L'Appel du néant : Le livre de Maxime Chattam

Après les 2 premiers chefs d’œuvres des Ludivine Vancker, j’espérais aussi bien, voir mieux de ce troisième opus. Je reste un peu sur ma fin. Le livre reste cependant très bien mais est beaucoup moins noir et malsain que les deux précédents. Le côté enquête avec la DGSI fait que le livre s’éparpille un peu trop à mon goût. Comme le dit Chattam lui même à la fin du livre, il ne veut pas donner de victoire au terroristes (à raison) et c’est peu être ça qui fait qu’on ressent comme un « manque » une fois le livre fermé.

J'ai aimé retrouver Ludivine et son équipe. J'ai aimé l'évolution des personnages, depuis le roman précédent. J'ai aimé cette tension qui s'est imprégnée en moi dès le début de ma lecture et qui ne m'a lâchée qu'à la toute dernière page. J'ai aimé cette intrigue qui change un peu de ce que l'auteur nous a offert précédemment. J'ai aimé le style d'écriture tout en justesse et toujours autant captivant. Finalement, je crois que j'ai tout aimé.

Une intrigue excellente (comme d’habitude) dont Maxime Chattam a le secret, elle mérite 5 étoiles comme tous les autres opus de la série « Ludivine Blancker ». Mais beaucoup (trop a mon goût) de descriptions tous au long de l’histoire, d’ou le 3 etoiles

Après avoir terminé La patience du diable, j'ai enchaîné avec L'appel du néant. Ce tome aborde le mal d'une façon différente des précédents. Elle est nécessaire étant donné les aventures passées. L'œuvre est très documentée sur cette nouvelle perspective. Maxime Chattam a réussi l'immersion totale du lecteur. J'aime toujours suivre les aventures de Ludivine et de ses coéquipiers. Cette histoire mêle fiction et réalité. Elle demande à l'humanité de se questionner sur ces devoirs et sur ces choix. J'ai hâte de commencer la suite !