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Le Chant des coquillages
Jean-Marie Argeles (traduit par)
Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 19/05/2022
Éditeurs :
L'Archipel

Le Chant des coquillages

Jean-Marie Argeles (traduit par)
Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 19/05/2022
« Sarah Lark nous tient en haleine avec la vie des femmes qui sont parvenues à conquérir cette terre sauvage. » thalia.de
Nouvelle-Zélande, 1863. Carol et Linda vivent heureuses après que leurs mères, Cat et Ida, ont surmonté bien des embûches. Mais leur bonheur leur vaut aussi des ennemis, qui envient leur... Nouvelle-Zélande, 1863. Carol et Linda vivent heureuses après que leurs mères, Cat et Ida, ont surmonté bien des embûches. Mais leur bonheur leur vaut aussi des ennemis, qui envient leur prospérité ou voient d’un mauvais oeil leurs liens avec les Maoris.
Les deux jeunes femmes n’ont que faire du qu’en-dira-t-on. Bientôt, Linda...
Nouvelle-Zélande, 1863. Carol et Linda vivent heureuses après que leurs mères, Cat et Ida, ont surmonté bien des embûches. Mais leur bonheur leur vaut aussi des ennemis, qui envient leur prospérité ou voient d’un mauvais oeil leurs liens avec les Maoris.
Les deux jeunes femmes n’ont que faire du qu’en-dira-t-on. Bientôt, Linda prendra la tête de la colonie, tandis que Carol et son fiancé se consacreront à l’élevage de moutons.
Las, tous leurs projets s’écroulent après une terrible tragédie. Au chagrin suscité par le drame se mêlent bientôt la crainte et l’angoisse que leur avenir sur l’île soit compromis. D’autant que grandit la menace d’un conflit entre colons et autochtones.
Linda et Carol trouveront-elles la force de surmonter, comme leurs mères vingt-cinq ans plus tôt, les épreuves que le destin a placées sur leur route ?
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EAN : 9782809843637
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 672
Format : 153 x 240 mm
EAN : 9782809843637
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 672
Format : 153 x 240 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Leshayah 21/02/2024
    Je continue ma découverte de Sarah Lark ! Comme à chaque fois, j'ai adoré les personnages, les décors et les intrigues. Bien sûr, les personnages sont toujours blancs ou noirs, rarement gris, et on sait également comment le roman va se terminer dès le début. Mais le chemin est passionnant à chaque fois. Je ne m'en lasse pas...l'autrice a le don de dresser le portrait de ses personnages de sorte qu'on les cerne tout de suite et qu'on les aime/déteste de rapidement. Puis, ces trilogies, saga familiales me plaisent vraiment ! Quand on commence les tomes 2 et 3 on est à chaque fois déjà attaché aux protagonistes, on connaît leur ascendance. J'adore les paysages de Nouvelle-Zélande et je trouve qu'avec Sarah Lark on s'y croirait. Pareil pour l'époque, je vois les bâtiments, les vêtements, le quotidien des personnages et leurs préoccupations. On découvre également le contexte historique, les traités, les conflits, les trahisons, l'appropriation de la terre par les colons... On a le point de vue des Maoris et leur culture est valorisée dans chaque roman. Vraiment une de mes autrices favorites !
  • Mariloup 15/07/2022
    Le Chant des Coquillages, même si cela n'est pas précisé, est le tome 2 de Fleurs de Feu, premier tome que j'avais absolument adoré et qui avait même été presque un coup de cœur. Je suis décidément fan des œuvres de Sarah Lark parce que j'avais même eu un coup de cœur pour L'île aux mille sources de l'autrice et il me tarde de lire tous ses autres romans ! Ce tome 2 est signe d'un bond de 20 ans dans le temps. Les personnages du premier tome, de l'ancienne génération, sont bien évidemment présents comme Ida et Karl, qui ont eu une fille ensemble du nom de Mara, ils sont un peu moins présents du fait qu'ils partent vivre dans le Nord de la Nouvelle Zélande, Chris et Cat sont bien entendu de la partie eux aussi, avec un enfant un naître et une terrible histoire vu qu'ils seront considérés comme morts à la suite d'un naufrage. Il y a aussi Jane, l'ex-femme de Chris, un des personnages qui est à la frontière du Bien et du Mal, qui ferait de mauvais choix à tel point qu'elle se retrouvera même éloignée des siens. Mais place à la nouvelle génération avec pléthore de personnages auxquels je me suis grandement attachée pour certains comme Eru et Mara. Il y a donc Mara, la fille d'Ida et de Karl, la plus jeune, sauvage et tellement courageuse alors qu'elle vivra les pires horreurs dans ce tome, et follement amoureuse d'Eru qui partage cet amour malgré leurs différences car il est métis, torturé, perdu entre deux mondes totalement différents et courageux au-delà de tout. Il y a aussi Carol, fille naturelle d'Ida, fiancée à Oliver au début du tome avant de finir par tomber amoureuse du soldat anglais Bill à la suite d'événements tragiques. Vient ensuite, Linda, fille naturel de Cat et demi-sœur de Carol, elles se ressemblent tellement qu'elles sont souvent prises pour des jumelles. Jeune, manipulée par son mari Fitz qui ne cessera jamais de jouer avec elle et de l'entraîner dans l'inconnu et les mauvaises affaires. Heureusement, elle fera de belles rencontres dont un certain Franz, le petit frère d'Ida, qui l'aime depuis le début mais croyait qu'ils avaient un lien de sang, révérend qui ne cessera d'évoluer afin de veiller sur des orphelins maoris. J'ai un réel attachement pour les personnages, d'autres beaucoup moins car ils sont exécrables mais sont absolument nécessaire pour l'histoire. C'est une fresque familiale dont je suis désormais fan ! Le roman regorge de différents points de vue pour plus de dynamisme. L'immersion est totale grâce aux nombreuses descriptions très pointues, le travail de recherche de l'autrice étant exceptionnel. Le voyage, l'évasion et le dépaysement étaient au rendez-vous pour mon plus grand plaisir car ce genre de romans se doit de me l'apporter. Et ce que j'aime par-dessus tout, c'est l'enrichissement sur le point historique et culturel, j'ai appris plein de choses sur les Maoris ! Le Chant des Coquillages est d'une telle densité car il s'agit d'un très gros pavé de plus de 600 pages, d'une telle richesse et la plume est sublime, envoûtante... délicieuse. J'ai tout de même eu quelques difficultés à entrer dans l'histoire au début, je ne me souvenais plus de grand chose et j'ai eu peur de ne pas savourer ma lecture comme il se doit mais mon inquiétude n'avait pas lieu d'être. Je déplore quelques longueurs mais rien de bien méchant ainsi que quelques difficultés avec les noms maoris notamment, ce qui peut se comprendre. Ce roman a vraiment été un choc des cultures entre Anglais et Maoris, avec les mœurs et les différentes religions des uns et des autres, qui se heurtent violemment (le christianisme et les nombreuses divinités des Maoris). Il met aussi en avant le conflit entre Anglais et Maoris, pour les terres notamment et même les conflits entre tribus. Il y a énormément de similitudes avec les conflits entre Amérindiens et Américains à l'époque. Certains événements m'ont choqué, révolté et même traumatisée avec des viols, du cannibalisme, de la barbarie. Ce tome 2 dénonce comme son prédécesseur les conditions de la femme, les inégalités des sexes. D'ailleurs, les personnages sont bien éprouvés, souvent malheureux en amour mais heureusement, le réel amour fait souvent son apparition ! En bref, ce fut une excellente lecture et même presque un coup de cœur. J'ai été passionnée et charmée par ce roman. Cette lecture se révéla addictive et terriblement prenante. Je ne sais pas si une suite est à l'ordre du jour mais je ne dis pas non à son arrivée que je lirais avec grand plaisir ! Je remercie énormément Mylène et les éditions de l'Archipel pour la réception de ce second tome que j'ai adoré.Le Chant des Coquillages, même si cela n'est pas précisé, est le tome 2 de Fleurs de Feu, premier tome que j'avais absolument adoré et qui avait même été presque un coup de cœur. Je suis décidément fan des œuvres de Sarah Lark parce que j'avais même eu un coup de cœur pour L'île aux mille sources de l'autrice et il me tarde de lire tous ses autres romans ! Ce tome 2 est signe d'un bond de 20 ans dans le temps. Les personnages du premier tome, de l'ancienne génération, sont bien évidemment présents comme Ida et Karl, qui ont eu une fille ensemble du nom de Mara, ils sont un peu moins présents du fait qu'ils partent vivre dans le Nord de la Nouvelle Zélande, Chris et Cat sont bien entendu de la partie eux aussi, avec un enfant un naître et une terrible histoire vu qu'ils seront considérés comme morts à la suite d'un naufrage. Il y a aussi Jane, l'ex-femme de Chris, un des personnages qui est à la frontière du Bien et du Mal, qui ferait de mauvais choix à tel point qu'elle se retrouvera même éloignée des siens. Mais place à la nouvelle génération avec...
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  • Sourisetdeslivres 24/06/2022
    《𝙰𝚟𝚒𝚜 𝙻𝚎𝚌𝚝𝚞𝚛𝚎 : 𝙻𝚎 𝚌𝚑𝚊𝚗𝚝 𝚍𝚎𝚜 𝚌𝚘𝚚𝚞𝚒𝚕𝚕𝚊𝚐𝚎𝚜》 Bonjour mes liseurs, me voilà avec un avis sur un deuxième tome de trilogie écrit par une romancière que j'adore : Sarah Lark Sur le blog vous trouverez sa bibliographie complète et mes avis, si j'ai adoré tous ses livres jusqu'à présent ma saga préférée reste Le pays du nuage blanc. Qu'en est-il de ce roman ? Le chant des coquillages de Sarah Lark est le deuxième volet de la saga Fleur de feu, je l’ai presque plus captivant et mouvementé que le premier volet. Sarah Lark comme elle sait si bien le faire mêle avec brio histoire et fiction. Elle nous emmène à travers les paysages à couper le souffle de la Nouvelle-Zélande, dans le monde des immigrés anglais ou irlandais, les Pakehas et au sein des tribus Maoris. Dans ce deuxième tome, il y a énormément d’action et de suspense. De plus, on ne reste pas dans une partie de la Nouvelle-Zélande, mais on va voyager du nord au sud et inversement. Dans Le chant des coquillages, Sarah Lark t’emmène à nouveau dans un fascinant voyage. Les deux romans t’expliquent la culture maorie, affectée par les changements religieux, sociaux et économiques à cause de l’immigration importante des pakehas. Comment des autochtones finissent par être décimés. une culture presque oubliée. Des romans, assez volumineux (600 pages pour le premier, 659 pour celui-ci) mais aucune page n’est de trop pour pouvoir observer la croissance, les défaites et les fortunes d'un peuple. De nombreux scénarios passionnants, avec plusieurs rebondissements, des personnages uniques et des faits à suivre. Amitié, amour, immigration, expropriation, guerre, conséquences économiques et religieuses sur un peuple, élevage des moutons et grands espaces, naufrage, violence, chercheur d’or ; des jeunes gens face à des choix de vie, survie, lutte envers soi sont, en partie, les thèmes que tu retrouveras dans ce second volet de « fleurs de feu » 💻avis complet sur le blog 💻《𝙰𝚟𝚒𝚜 𝙻𝚎𝚌𝚝𝚞𝚛𝚎 : 𝙻𝚎 𝚌𝚑𝚊𝚗𝚝 𝚍𝚎𝚜 𝚌𝚘𝚚𝚞𝚒𝚕𝚕𝚊𝚐𝚎𝚜》 Bonjour mes liseurs, me voilà avec un avis sur un deuxième tome de trilogie écrit par une romancière que j'adore : Sarah Lark Sur le blog vous trouverez sa bibliographie complète et mes avis, si j'ai adoré tous ses livres jusqu'à présent ma saga préférée reste Le pays du nuage blanc. Qu'en est-il de ce roman ? Le chant des coquillages de Sarah Lark est le deuxième volet de la saga Fleur de feu, je l’ai presque plus captivant et mouvementé que le premier volet. Sarah Lark comme elle sait si bien le faire mêle avec brio histoire et fiction. Elle nous emmène à travers les paysages à couper le souffle de la Nouvelle-Zélande, dans le monde des immigrés anglais ou irlandais, les Pakehas et au sein des tribus Maoris. Dans ce deuxième tome, il y a énormément d’action et de suspense. De plus, on ne reste pas dans une partie de la Nouvelle-Zélande, mais on va voyager du nord au sud et inversement. Dans Le chant des coquillages, Sarah Lark t’emmène à nouveau dans un fascinant voyage. Les deux romans t’expliquent la culture maorie, affectée par les changements religieux, sociaux et économiques à cause de...
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  • MSophieBC 10/06/2022
    Ce deuxième tome de la nouvelle saga de Sarah Lark (le premier tome Fleurs de feu nous avait déjà conquis) est totalement captivant, dépaysant et envoûtant. On retrouve avec bonheur Cat et Ida ainsi que leurs filles Linda et Carol. Elles ont grandi et sont de vraies jeunes filles. Et puis, il y a Chris, Karl, Te Haitera, Jane, Eru… et les voisins Butler. C’est le principe d’un livre choral. On y suit, sur plusieurs générations, le destin de familles, d’aventuriers qui ont quitté leurs villes européennes pour essayer de vivre un monde meilleur en pays néo-zélandais. Et ce sont leurs vies qui nous sont racontées ensuite. À tel point qu’on a l’impression qu’ils font partie de la nôtre. Ces femmes fortes et ces colons travailleurs sont inspirants. Et Sarah Lark a cette particularité qu’elle m’a accompagnée, lorsque je l’ai découverte avec Le Pays du Nuage blanc, dans un deuil difficile. Elle m’a permis de fuir une réalité trop maussade et à donner à mon esprit un peu d’air et de réalité parallèle. Aujourd’hui encore, Le chant des coquillages a rempli ce rôle d’échappatoire salvatrice. Quand la littérature se fait guérisseuse, il y a du merveilleux quelque part.
  • Valmyvoyou_lit 04/06/2022
    Le chant des coquillages est la suite de Fleurs de feu. Dans le premier tome, nous découvrions le destin de Cat et Ida : les terribles épreuves que les hommes leur ont imposées, leur combativité et la force puisée dans leur amitié indestructible. Ce nouvel opus est consacré à leurs filles. Nouvelle-Zélande, 1863. Linda, Carol et Mara ont grandi en harmonie avec les Maoris. Leurs parents (Karl, Ida, Cat et Chris) ont uni leurs forces et leurs talents pour fonder Rata Station, un élevage prospère de moutons. Linda est destinée à reprendre l’exploitation. Carol attend, avec impatience de devenir madame Olivier Butler et de posséder son propre élevage, grâce aux moutons que sa dot contiendra. Mara espère, quand elle sera en âge, s’unir à Eru, le fils de Te Haitara, le chef de la tribu maorie Ngai Tahu. Hélas, un drame bouleverse les projets des jeunes filles. Au chagrin de la perte d’êtres chers, s’ajoutent la peur, la trahison et l’insécurité. L’une se réfugie dans un mariage imprévu, avec un homme qui se révèle peu fiable. Les deux autres fuient sur les chemins. La route est dangereuse, alors que gronde la révolte des Maoris. Les terres de ces derniers ont été spoliées par les Pakehas (les blancs), leurs enfants ont été enlevés afin de devenir de bons chrétiens, etc. Aussi, mené par le chef des Hau Hau (une des tribus les plus sanguinaires), le rang des assoiffés de revanche est rejoint par des adeptes de plus en plus nombreux, déterminés à assouvir leur rage et à protéger leurs territoires. Les combats sont sanglants, les expéditions punitives trouvent leur apogée dans les têtes coupées, transportées en trophée, et deux femmes blanches attisent les instincts les plus abjects. Les réponses violentes apportées à leurs revendications, par l’armée anglaise, ne font qu’amplifier les haines. Dans les deux camps, les hommes se battent, commettent des exactions, se comportent mal et les femmes et les enfants souffrent, qu’ils soient maoris ou blancs. Certaines scènes démontrent une cruauté immense. Pourtant, au milieu de ces combats acharnés, des gestes donnant foi en l’humanité, ravivent l’espoir. Alors que les personnages sont fictifs, l’histoire s’appuie sur des faits réels : la guerre de Taranaki qui a ravagé l’île du Nord. Sarah Lark livre différentes perceptions des évènements : celle des guerriers maoris, des soldats blancs, d’un missionnaire catholique, d’une vieille femme maorie, de pakehas installés au Sud et au Nord, etc. Cela donne une vision exhaustive de cette terrible période. Le chant des coquillages est une saga romanesque, aussi le récit accorde une grande place aux relations amoureuses, familiales, amicales et ennemies. Tous les ingrédients du dépaysement sont réunis : sentiments, trahisons, solidarité, courage, rebondissements surprenants, chagrins, bonheur, souffrances, joies, etc. et le suspense est très grand au sujet de certains destins. Même si j’ai une préférence pour Fleurs de feu, car certains passages de ce nouvel opus m’ont paru plus lents, j’ai adoré Le chant des coquillages. Le chant des coquillages est la suite de Fleurs de feu. Dans le premier tome, nous découvrions le destin de Cat et Ida : les terribles épreuves que les hommes leur ont imposées, leur combativité et la force puisée dans leur amitié indestructible. Ce nouvel opus est consacré à leurs filles. Nouvelle-Zélande, 1863. Linda, Carol et Mara ont grandi en harmonie avec les Maoris. Leurs parents (Karl, Ida, Cat et Chris) ont uni leurs forces et leurs talents pour fonder Rata Station, un élevage prospère de moutons. Linda est destinée à reprendre l’exploitation. Carol attend, avec impatience de devenir madame Olivier Butler et de posséder son propre élevage, grâce aux moutons que sa dot contiendra. Mara espère, quand elle sera en âge, s’unir à Eru, le fils de Te Haitara, le chef de la tribu maorie Ngai Tahu. Hélas, un drame bouleverse les projets des jeunes filles. Au chagrin de la perte d’êtres chers, s’ajoutent la peur, la trahison et l’insécurité. L’une se réfugie dans un mariage imprévu, avec un homme qui se révèle peu fiable. Les deux autres fuient sur les chemins. La route est dangereuse, alors que gronde la révolte des Maoris. Les terres de ces derniers ont été spoliées...
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