La religion : Le livre de Tim Willocks

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Sonatine

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James Ellroy a transfiguré le thriller, Stephen King a réinventé le roman d'horreur. Avec La Religion, Tim Willocks renouvelle le roman historique.

Mai 1565. Malte. Le conflit entre islam et chrétienté bat son plein. Soliman le Magnifique, sultan des Ottomans, a déclaré la guerre sainte à ses ennemis jurés, les chevaliers de l'ordre de Malte. Militaires aguerris, proches des templiers, ceux-ci désignent leur communauté sous le vocable de " la Religion ". Alors qu'un inquisiteur, arrive à Malte afin de restaurer le contrôle papal sur l'ordre, l'armada ottomane s'approche de l'archipel. C'est le début d'un des sièges les plus spectaculaires et les plus durs de toute l'histoire militaire. Dans ce contexte mouvementé, Mattias Tanhauser, mercenaire et marchand d'armes, d'épices et d'opium, accepte d'aider une comtesse française, Carla La Penautier, dans une quête périlleuse. Pour la mener à bien, ils devront affronter les intégrismes de tous bords, dénouer des intrigues politiques et religieuses, et percer des secrets bien gardés.

Sur fond de conflits et de mystères religieux, cet ouvrage follement romanesque et d'une érudition sans faille témoigne d'un sens de l'intrigue remarquable. En explorant la mystérieuse histoire des chevaliers de l'ordre de Malte, Tim Willocks, porté par une langue aussi intense que réaliste, évoque autant Alexandre Dumas qu'Umberto Eco. Un classique immédiat.

De (auteur) : Tim Willocks
Traduit par : Benjamin Legrand

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Expérience de lecture

Avis des libraires

Follement romanesque.
Le Canard enchaîné
Tim Willocks envoûte par son écriture puissante, poétique, pleinement rendue par une superbe traduction.

Le Monde diplomatique
Un récit résolument tourmenté, érudit et crépusculaire.
Le lecteur est emporté par une multitude de scènes obsédantes, écrites par le fils caché de James Ellroy et d'Umberto Eco.
Télérama
Vision panoptique des évènements, art du point, puissance hypnotique de l'intrigue, poésie de l'évocation, imagination cruelle et souriante.|Daniel Rondeau
Le Monde
Enfin l'occasion de découvrir ce roman noir de feu (grégeois), de flammes, de sang, de sueur et de larmes, où le fracas des épées qui s'entrechoquent va vous emporter jusqu'aux rives de Malte. Un voyage dans le temps, l'histoire et le cœur des hommes... Alexandre Dumas, prends garde à toi !|Jérôme Dejean
Librairie Sauramps - Montpellier - 34
Pour moi, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont lu La Religion et ceux qui vont le lire et l'adorer. C'est une lecture qui vous change à jamais.|Nicolas Lefort
Librairie Aude - Paris - 75

Avis Babelio

Kraps_78

3.50 sur 5 étoiles

• Il y a 4 semaines

Bon roman historique sur la guerre de religion sur Malte en 1565, décrivant avec force détails les différentes batailles qui ont animé cet épisode sanglant (et odorant, de toutes les humeurs possibles de l’être humain… car l’auteur ne fait preuve d’aucune réserve dans les détails les plus crus de cette épopée) L’un des intérêts réside dans la description des deux camps chrétiens et musulmans, deux humanités vouées à se détruire (ce qui n’a malheureusement pas tant changé…) Dans les points négatifs, un héros Mattias Tanhauser un peu trop fort à gérer les difficultés et un roman un tantinet trop long, même si les dernières 100 pages ramènent un peu d’intérêt, en rajoutant un peu d’inquisition (et une fin un peu trop happy end) dans ce terrible portrait de l’enfer de la guerre.

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JeanMichel11430

4.50 sur 5 étoiles

• Il y a 1 mois

Roman épique s’il en est. Des combats homériques, des amours, des trahisons, de grandes amitiés, l’horreur et l’humanité jalonnent cette histoire basée sur le siège de la forteresse des chevaliers de l’Ordre de Saint Jean à Malte en 1565 par les troupes ottomanes. Une lecture qui s’apparente à un coup de cœur. Mattias Taunnhauser, un ancien janissaire reconverti en trafiquant d’armes et d’opium se trouve entrainé dans la défense du siège de Malte tenu par l’Ordre des Hospitaliers. C’est pour l’amour de la comtesse Carla La Penautier qu’il embarque pour l’île afin de retrouver le fils de la belle dame. Malgré de nombreuses scènes ultraviolentes et sanglantes, Tim Wilocks réussit le pari d’un livre qui n’écœure pas le lecteur, ni ne l’ennuie sur près de 1000 pages. Au contraire, il nous conduit comme un métronome à travers la large palette des sentiments que peut provoquer la lecture.

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florianefischerff

3.00 sur 5 étoiles

• Il y a 4 mois

Amour, gloire et beauté à Malte. Quand j'ai pris ce livre au hasard, je ne m'attendais pas à cela. J'avais déjà lu les parodies "Comment les hommes décrivent les femmes en fiction", la réalité a rattrapé la parodie. L'auteur a un fétichisme sur les seins. Dès qu'une femme est décrite, focus sur les seins et comment le héro sent son petit oisillon tout dur. La romance est inutile, surtout le triangle amoureux. L'un des personnages féminins est uniquement dédié à coucher avec le héro. Elle se téléporte même quasiment au beau milieu d'un champ de bataille pour cela avant de repartir. Incompréhensible. Toutes les femmes tombent sous son charme en l'espace d'une ellipse temporelle. Le second personnage féminin principal a au moins plus de subtilité entre son lien à son enfant, sa religion, son passé et le contrat qu'elle a passé pour en arriver là. Pourquoi trois étoiles ? Car à côté, il y a le siège de Malte. Sa dureté, sa violence, sa crasse et son désespoir. Il y a la vision de deux religions, l'amour filial envers des idéaux. Cette partie est gâchée par ce Dallas sentimental inutile. Mais on en apprend plus sur ce siège, sa dureté et ce miracle face à une telle attaque. Pour cette partie, je mets trois étoiles. Pour le fétichisme de l'auteur et sa façon de traiter les personnages féminins, je m'arrête ici. Apparemment, il y a une suite. Ce livre se lit très bien tout seul, la fin est claire.

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florianefischerff

3.00 sur 5 étoiles

• Il y a 4 mois

Amour, gloire et beauté à Malte. Quand j'ai pris ce livre au hasard, je ne m'attendais pas à cela. J'avais déjà lu les parodies "Comment les hommes décrivent les femmes en fiction", la réalité a rattrapé la parodie. L'auteur a un fétichisme sur les seins. Dès qu'une femme est décrite, focus sur les seins et comment le héro sent son petit oisillon tout dur. La romance est inutile, surtout le triangle amoureux. L'un des personnages féminins est uniquement dédié à coucher avec le héro. Elle se téléporte même quasiment au beau milieu d'un champ de bataille pour cela avant de repartir. Incompréhensible. Toutes les femmes tombent sous son charme en l'espace d'une ellipse temporelle. Le second personnage féminin principal a au moins plus de subtilité entre son lien à son enfant, sa religion, son passé et le contrat qu'elle a passé pour en arriver là. Pourquoi trois étoiles ? Car à côté, il y a le siège de Malte. Sa dureté, sa violence, sa crasse et son désespoir. Il y a la vision de deux religions, l'amour filial envers des idéaux. Cette partie est gâchée par ce Dallas sentimental inutile. Mais on en apprend plus sur ce siège, sa dureté et ce miracle face à une telle attaque. Pour cette partie, je mets trois étoiles. Pour le fétichisme de l'auteur et sa façon de traiter les personnages féminins, je m'arrête ici. Apparemment, il y a une suite. Ce livre se lit très bien tout seul, la fin est claire.

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Fiche technique du livre

  • Genres
    Policiers & Thrillers , Thrillers
  • EAN
    9782355840142
  • Collection ou Série
  • Format
    Grand format
  • Nombre de pages
    864
  • Dimensions
    221 x 142 mm

L'auteur

Tim Willocks

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26,90 € Grand format 864 pages