La Constance du prédateur : Le livre de Maxime Chattam

Un thriller captivant du début à la fin. L’intrigue est haletante, brillamment écrite, et Chattam nous plonge dans une ambiance sombre et prenante. Seul bémol,une fin un peu trop rapide, presque expédiée en deux pages. J’aurais aimé plus de détails pour clore cette histoire en beauté. Mais ça reste un excellent roman, impossible à lâcher

Une lecture qui vaut le détour j’ai découvert cet écrivain et waou j’ai adorée rentre dans son univers j’ai hâte de lire la trilogie du mal Ce livre m’a vraiment mis dans l’ambiance des les premières ligne jusqu’à la dernier c’est vraiment ceux que je recherche en thème de triller merci merci

Sur la plage, un pavé Je n’avais jamais lu de Maxime Chattam et j’arrivais donc dans cet univers avec un regard neuf. Mon sentiment est mitigé mais, pour une lecture d’été l’avis reste positif principalement pour une raison : ce récit est addictif et bien conduit…à condition de passer sur des points très agaçants. D’emblée, cela s’engage plutôt mal. Je trouve terriblement putassier de commencer un livre avec une formule telle que : « Claire n’aime pas sucer « pour indiquer qu’elle n’aime pas le bruit que fait quelqu’un devant elle, qui a une sucette dans la bouche. Détail par ailleurs sans intérêt pour l’histoire ou la psychologie des personnages. Chattam doit aimer se comporter comme un adolescent libidineux puisqu’il arrive sans honte à écrire une phrase aussi niaise que : « À défaut de son mec, elle se remplissait avec son job » . Sérieusement Maxime, mais tu as quel âge ? Dire que dans tes remerciements de fin, tu rends un vibrant hommage (non Maxime, pas de sous-entendu ici) aux équipes d’Albin Michel pour leur « relecture du texte, l’exigence éditoriale pour titiller un auteur sur la pertinence d’une phrase… ». Tu n’es pas rancunier. Donc, vous l’aurez compris, ce n’est pas le style du siècle. Le sujet tournant autour de serial killers face à la police et aux profiteurs n’est pas non plus d’une originalité folle, de même que la complaisance à décrire des scènes difficiles à supporter. À ce portrait jusque là à charge, je pourrais ajouter des incohérences (une piste délaissée p 300, un indice que les super profiteurs qui arrivent à psychanalyser un poil de cul mettent de côté - « faut creuser. Non, laissez tomber, ça me va » - p 357…). Et pourtant, une fois entré dans l’histoire, on se prend au jeu, on tord parfois la bouche et puis on continue. Chattam met des détails partout, connaît les structures policières et les procédures et parvient à nous mener au bout de son récit pourtant étalé sur plus de 500 pages en format poche. C’est cette abondance et reconnaissons-le, un indéniable sens du rythme, qui finit par gagner. Sous toutes les réserves exprimées, un roman policier qui combiné à une crème indice 50+, remplit son office (non Maxime, pas son orifice).

Fan d’histoire sombre et obscure. J’ai adorer ce livre. Une réelle différence avec le roman « Lux ». L’on comprend bien ici son succès, et surtout son domaine. J’avoue avoir été surpris à plusieurs reprises, moi qui adore essayer de comprendre/deviner les différents schémas possible. Force est de constater que je ne l’ai vraiment pas vu venir. Le roman est excellent dans les descriptions des lieux de ce que les personnages ressentes. Toutefois je me suis pris un énorme coup de fouet, limite malaisant sur la partie où l’on rentre dans la tête du tueur. La description était excellente. Limite effarante. Ceci dit je suis quelque peu déçu, car j’ai « vu » tout le potentiel de chattam sur ce point. Et il est amplement en mesure de pouvoir rentrer dans ce domaine. J’aurai adorer qu’il s’étale un peu plus sur ce point. Je près cela fait partie de mes goûts personnel.