Phobos - tome 1 : Édition " Livre de bord " : Le livre de Victor Dixen

Ma fille me demandait depuis des mois de lire ce livre, c'est chose faite. Pour avouer j'ai mis un long moment à rentrer dedans, déjà par le nombre de personnage, et pcq le sujet ne m'intéressait pas. Mais, la mayonnaise a pris! J'ai dévoré les dernières pages à une vitesse folle, et j'ai hâte de lire la suite. Je trouve que ce livre montre exactement les méfaits de la télé-réalité, on peut tout à fait faire la transition avec ce qui passe sur nos écrans

Ma fille me demandait depuis des mois de lire ce livre, c'est chose faite. Pour avouer j'ai mis un long moment à rentrer dedans, déjà par le nombre de personnage, et pcq le sujet ne m'intéressait pas. Mais, la mayonnaise a pris! J'ai dévoré les dernières pages à une vitesse folle, et j'ai hâte de lire la suite. Je trouve que ce livre montre exactement les méfaits de la télé-réalité, on peut tout à fait faire la transition avec ce qui passe sur nos écrans

Ma fille me demandait depuis des mois de lire ce livre, c'est chose faite. Pour avouer j'ai mis un long moment à rentrer dedans, déjà par le nombre de personnage, et pcq le sujet ne m'intéressait pas. Mais, la mayonnaise a pris! J'ai dévoré les dernières pages à une vitesse folle, et j'ai hâte de lire la suite. Je trouve que ce livre montre exactement les méfaits de la télé-réalité, on peut tout à fait faire la transition avec ce qui passe sur nos écrans

Cela fait très longtemps que j’ai ce livre dans ma PAL et je l’en ai enfin sorti. Je ne sais pas exactement pourquoi j’ai mis si longtemps à me lancer, je pense que j’avais des attentes trop élevées, peur d’être déçue, et/ou d’avoir trop «  vieilli » pour ce thème « Young Adult » de speed dating, même dans l’espace. Toujours est il que ça y est, je l’ai lu, et j’ai apprécié ma lecture. Certes, certains aspects du roman sont un peu cliché du genre « Young Adult » : les personnages sont tous hyper beaux, intelligents, etc, et même s’ils ont tous un défaut / problème / handicap caché, celui ci n’est pas très approfondi. Les personnalités sont assez classiques et superficielles, chacun a un ou deux traits de caractère et réagit en fonction, il n’y a que peu d’évolution des personnages au fil du récit. Le point qui m’a le plus dérangé est la manière dont les motivations des «  méchants » sont dévoilées : les dialogues utilisés sont presque enfantins et pas très réalistes. J’ai eu l’impression d’un raccourci pris par l’auteur. Enfin, malgré les difficultés et les péripéties, le ton reste léger et les personnages s’inquiètent plus de leur histoire d’amour que de leur mort potentielle dans l’espace. L’aspect scientifique n’est que peu abordé et sert surtout de « support » à l’histoire. Malgré ces éléments, la lecture reste agréable, en particulier grâce à l’écriture et la construction du récit. Les chapitres sont courts, voire très courts, le point de vue alterne entre les nombreux personnages, «  gentils » comme «  méchants ». L’écriture et les descriptions sont très visuelles, donnant au lecteur l’impression de regarder une série télévisée, ce qui colle parfaitement avec le thème de l’histoire. La fin très ouverte appelle à ne pas tarder à lire le tome suivant, et le côté addictif du roman me fait oublier ses défauts pour ne retenir que le bon moment de lecture ce qui, au fond, est tout ce que j’en attendais.