel : 12249
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 640
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Une trilogie qui a imposé Maxime Chattam comme l’un des meilleurs auteurs de thrillers contemporains. » Le Monde

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • MatthieuParanteau 07/04/2024
    Maxime Chattam m'a offert une expérience captivante et immersive avec ce dernier opus d’une super trilogie. L'intrigue est haletante du début à la fin, et il m'était difficile de lâcher le livre une fois commencé. Les personnages sont bien développés, avec des traits psychologiques complexes qui ajoutent de la profondeur à l'histoire. Je me suis véritablement senti immergé dans l'enquête, me prenant au jeu de dénouer les mystères aux côtés des protagonistes. Cependant, le dénouement, bien que solide, m'a laissé un peu déçu. J'espérais une conclusion plus surprenante ou plus complexe après une montée en tension si intense tout au long du récit. Malgré cela, « Maléfices » est un livre qui mérite d'être lu pour son suspense prenant et son ambiance captivante. Je me suis même surpris à enquêter par moi-même, cherchant à résoudre les énigmes avant que les personnages ne le fassent. C'est là une preuve de l'immersion et de l'efficacité de l'écriture de Chattam.
  • philippedester 28/02/2024
    Quelle imagination, quelle précision et que de recherches pour cette trilogie! Une fois encore, Maxime Chattam balade ses lecteurs d'un suspect à un autre, semant de fausses pistes pour les égarer. Mais, cette fois, j'ai trouvé le coupable (ce qui est extrêmement rare). Bien sûr, j'ai beaucoup douté puisque, plusieurs fois, les policiers avaient soi-disant découvert le meurtrier. Je me disais : "Non, ce n'est pas possible, il reste 100 pages, il reste 60 pages, ce n'est pas le bon meurtrier". Dans ce tome, on retrouve Joshua Brolin, l'ex-profileur devenu détective privé, toujours pas remis de ses blessures morales, et Annabel O'Donnel que les lecteurs ont découvert dans le deuxième tome, détective new-yorkaise. J'espérais une union entre les deux héros mais Maxime Chattam ne fait pas dans l'eau de rose... Aux lecteurs d'imaginer comment leur relation évoluera. Le point fort de "Maléfices" : les araignées utilisées ici comme tueuses. Les blessures morales d'une femme "vide" qui ne peut avoir d'enfants, la domination masculine sont les autres "thèmes" de ce roman. Une fois commencé, ce bouquin de 640 pages doit être lu très vite car il est aussi addictif que les deux précédents (même si mon gros coup de coeur reste le premier, peut-être justement parce que c'est le premier Chattam que j'ai lu). Je soupçonne l'auteur de n'écrire que des "page-turner". Pour l'ensemble de la trilogie, j'ai remarqué un manque d'utilisation du téléphone portable et d'Internet. Une énigme reste irrésolue : "Qu'est devenu le mari de la détective O'Donel?" Maxime Chattam promet de satisfaire la curiosité des lecteurs dans une autre histoire bien différente (sans la présence de Brolin, snif!) mais il n'en donne pas le titre. Quelle imagination, quelle précision et que de recherches pour cette trilogie! Une fois encore, Maxime Chattam balade ses lecteurs d'un suspect à un autre, semant de fausses pistes pour les égarer. Mais, cette fois, j'ai trouvé le coupable (ce qui est extrêmement rare). Bien sûr, j'ai beaucoup douté puisque, plusieurs fois, les policiers avaient soi-disant découvert le meurtrier. Je me disais : "Non, ce n'est pas possible, il reste 100 pages, il reste 60 pages, ce n'est pas le bon meurtrier". Dans ce tome, on retrouve Joshua Brolin, l'ex-profileur devenu détective privé, toujours pas remis de ses blessures morales, et Annabel O'Donnel que les lecteurs ont découvert dans le deuxième tome, détective new-yorkaise. J'espérais une union entre les deux héros mais Maxime Chattam ne fait pas dans l'eau de rose... Aux lecteurs d'imaginer comment leur relation évoluera. Le point fort de "Maléfices" : les araignées utilisées ici comme tueuses. Les blessures morales d'une femme "vide" qui ne peut avoir d'enfants, la domination masculine sont les autres "thèmes" de ce roman. Une fois commencé, ce bouquin de 640 pages doit être lu très vite car il est aussi addictif que les deux précédents (même si mon gros coup de coeur reste le premier,...
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  • cypresromu 06/02/2024
    "Maléfice," le dernier volet de la trilogie du Mal de Maxime Chattam, m'a laissé avec des sentiments mitigés. J'ai été captivé par l'intensité émotionnelle qui caractérise l'ensemble de la série, mais je ne peux m'empêcher de ressentir une certaine frustration à l'égard du personnage d'Annabelle. Son oubli répété de son arme, malgré le rappel constant du droit de la porter, a parfois compromis le réalisme de la situation pour moi. Cela dit, l'intrigue reste fluide et pleine de rebondissements. L'introduction d'un tueur au profil psychologique complexe qui échappe à Brolin a apporté une nouvelle dynamique, et le retour d'Anthony Desvaux a été une touche appréciée. Le style percutant de Chattam a continué à me faire tourner les pages rapidement, malgré mes réserves. Cependant, le point fort demeure les retournements de situation inattendus, un trait signature de Chattam. Les scènes détaillées et les meurtres d'une violence marquante, bien que caractéristiques de son style, peuvent être trop intenses pour les âmes sensibles. Dans l'ensemble, "Maléfice" reste un thriller solide, mais je ne peux m'empêcher de penser que certains éléments auraient pu être mieux exploités. Mon avis reste personnel, et malgré mes réserves, la trilogie du Mal de Chattam demeure une expérience de lecture mémorable.
  • Nathpardo 31/01/2024
    arachnophobes s'abstenir... ou pas! une fois encore Maxime Chattam nous fait vivre des horreurs et nous torture avec ses histoires magnifiquement orchestrées! même lorsque cela semble tiré par les cheveux, on y croit car l'univers est cohérent. sans conteste une très bonne lecture qui fait frissonner!
  • Analire 27/12/2023
    Maxime Chattam est un auteur de thrillers français dont le succès n’est plus à faire. Maléfices est le deuxième livre que je lis de lui, mais certainement pas le dernier. C’est le troisième tome d’une saga nommée La trilogie du mal, qui peut néanmoins se lire parfaitement indépendamment des autres, comme je l’ai fait. Cela n’entache en rien le suspense, l’intrigue ou quoique ce soit d’autre. Seules quelques anecdotes et références antérieures resteront floues, mais rien qui ne vienne entacher l’avancée de l’histoire. Dans une forêt de l’Oregon, un employé de l’environnement est retrouvé mort, le visage totalement horrifié. Puis des femmes disparaissent en pleine nuit, vraisemblablement devant leurs maris, endormis. Elles sont retrouvées quelques jours plus tard, comme momifiées dans une toile d’araignée géante, accrochées dans des positions très étranges, proches d’un court d’eau, avec le même visage horrifié. En parallèle, une invasion de veuves noires extrêmement venimeuses fait rage dans la ville de Portland, qui borde la forêt. De nombreuses personnes à la santé fragile décèdent. Pour Joshua Brolin et sa coéquipière Annabel O’Donnel, le doute n’est plus permis : il s’agit d’une seule et même personne, sans doute fanatique des araignées, qui répand la terreur dans la ville. Quel est son mobile ? Va-t-elle continuer à tuer des innocents ? Maxime Chattam m’a fait frémir. J’ai l’habitude de lire le soir, dans un silence spectral et pendant ma lecture de Maléfices, je me suis vue à plusieurs reprises regarder derrière mon épaule si personne n’était là, ou frissonner en pensant qu’une araignée était sur mon corps. Les scènes d’angoisse et le suspense sont donc parfaitement présentes, nous tenant en haleine jusqu’au dénouement final. Les quelques 700 pages passent finalement à une vitesse folle tant le suspense est maintenue et notre envie d’en découvrir toujours davantage aussi. C’est simple : je n’arrivais plus à le lâcher. Sitôt un chapitre terminé, j’avais envie d’en débuter un nouveau. Entre temps, j’en suis venue à soupçonner tout un chacun et à me méfier de tout le monde. Évidemment, j’étais à mille lieux de me douter du nom du véritable coupable. Néanmoins, la psychose est réelle. Les arachnophobes n’ont qu’à bien se tenir… car les références aux araignées sont presque omniprésentes. De longs paragraphes sont uniquement dédiés à ces bestioles aux multiples pattes : comment vivent-elles, se reproduisent-elles, etc. Des détails parfois très techniques, qui prouve que l’auteur s’est largement documenté avant de débuter ce récit. Un excellent thriller, haletant, angoissant, qui ancre Maxime Chattam parmi les grands noms des auteurs d'histoires sombres.Maxime Chattam est un auteur de thrillers français dont le succès n’est plus à faire. Maléfices est le deuxième livre que je lis de lui, mais certainement pas le dernier. C’est le troisième tome d’une saga nommée La trilogie du mal, qui peut néanmoins se lire parfaitement indépendamment des autres, comme je l’ai fait. Cela n’entache en rien le suspense, l’intrigue ou quoique ce soit d’autre. Seules quelques anecdotes et références antérieures resteront floues, mais rien qui ne vienne entacher l’avancée de l’histoire. Dans une forêt de l’Oregon, un employé de l’environnement est retrouvé mort, le visage totalement horrifié. Puis des femmes disparaissent en pleine nuit, vraisemblablement devant leurs maris, endormis. Elles sont retrouvées quelques jours plus tard, comme momifiées dans une toile d’araignée géante, accrochées dans des positions très étranges, proches d’un court d’eau, avec le même visage horrifié. En parallèle, une invasion de veuves noires extrêmement venimeuses fait rage dans la ville de Portland, qui borde la forêt. De nombreuses personnes à la santé fragile décèdent. Pour Joshua Brolin et sa coéquipière Annabel O’Donnel, le doute n’est plus permis : il s’agit d’une seule et même personne, sans doute fanatique des araignées, qui répand la terreur dans la ville....
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