"Chaque page de ce roman vous oblige à questionner le présent et le futur... On n’aime pas parler de choses qui fâchent, Shriver s’en fout, elle l’écrit. La lire est une vraie partie de plaisir"
Monica / Librairie Mollat
"Ce que j'aime chez Lionel Shriver c'est que la peinture de nos sociétés est sans concession mais ô combien drôle."
Isabelle / Espace Culturel Leclerc
"Avec un humour noir qui lui est propre et un sens de la répartie dont ses personnages peuvent être fiers, Lionel Shriver nous met face à nos doutes, nos contradictions et nos aberrations."
Céline / Librairie Trarieux
"Un texte brillant et essentiel."
Laetitia / Libraire Volante
"L’autrice dégomme le politiquement correct et ça fait du bien. Tout y passe avec son talent et sa plume aiguisée qui n’épargne personne."
Camille / Librairie La bicyclette bleue
"Lionel Shriver appuie là où ça fait mal et tourne en dérision cette société des winners avec beaucoup de piquant comme savent si bien le faire les grands auteurs américains."
Valérie / Librairie Ravy
"Lionel Shriver a l'art d'aborder les tabous par un prisme intime décapant."
Anne Berthod / La Vie
"A travers cette histoire écrite d'une plume incisive, à l'humour cinglant, l'auteure brosse un portrait caustique de la société américaine obsédée par la santé et le culte du corps."
+ de Pep's Magazine
"Percutant !"
Sophie Laurant / Le Pélerin
"On vous le recommande !"
Esprit Trail
"Une savoureuse chronique sur le sport, le couple et le vieillissement."
Tchnikart
"Lionel Shriver atomise tous les aspects du politiquement correct."
Joël Carassio / L'Alsace
"On connaissait Lionel Shriver féroce, épatante à se moquer de nos névroses, la voici impitoyable, tirant à boulets rouges sur les travers de nos sociétés narcissiques et inclusives. Du vitriol."
Isabelle Bourgeois / Avantages
"Une lecture aussi énergisante que votre jogging du matin et une critique mordante de d’une société obsédée par la performance !"
Marion Guilbaud / Biba
"Lionel Shriver n'en finit plus de planter son couteau dans les plaies morales et civilisationnelles de l'Amérique."
Clémentine Goldszal / Elle
"Un roman explosif."
Michel Primault / Femme Actuelle
"Lionel Shriver brosse un tableau corrosif du culte de l’apparence et de l’obsession de la performance, mais elle interroge aussi avec perspicacité le vieillissement, son acceptation et la manière de le vivre à deux. Féroce et drôle, mais aussi empathique."
Corinne Renou-Nativel / La Croix
"Lionel Shriver décrit avec son humour caustique les excès d’une société, où le sport et la course à pied ne sont plus des plaisirs, mais des exhortations à dépasser ses limites pour exhiber ses performances."
Eric Bulliard / La Gruyère
"Aussi ravageur que le démon de midi !"
Le Canard Enchaîné
"Ton caustique et esprit flingueur, la romancière s’attaque à la nouvelle obsession américaine pour la performance sportive. Jubilatoire."
Françoise Dargent / Le Figaro
"Lionel Shriver n'a pas son pareil pour mordre nos sociétés dopées à la performance. Avec elle, nos petites mesquineries et le peuple en Lycra tout entieren prennent pour leurgrade. C'est drôle, très méchant, ça fouette autant qu'une boisson énergisante."
Géraldine Catalano / L'Equipe Magazine
"Lionel Shriver observe ses contemporains avec une ironie réjouissante. Tant de constance pour dézinguer avec humour les valeurs de la société américaine suscite l'admiration. [...] Tout sonne juste dans cette chronique impitoyable aiguisée par l'art de la mise à nu de la romancière. De ses personnages, elle fait des écorchés de planche d'anatomie, dissèque jusqu'à leurs pensées les plus inavouables. [...] L'humour cinglant de Lionel Shriver ne fait pas de quartier. Lorsqu'elle tend le miroir des dérives qui, au-delà des Etats-Unis, gagnenet l'Occident, la lire est aussi salutaire qu'irrésistible."
Frédérique Bréhaut / Le Maine Libre
"Avec l’étincelant Quatre heures, vingt-deux minutes, dix-huit secondes, la romancière américaine ne manque ni de souffle ni d’humour pour mettre au jour nos plus inavoués travers."
Raphaëlle Leyris / Le Monde
"Livre après livre, Lionel Shriver prend un malin plaisir à décrire les vices, les errances et les travers de son pays."
Léonard Desbrières / Le Parisien Week-End
"Brio intellectuel, ironie cruelle, humour ravageur, Shriver, provocatrice iconoclaste du politiquement correct, brosse un tableau très noir des sentiments nobles masquant d’ignobles ressentiments. Si le chemin de l’enfer est pavé de bonnes intentions, celui du paradis vous réduit parfois à un corps sans vie rongé de passions tristes."
Michel Schneider / Le Point