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La Reine du noir
Laurent Boscq (traduit par)
Date de parution : 02/11/2023
Éditeurs :
Sonatine

La Reine du noir

Laurent Boscq (traduit par)
Date de parution : 02/11/2023
Bienvenue à Blackbriar !
Pour beaucoup de lectrices, Roza Vallo est une romancière de génie, et peut-être plus encore, une sorte de gourou. Grâce à elle et à son livre La Langue du démon,... Pour beaucoup de lectrices, Roza Vallo est une romancière de génie, et peut-être plus encore, une sorte de gourou. Grâce à elle et à son livre La Langue du démon, nombre de jeunes filles et de femmes ont cessé de se considérer comme de petites créatures fragiles pour explorer leur... Pour beaucoup de lectrices, Roza Vallo est une romancière de génie, et peut-être plus encore, une sorte de gourou. Grâce à elle et à son livre La Langue du démon, nombre de jeunes filles et de femmes ont cessé de se considérer comme de petites créatures fragiles pour explorer leur côté sombre, pulsionnel, sexuel. Aussi, quand la grande prêtresse du roman d’horreur féministe décide d’offrir à cinq d'entre elles un séminaire d’écriture dans son manoir de Blackbriar, isolé au milieu des monts Adirondacks, les candidatures affluent. Peu importe que Vallo soit une figure controversée et que l’endroit traîne une sinistre réputation. Lorsqu’elle est sélectionnée, Alex, une jeune autrice, y voit la chance de sa vie. Mais quand Roza Vallo décide d’instaurer une compétition acharnée, les tensions sont rapidement exacerbées entre les concurrentes. Jusqu’au jour où l’une d’entre elles disparaît…
 
Cinq femmes enfermées dans un manoir isolé, jouets d’une romancière manipulatrice… Avec La Reine du noir, Julia Bartz signe un huis-clos haletant, gothique et féministe – bref, le cocktail parfait !
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EAN : 9782355849763
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 448
Format : 140 x 220 mm
EAN : 9782355849763
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 448
Format : 140 x 220 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • DelectablesLectures 03/03/2024
    J'ai été happée par « La reine du noir », un huis-clos glaçant à l'ambiance gothique frissonnante à souhaite : on y suit un groupe d'autrices en herbe sélectionnées par la célèbre Roza Vallo, une romancière aussi charismatique que manipulatrice. Chacune d'elle doit écrire un roman, dont le meilleur aura la chance d'être publiée avec l'appui de leur mentor d'un mois. Le premier tiers du roman est assez lent : l'intrigue se met en place, on apprend à connaître les différentes protagonistes et la tension monte progressivement. Puis, le rythme s'intensifie : une succession d'évènements et de révélations nous plonge en apnée jusqu'à la dernière page. L'autrice m'a complètement retournée le cerveau : mes nombreuses hypothèses se sont révélées très éloignées de ses choix narratifs et ce, pour mon plus grand plaisir ! J'ai adoré me demander tout au long du roman ce qui relevait de la réalité ou de l'hallucination, à l'instar d'Alex, la protagoniste principale. Avec « La reine du noir », je fais une incursion dans un genre que je connais peu et je suis séduite par l'expérience : je retenterai à coup sûr !
  • Sayuki74 03/03/2024
    La Reine du Noir "The writing retreat" aux Editions Sonatine, est un emprunt à un proche, qui savait que ce thriller allait m'attirer, un manoir isolé au milieu de nulle part, sans wi-fi, sans réseau, bloqué par la neige, théâtre d'un huis-clos entre 5 candidates à une retraite d'écriture – avec à la clé, un contrat à un million d'à-valoir - sous la coupe d'une romancière charismatique admirée, controversée et manipulatrice : un roman gothique et féministe, une mise en abyme angoissante des affres du travail d'écriture..... dans un manoir potentiellement hanté, comment résister ? Elles étaient cinq... Cinq élues, choisies par la grande prêtresse du roman noir et féministe pour effectuer une retraite d'écriture. Ecrire le meilleur roman en un mois – celui qui sera publié - sacré challenge et l'occasion d'approcher une véritable idole. J'ai passé quelques heures très agréables complètement hors du temps car Julia Bartz a un talent certain pour l'écriture de page-turner. Un style fluide, de courts chapitres, on ne voit pas le temps s'écouler. Elle utilise tous les ressorts du roman gothique et du thriller en vase clos. Dès le début de l'aventure, deux des cinq protagonistes sont mises en garde par un mystérieux chauffeur, leur hôte n'est pas présente lors de leur arrivée, le manoir recèle des pièces secrètes, a été habité par une adepte des séances de spiritisme, de mystérieux bruits de pas vous réveillent dans la nuit... Puis les invitées comprennent qu'elles sont totalement coupées du monde, les moyens de communication – téléphone, radio – ne fonctionnant pas alors qu'une tempête de neige fait rage. Les alliances se créent, compétition, rivalité, méfiance s'installent et la tension monte crescendo. Une retraite d'écriture teintée d'érotisme, de manipulation, et qui vire au roman survivaliste, Julia Bartz sait captiver ses lecteurs. Un avis mitigé pour moi, cependant. J'ai eu de la peine à éprouver de l'empathie pour les personnages et trouvé les rebondissements parfois un peu "too much". Une lecture qui ne restera pas inoubliable malgré le bon moment passé. Ce choix pour l'item 43 "Un roman emprunté – boîte à livres, bibliothèque, emprunté à un proche" # Challenge Plumes Féminines 2024La Reine du Noir "The writing retreat" aux Editions Sonatine, est un emprunt à un proche, qui savait que ce thriller allait m'attirer, un manoir isolé au milieu de nulle part, sans wi-fi, sans réseau, bloqué par la neige, théâtre d'un huis-clos entre 5 candidates à une retraite d'écriture – avec à la clé, un contrat à un million d'à-valoir - sous la coupe d'une romancière charismatique admirée, controversée et manipulatrice : un roman gothique et féministe, une mise en abyme angoissante des affres du travail d'écriture..... dans un manoir potentiellement hanté, comment résister ? Elles étaient cinq... Cinq élues, choisies par la grande prêtresse du roman noir et féministe pour effectuer une retraite d'écriture. Ecrire le meilleur roman en un mois – celui qui sera publié - sacré challenge et l'occasion d'approcher une véritable idole. J'ai passé quelques heures très agréables complètement hors du temps car Julia Bartz a un talent certain pour l'écriture de page-turner. Un style fluide, de courts chapitres, on ne voit pas le temps s'écouler. Elle utilise tous les ressorts du roman gothique et du thriller en vase clos. Dès le début de l'aventure, deux des cinq protagonistes sont mises en garde par un mystérieux...
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  • lilibookncook 27/02/2024
    Repéré sur le catalogue des éditions Sonatine avant même sa sortie, La Reine du noir a été à la hauteur de ma curiosité. Il faut dire le risque d'attendre un roman. Car l'imagination, elle, n'a pas de bouton pause. Elle continue de galoper, fantasmant sur une intrigue qui selon toute vraisemblance a le potentiel d'emporter mon p'tit cœur de lectrice. Et ô combien il fut emporté ! Le roman de Julia Bartz a tout pour ravir des amateurs.ices de huis clos. Tout d'abord le décor avec le manoir de Blackbriar, lieu isolé en pleine nature. Puis, les personnages des cinq jeunes autrices invitées par une célèbre romancière entretenant savamment son aura de mystère. Et enfin l'action définit par le motif de leur venue, traduit par un séminaire d'écriture. Et c'est bien là que le thriller psychologique de l'autrice prend toute sa saveur. Le motif de l'écriture, source de travail et de plaisir, mais surtout ici, de danger... Que va-t-il se passer dans ce manoir ? Jusqu'où l'écriture peut mener ? Alex, la protagoniste, va non seulement devoir dépasser son syndrome de la page blanche, mais aussi se confronter au passé incarné ici par Wren, son ancienne meilleure amie également invitée. Et si, finalement, cette retraite littéraire était la meilleure introspection intérieure ? Derrière ce thriller, une mise en abyme intéressante excite le.a lecteur.ice. Des romans écrits dans le roman. Et plus particulièrement, un roman. Vertigineux donc. Si ce séminaire permet aux cinq novices d'entamer un manuscrit, il débute surtout avec le ton employé par Roza Vallo, gardienne des lieux et instigatrice de cette échappée littéraire. Personnage complexe la romancière, à l'aura de gourou, incarne la rigueur et la discipline qu'implique l'écriture. Les aspirantes autrices, elles, représentent les doutes et les difficultés d'accoucher une idée sur papier. Julia Bartz utilise ces codes pour écrire elle-même un roman, y ajoutant au centre une intrigue psychologique et sanglante puisque, évidemment, rien ne va se passer comme prévu. Ingénieux. Au-delà de la construction, les personnages donnent tout autant de relief au roman. Non seulement Alex est en proie à ses démons littéraires, mais elle est également soumise à ses propres interrogations existentielles. À savoir son orientation sexuelle. Julia Bartz développe alors en filigrane la question queer, permettant de rendre ces personnages modernes et son roman actuel. Et que dire de Roza Vallo, la romancière manipulatrice qui dès le début nous semble louche ? Que j'ai aimé la détester ! Aussi fascinante que venimeuse, l'autrice en fait un personnage fort, représentatif d'un milieu littéraire redoutable. Et puis, figure incontournable du roman, le décor, suivi d'une atmosphère dérangeante qui met en perspective un malaise latent. C'est peut-être cela qui m'a séduite en premier lieu. L'ambiance à travers laquelle un rythme graduel s'installe pour révéler un potentiel gothique. Avec tant d'aspects positifs, La Reine du noir aurait dû être un coup de cœur, mais il n'en est rien. Je n'en étais pas loin figurez-vous, mais une scène en particulier m'a fait tiquer, remisant mon enthousiasme. Une scène dans laquelle les personnages, dans une situation dramatique, font preuve d'une légèreté déconcertante jusqu'à me faire douter de leur crédibilité. Dommage, mais pas si grave. Gothique et féministe, ce thriller psychologique diablement addictif valide une fois de plus le flair des éditions Sonatine. Et ça, c'est une bonne nouvelle !Repéré sur le catalogue des éditions Sonatine avant même sa sortie, La Reine du noir a été à la hauteur de ma curiosité. Il faut dire le risque d'attendre un roman. Car l'imagination, elle, n'a pas de bouton pause. Elle continue de galoper, fantasmant sur une intrigue qui selon toute vraisemblance a le potentiel d'emporter mon p'tit cœur de lectrice. Et ô combien il fut emporté ! Le roman de Julia Bartz a tout pour ravir des amateurs.ices de huis clos. Tout d'abord le décor avec le manoir de Blackbriar, lieu isolé en pleine nature. Puis, les personnages des cinq jeunes autrices invitées par une célèbre romancière entretenant savamment son aura de mystère. Et enfin l'action définit par le motif de leur venue, traduit par un séminaire d'écriture. Et c'est bien là que le thriller psychologique de l'autrice prend toute sa saveur. Le motif de l'écriture, source de travail et de plaisir, mais surtout ici, de danger... Que va-t-il se passer dans ce manoir ? Jusqu'où l'écriture peut mener ? Alex, la protagoniste, va non seulement devoir dépasser son syndrome de la page blanche, mais aussi se confronter au passé incarné ici par Wren, son ancienne meilleure amie également invitée. Et...
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  • Marylou26 15/02/2024
    Lorsque la Reine du noir vous invite dans son manoir pour une retraite d’écriture qui vous ouvrira peut-être toutes grandes les portes de l’édition, il y a là une chance à ne pas laisser passer, même si votre ancienne meilleure amie, avec laquelle la rupture a été brutale, doit également s’y trouver : c’est ce qui arrive à Alex, la narratrice, qui s’est mérité la chance de se rendre à Blackbriar pour y rencontrer son idole depuis ses treize ans, l’auteure Roza Vallo. Elle a bien quelques appréhensions, n’ayant pu écrire une ligne depuis un an, mais le cadre imposé par Roza s’avère stimulant et la compétition est lancée : laquelle des cinq participantes écrira le meilleur roman ? Tous les ingrédients étaient réunis pour faire de ce roman un « page turner »: une écriture plutôt fluide, un huis clos à l’ambiance gothique et angoissante, une réflexion intéressante sur le culte de la célébrité et la difficulté, pour les femmes, de publier… Lorsqu’un des personnages disparaît, l’intrigue prend alors une tournure que j’ai trouvé par moments peu crédible et qui m’a finalement laissée quelque peu déçue. Ce premier roman de Julia Bartz, d’une maison d’édition que j’adore – Sonatine –, dont certaines avenues auraient pu être davantage explorées ne remplit pas, il me semble, tout à fait ses promesses.Lorsque la Reine du noir vous invite dans son manoir pour une retraite d’écriture qui vous ouvrira peut-être toutes grandes les portes de l’édition, il y a là une chance à ne pas laisser passer, même si votre ancienne meilleure amie, avec laquelle la rupture a été brutale, doit également s’y trouver : c’est ce qui arrive à Alex, la narratrice, qui s’est mérité la chance de se rendre à Blackbriar pour y rencontrer son idole depuis ses treize ans, l’auteure Roza Vallo. Elle a bien quelques appréhensions, n’ayant pu écrire une ligne depuis un an, mais le cadre imposé par Roza s’avère stimulant et la compétition est lancée : laquelle des cinq participantes écrira le meilleur roman ? Tous les ingrédients étaient réunis pour faire de ce roman un « page turner »: une écriture plutôt fluide, un huis clos à l’ambiance gothique et angoissante, une réflexion intéressante sur le culte de la célébrité et la difficulté, pour les femmes, de publier… Lorsqu’un des personnages disparaît, l’intrigue prend alors une tournure que j’ai trouvé par moments peu crédible et qui m’a finalement laissée quelque peu déçue. Ce premier roman de Julia Bartz, d’une maison d’édition...
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  • Lierre 04/02/2024
    Alex sèche devant sa page blanche. Elle ne pense qu'à l'incident qui l’a séparée de Wren, son ex meilleure amie fusionnelle. Heureusement pour elle, elle est sélectionnée pour participer à une retraite littéraire d'un mois dans le manoir isolé de l’autrice de thrillers qu’elle adule entre toustes, Roza Vallo. Huit personnes coupées du monde dans un manoir sans internet ni réseau réputé hanté. Les dieux savent que je ne peux pas résister à un manoir hanté. Mais celle qui m’a immédiatement happée est Roza Vallo. Sa présence écrase les aspirantes autrices. Elle se montre tour à tour odieuse, humiliante, colérique, mielleuse et maternante. Les règles du jeu sont vite posées: il n’y aura ni bienveillance, ni sororité: c’est une compétition. Une seule des cinq participantes verra son roman - à écrire en un mois au rythme haletant de 1000 pages par jour à glisser sous une porte avant minuit - publié. Ainsi les tensions montent très vite. Et une disparition bouscule l’ensemble. J’ai aimé l’ambiance gothique et écrasante du huis clos, la montée en tension, les mystères et la ligne ténue entre fantastique et réalité. J’ai lu ce roman d’une seule traite, c’est un petit page turner une fois démarré. Hélas, il est teinté par quelques défauts: Les personnages sont absolument tous imbuvables. Curieusement, ce n’est pas SI important, car on est de toute façon plus placé en… voyeur, ce qui ajoute à l’ambiance horrifique, mais tout de même. Le roman est globalement beaucoup, beaucoup trop épicé à mon goût (même si je suis très contente d’ajouter des épices queer à ma bibliothèque, ce n’est pas si courant! J’aurai juste aimé un dosage plus subtile.) . L’intrigue part si loin dans la folie qu’elle se décrédibilise un peu. Néanmoins, j’ai apprécié la conclusion et surtout, l’épilogue. (Bechdel - alors la c’est facile, les femmes ont un bon 98% du livre pour elles seules ! Deux femmes au moins portent un nom: oui Elles entretiennent au moins un dialogue entre elles: oui Et y discutent d'autre chose que d'un ou des hommes: oui) Alex sèche devant sa page blanche. Elle ne pense qu'à l'incident qui l’a séparée de Wren, son ex meilleure amie fusionnelle. Heureusement pour elle, elle est sélectionnée pour participer à une retraite littéraire d'un mois dans le manoir isolé de l’autrice de thrillers qu’elle adule entre toustes, Roza Vallo. Huit personnes coupées du monde dans un manoir sans internet ni réseau réputé hanté. Les dieux savent que je ne peux pas résister à un manoir hanté. Mais celle qui m’a immédiatement happée est Roza Vallo. Sa présence écrase les aspirantes autrices. Elle se montre tour à tour odieuse, humiliante, colérique, mielleuse et maternante. Les règles du jeu sont vite posées: il n’y aura ni bienveillance, ni sororité: c’est une compétition. Une seule des cinq participantes verra son roman - à écrire en un mois au rythme haletant de 1000 pages par jour à glisser sous une porte avant minuit - publié. Ainsi les tensions montent très vite. Et une disparition bouscule l’ensemble. J’ai aimé l’ambiance gothique et écrasante du huis clos, la montée en tension, les mystères et la ligne ténue entre fantastique et réalité. J’ai lu ce roman d’une seule traite, c’est un petit page turner une fois démarré....
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