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Piège nuptial
Bernard Cohen (traduit par)
Date de parution : 06/11/2008
Éditeurs :
Belfond

Piège nuptial

Bernard Cohen (traduit par)
Date de parution : 06/11/2008

Quand un voyage au paradis des grands espaces australiens vire au cauchemar le plus total. Un bijou d'humour noir et de suspense pour le premier roman de Douglas Kennedy, un ouvrage devenu culte et réédité aujourd'hui par Belfond dans une toute nouvelle traduction.

Fasciné par une carte d'Australie, Nick, un journaliste américain, décide de tout plaquer pour atterrir à Darwin.
Une nuit fatale, un accident avec un kangourou et sa rencontre avec la...

Fasciné par une carte d'Australie, Nick, un journaliste américain, décide de tout plaquer pour atterrir à Darwin.
Une nuit fatale, un accident avec un kangourou et sa rencontre avec la jeune et robuste Angie vont le mener au cœur du bush, au milieu de nulle part, au sein d'un clan...

Fasciné par une carte d'Australie, Nick, un journaliste américain, décide de tout plaquer pour atterrir à Darwin.
Une nuit fatale, un accident avec un kangourou et sa rencontre avec la jeune et robuste Angie vont le mener au cœur du bush, au milieu de nulle part, au sein d'un clan d'allumés coupés du monde.
Pris au piège, Nick va devoir user de tous les moyens possibles pour échapper à ceux qui l'ont adopté à son corps très défendant. En jeu : sa survie, tant physique que mentale…

« Si vous voulez vraiment prendre conscience de votre insignifiance cosmique et existentielle, allez au cœur de l'Australie, vous en aurez la révélation immédiate et ça vous mettra K-O ! »
Douglas Kennedy, in L'Éloge de la fuite, un film L'Envol-Arte

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EAN : 9782714445025
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 272
Format : 154 x 240 mm
EAN : 9782714445025
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 272
Format : 154 x 240 mm

Ils en parlent

« Mené à un train d'enfer en direct du Styx, le récit ferait dresser les cheveux sur la tête d'un chauve, tant est piquant le suspense ! »
Valérie Lejeune - Le Figaro Magazine

« Un style, nerveux, contrebalancé par une bonne dose d'autodérision. Des dialogues percutants, mais surtout un extraordinaire sens de la narration qui transforme chacun de ses livres en addiction. »
Yasmine Youssi - La Tribune

« Haletant et hilarant. »
Alexis Liebaert - Marianne

« Du grand Douglas Kennedy, virtuose, léger, drôle, et soudain inquiétant quand il décrit la folie des humains largués au bout du monde. »
Jacques Sterchi - La Liberté (Suisse)

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Emmadp00l 21/09/2023
    1️#8419; Ne jamais conduire en pleine nuit sur une route déserte. 2️#8419; Ne jamais céder aux charmes d'une auto-stoppeuse. 3️#8419; Et ne jamais se laisser droguer, enlever et épouser par ladite autochtone. Nick est un journaliste de 38 ans, qui rêve de tout plaquer pour partir à l'aventure et c'est qu'il va faire, direction la lointaine et dangereuse Australie ! 🔥 Vous vous en doutez, si j'ai énoncé les quelques règles susnommée c'est pour une bonne raison : le road-trip prend rapidement des airs de bad trip, dès lors qu'il enfreint la première consigne ! puis la seconde... Je ne m'étalerai pas plus, car je vous laisse tout le plaisir de découvrir le plan foireux dans lequel il se retrouve malgré lui – situations à première vue sans issues où l'on se demande vraiment si oui ou non il va s'en sortir et surtout com-ment ?! 🕵🏻#8205;#9792;️ Ma lecture a été couronnée de rire, d'yeux écarquillés, de divers onomatopées et de "oh non, le pauvre 😨/😂" Ce roman, c'est un mélange de chaleur harassante, de kangourous plutôt tranquilles et d'une bande de locaux pas vraiment sereins pour le coup. Le tout dans un style et une rédaction originale, qui sort du lot. Ne... 1️#8419; Ne jamais conduire en pleine nuit sur une route déserte. 2️#8419; Ne jamais céder aux charmes d'une auto-stoppeuse. 3️#8419; Et ne jamais se laisser droguer, enlever et épouser par ladite autochtone. Nick est un journaliste de 38 ans, qui rêve de tout plaquer pour partir à l'aventure et c'est qu'il va faire, direction la lointaine et dangereuse Australie ! 🔥 Vous vous en doutez, si j'ai énoncé les quelques règles susnommée c'est pour une bonne raison : le road-trip prend rapidement des airs de bad trip, dès lors qu'il enfreint la première consigne ! puis la seconde... Je ne m'étalerai pas plus, car je vous laisse tout le plaisir de découvrir le plan foireux dans lequel il se retrouve malgré lui – situations à première vue sans issues où l'on se demande vraiment si oui ou non il va s'en sortir et surtout com-ment ?! 🕵🏻#8205;#9792;️ Ma lecture a été couronnée de rire, d'yeux écarquillés, de divers onomatopées et de "oh non, le pauvre 😨/😂" Ce roman, c'est un mélange de chaleur harassante, de kangourous plutôt tranquilles et d'une bande de locaux pas vraiment sereins pour le coup. Le tout dans un style et une rédaction originale, qui sort du lot. Ne vous attendez pas à de la romance et pour la tendresse : oubliez, elle n'a pas sa place ici. Par contre, pour des étreintes musclées… 👀 Très friande de thrillers, celui-ci est un peu plus burlesque que ceux que j'ai l'habitude de lire, pour autant j'ai adoré ! C'est validé :D
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  • magmag8 19/09/2023
    Ça faisait longtemps que je n’avais pas lu un Douglas Kennedy, romancier américain très européanisé et plutôt féministe qui a écrit plusieurs livres que j’ai vraiment aimé même si ses titres sont à chaque fois affligeants. Dont, liste non exhaustive dans l’ordre: La poursuite du bonheur, L’homme qui voulait vivre sa vie, Cinq jours, La symphonie du hasard (trilogie) Il s’agit de son premier roman, réédité ensuite sous le titre de Piège Nuptial (encore un titre pourri). Un polar avec un antihéros (thème récurent chez lui, surtout quand le personnage est masculin) englué dans du bush australien. On est loin de la carte postale qui donne envie de réserver nos prochaines vacances. C’est étouffant et oppressant comme la chaleur écrasante et poussiéreuse de cette terre vide de vie. Et quand la vie humaine fait son apparition, c’est pour mieux fustiger la dissonance avec nos critères. Bienvenue chez les ploucs illettrés! Ça se lit sans répit, étant pris par le vertige et la bêtise de ce (anti-) héros pour lequel on finit bien sûr par espérer une fin heureuse. Ça monte graduellement avec une tension qui ne nous lâchera qu’après avoir fini la dernière ligne, le rythme cardiaque pouvant enfin s’apaiser.... Ça faisait longtemps que je n’avais pas lu un Douglas Kennedy, romancier américain très européanisé et plutôt féministe qui a écrit plusieurs livres que j’ai vraiment aimé même si ses titres sont à chaque fois affligeants. Dont, liste non exhaustive dans l’ordre: La poursuite du bonheur, L’homme qui voulait vivre sa vie, Cinq jours, La symphonie du hasard (trilogie) Il s’agit de son premier roman, réédité ensuite sous le titre de Piège Nuptial (encore un titre pourri). Un polar avec un antihéros (thème récurent chez lui, surtout quand le personnage est masculin) englué dans du bush australien. On est loin de la carte postale qui donne envie de réserver nos prochaines vacances. C’est étouffant et oppressant comme la chaleur écrasante et poussiéreuse de cette terre vide de vie. Et quand la vie humaine fait son apparition, c’est pour mieux fustiger la dissonance avec nos critères. Bienvenue chez les ploucs illettrés! Ça se lit sans répit, étant pris par le vertige et la bêtise de ce (anti-) héros pour lequel on finit bien sûr par espérer une fin heureuse. Ça monte graduellement avec une tension qui ne nous lâchera qu’après avoir fini la dernière ligne, le rythme cardiaque pouvant enfin s’apaiser. C’est cash et sans tendresse aucune mais avec une pincée d’humour noir parfaitement maîtrisée. Et pour ça, bravo Mr Kennedy pour ce pari réussi et le point de vue intéressant sur la vie en communauté qui peut totalement dégénérer. 4,5/5
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  • Sergalex 30/08/2023
    Avec un langage très cru, qui peut dérouter (cf. citations) voici une histoire, un drame plutôt, raconté avec beaucoup d'humour et qui nous permet de découvrir le outback (bush) australien dans un contexte très spécial (croyez pas que j'vais en dire plus, non ?...). On termine le livre en nage avec la langue pendante et le souffle court.... Lu en 1 journée
  • quilalu 27/07/2023
    J'ai découvert Douglas Kennedy avec ce premier roman, sorti plus tard avec une nouvelle traduction (Piège nuptial). J'avais adoré le suspense. C'est ce qui m'avait donné envie d'écrire à mon tour... Mais il m'a fallu des années pour me lancer ! Avec le temps, je me suis aperçu que le roman était diablement bien construit. J'ai lu ensuite les livres suivants avant de faire une pause quand l'auteur a voulu explorer d'autres genres qui lui seyaient moins je trouve. Il a retrouvé cette veine dans ses derniers romans (post Covid je dirais pour situer dans le temps).
  • gerardmuller 15/06/2023
    Cul de sac/Douglas Kennedy (retitré sous le nom de Piège nuptial dans les rééditions) Cela commence par une balade touristique dans le bush du nord-australien. Et puis cela va tourner au cauchemar absolu suite à une rencontre fortuite. Nick le touriste héros de ce thriller va nous raconter son histoire incroyable. Bien sûr, ce n’est pas du Flaubert mais plutôt du San Antonio revisité : Douglas Kennedy se lâche complètement dans un style à l’emporte pièce. Cela ne ressemble à aucun autre roman de Kennedy. Mais alors quel style et quelle traduction ! Un échantillon : « Le sexe avec elle ressemblait à une resucée du sac de la Gaule par Attila : on se retrouvait complètement nettoyé en deux temps trois mouvements. Elle ne vous faisait pas l’amour, elle vous prenait d’assaut. … » Allez-y, lancez-vous dans l’aventure : vous ne serez pas déçus. Vous lirez les 300 pages d’une seule traite, impossible d’y échapper.
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