Les informations recueillies à partir de ce formulaire sont enregistrées dans un fichier automatisé par la société Sogedif, une société du Groupe Editis pour son compte et/ou pour le compte des autres sociétés du Groupe Editis afin de créer votre compte, gérer la relation commerciale (commande, facturation, livraison, relation client) et réaliser des études marketing afin de vous proposer des offres adaptées à vos besoins et à vos centres d’intérêt. Vous pouvez à tout moment vous désabonner en cliquant sur le lien de désinscription présent dans chaque email. Pour une simple résiliation de votre compte, vous pouvez envoyer un mail à l’adresse Questions_Data@editis.com. Conformément à la Loi Informatique et Liberté n°78-17 du 6 janvier 1978 modifiée, au RGPD n°2016/679 et à la Loi pour une République numérique du 7 octobre 2016, vous disposez du droit d’accès, de rectification, de limitation, d’opposition, de suppression, du droit à la portabilité de vos données, de transmettre des directives sur leur sort en cas de décès. Vous pouvez exercer ces droits en adressant un mail à DPO-Editis@Editis.com. Vous avez la possibilité de former une réclamation auprès de la CNIL. Pour en savoir plus sur le traitement de vos données et sur vos droits, nous vous invitons à lire notre Politique de confidentialité.
Retrouvez toutes les maisons d'édition du groupe Editis ici.
Inscrivez-vous à notre newsletter pour télécharger les extraits de notre rentrée littéraire
Les informations recueillies à partir de ce formulaire sont enregistrées dans un fichier automatisé par la société Sogedif, une société du Groupe Editis pour son compte et/ou pour le compte des autres sociétés du Groupe Editis afin de créer votre compte, gérer la relation commerciale (commande, facturation, livraison, relation client) et réaliser des études marketing afin de vous proposer des offres adaptées à vos besoins et à vos centres d’intérêt. Vous pouvez à tout moment vous désabonner en cliquant sur le lien de désinscription présent dans chaque email. Pour une simple résiliation de votre compte, vous pouvez envoyer un mail à l’adresse Questions_Data@editis.com. Conformément à la Loi Informatique et Liberté n°78-17 du 6 janvier 1978 modifiée, au RGPD n°2016/679 et à la Loi pour une République numérique du 7 octobre 2016, vous disposez du droit d’accès, de rectification, de limitation, d’opposition, de suppression, du droit à la portabilité de vos données, de transmettre des directives sur leur sort en cas de décès. Vous pouvez exercer ces droits en adressant un mail à DPO-Editis@Editis.com. Vous avez la possibilité de former une réclamation auprès de la CNIL. Pour en savoir plus sur le traitement de vos données et sur vos droits, nous vous invitons à lire notre Politique de confidentialité.
Retrouvez toutes les maisons d'édition du groupe Editis ici.
Inscrivez-vous à la Newsletter Lisez!
Découvrez toutes les actualités de nos maisons d'édition et de vos auteurs préférés
* Voir les conditions de traitement de vos données en cliquant sur "Plus d'infos"
Plus d'infos
En cochant la case prévue à cet effet, et en renseignant votre email, vous acceptez son traitement par Sogedif et les maisons d’édition du groupe Editis, afin de recevoir des informations de Lisez.com qui diffuse les actualités de l’ensemble des maisons d’édition du groupe Editis. Vous pourrez vous désinscrire à tout moment à partir du lien de désinscription présent dans chaque email. Pour en savoir plus sur le traitement de vos données et sur vos droits, nous vous invitons à lire notre Politique de confidentialité. Retrouvez toutes les maisons d’édition du groupe Editis ici.
PROFITEZ D'UN
LIVRE AUDIO OFFERT*
parmi une sélection de plus de 800 livres
en vous inscrivant aux newslettersLisezet Lizzie dès maintenant!
* Voir les conditions de traitement de vos données en cliquant sur "Plus d'infos"
Plus d'infos
Offre valable pour toute nouvel abonné simultané aux newsletters « Lisez » et « Lizzie », sélection à opérer sur le site des éditions Lizzie (www.lizzie.audio) à partir d’un code de téléchargement valable pour une durée de 2 mois après réception du code, et nécessitant la création obligatoire d’un compte.
En renseignant votre email pour l’inscription aux newsletters Lisez et Lizzie, vous acceptez son traitement par Sogedif, les éditions Lizzie (société Univers Poche) et les maisons d’édition du groupe Editis, afin de recevoir des actualités des éditions Lizzie et de l'ensemble des maisons d’édition du groupe Editis. Vous pourrez vous désinscrire à tout moment à partir du lien de désinscription présent dans chaque email. Pour en savoir plus sur le traitement de vos données et sur vos droits, nous vous invitons à lire notre Politique de confidentialité. Retrouvez toutes les maisons d’édition du groupe Editis ici.
MERCI POUR VOTRE INSCRIPTION !
Nous venons de vous envoyer votre code personnel par email.
Vous pourrez ainsi choisir votre livre audio Lizzie gratuit.
Bienvenu(e) sur Lisez !
Pour profiter au maximum de notre site et vivre l’expérience lecture la plus riche qui soit, créez-vous un compte. Vous pourrez suivre vos auteurs préférés, ajouter des livres à votre bibliothèque et vous tenir informé(e) de toute l’actualité littéraire.
Rentrée littéraire d'hiver : les nouvelles plumes à découvrir
Partager
Par Lisez, publié le 09/01/2024
Rentrée littéraire d'hiver : les nouvelles plumes à découvrir
Les premiers romans de la rentrée littéraire d'hiver 2024
Explorez les nouvelles plumes de la rentrée littéraire d'hiver à travers leur roman ! Des voix captivantes, des univers uniques – une immersion littéraire qui promet de vous emporter.
Un homme débarque à Budapest, sa ville natale, par un chaud matin d’automne, pour un séjour d’une semaine. Il a l’intention de revoir ses anciens amis, sa famille, son premier amour. De parcourir de bas en haut son arbre généalogique, ou du moins ce qu’il en reste, du petit cousin hooligan aux grands-parents qui dorment paisiblement, l’espère-t-il, sous les pierres moussues du cimetière.
Avec Petya, son compagnon d’enfance, il forme le projet d’aller visiter la maison que son père a chérie pendant des années, qu’il a longtemps espéré recevoir en héritage, mais qui a sombré avec tout le reste. Cette maison du lac Balaton, ancien pressoir de vignoble, à flanc de colline, où l’on entrait en passant par le grenier. Il faut donc s’empresser de griffonner sur un napperon le plan pour s’y rendre, mais ce geste n’est-il pas aussi dérisoire que de vouloir retracer les contours d’un rêve dont on émerge à peine avant qu’il nous échappe à jamais ?
Depuis que son ex l’a largué parce qu’il était faible et fragile, Melvile ressasse l’histoire d’amour qui vient de le terrasser. Sur les réseaux sociaux où il s’est réfugié, une rencontre virtuelle va réveiller ses disparues. Laetitia, la Galopante, Nina… Trois images manquantes, trois premières fois. Seuls les fantômes est un voyage dans le temps où tournoient les voix du passé. Les grandes vacances à Saint-Dalmas Valdeblore, les truites du Boréon, les émois et les malentendus… Un premier roman à la poésie singulière, où un homme cherche sa place, où les fantômes parlent et consolent parfois.
« Une voix forte et bouleversante. » Jean-Baptiste Andrea, auteur de Veiller sur elle, prix Goncourt 2023.
Enfant, Esther passe ses vacances chez sa grand-mère Jida, regard intimidant et canines en or, dont le pavillon modeste, une fois la porte fermée, transporte en Kabylie. Les chants, les odeurs, la cuisine, les danses, les traditions… Tout rappelle le pays d’où la famille a émigré, après la guerre d’Algérie, en passant par des camps de réfugiés. Il y a du monde, une agitation permanente. Esther évolue au milieu de ses tantes, ses oncles, ses cousins, ses cousines. Et parmi eux, il y a Ziri. Le fils chéri de Jida, qui aime trop les enfants. Régulièrement, Ziri demande à Esther d’aller l’attendre dans une chambre à l’étage. Elle se demande si personne ne se rend vraiment compte de rien. Comme elle se demande, plus grande, pourquoi sa grand-mère et une partie de la famille s’évertuent à protéger cet homme qui lui a fait tant de mal. Un été chez Jida raconte une famille de harkis, son héritage d’une richesse profuse et d’une violence terrible. Il raconte aussi l’obstination poignante d’une jeune femme à faire entendre sa voix, se battre contre des mœurs archaïques délétères et tenter de se réapproprier sa culture.
« Il s’agit, surtout, point aveugle au milieu de ce chatoiement, de dire la douleur d’être une femme dans un monde où la religion et les moeurs imposent un secret ravageur. Dans sa grâce et sa brutalité, Un été chez Jida est le beau roman d'une mémoire en morceaux.» Le Monde des livres
1914. La public school de Preshute, en pleine campagne anglaise, forme l’élite de la nation. Nourris des récits classiques qui glorifient l’honneur et la patrie, les pensionnaires suivent avec enthousiasme le déroulement de la guerre.
Henry Gaunt, dix-huit ans, s’enrôle dans l’armée britannique pour prouver la loyauté de sa famille envers l’Angleterre et s’éloigner de Sidney, pour lequel il nourrit des sentiments très forts. Sidney, cependant, s’empresse de le rejoindre, bientôt talonné par le reste de leurs camarades. Tous sont alors confrontés à l’abomination des tranchées et à l’omniprésence de la mort. Dans ce décor tragique et sanglant, qu’en sera-t-il de leurs passions et de leurs espoirs ?
Un voyage dans les Carpates ne s’improvise pas.
Piégés par la neige au cœur de la montagne roumaine, Jeanne et Boris, un couple de Français, trouvent refuge dans un étrange hameau – la Colonie – dirigée par des femmes.
Alors qu’ils se croient sauvés, débute une plongée vertigineuse dans le monde des vieux-croyants, une communauté aux lois archaïques, qui protège un impensable secret.
Une femme est clouée au lit, fiévreuse. Sans pouvoir expliquer pourquoi, elle a soudain l’envie de relire la Trilogie new-yorkaise de Paul Auster. De là, elle commence à se remémorer des moments de sa vie, notamment sa vingtaine dans les années 1990, à l’aube du tournant de l’an deux-mille. Les méandres de ses souvenirs forment une prose magnétique nourrie de nostalgie et de réflexions existentielles irrésistibles. Le tout agrémenté de références réjouissantes à la littérature. Son existence semble se résumer à quatre relations dont un amour indélébile, une amitié sauvage, une rencontre électrique et éphémère. Elle en tire des portraits inoubliables dont les sujets sont à la fois celle qui raconte et ceux qui sont racontés, une perspective, des détails que l’on remarque ou pas, une histoire de relations qui se font et se défont avant que l’ère numérique ne vienne bouleverser les rapports humains.
Paris s’endort, Léonore s’impatiente. Ce samedi soir, ses amis lui ont promis une fête mémorable. Ils se retrouvent dans le très bel appartement d’un certain Marc où se presse une foule d’invités égotiques, pétris d’ambition et dévorés par leur volonté de paraître. Les masques tombent à mesure que la nuit avance. La tension monte, jusqu’à ce que, par mégarde, Léonore décèle le secret de leur hôte.
Ni amitié, ni faux-semblants ne résistent à cette découverte. Le monde de Léonore vacille, et une question demeure : qui étaient vraiment les invités de Marc ?
La forme resserrée du récit sert une narration tendue. L’esprit aiguisé de Tiphaine du Boÿs se révèle autant dans son humour caustique que dans ses descriptions inatten- dues, souvent à la faveur de flash-back savoureux. L’auteure témoigne d’un style bien à elle, nerveux, précis, tranchant, et façonne un premier roman qui navigue habilement entre comédie de mœurs et roman noir.
Tous rêvent de fuir cette île désolée, où la ressource en eau est rare et contrôlée. La plupart des habitants s’épuisent à pomper des nappes inaccessibles. Ceux qui refusent cette cadence infernale n’ont d’autre choix que de se tapir dans l’obscurité. Mais dans cet univers de violence, une poignée d’individus n’a pas renoncé à la poésie. Au péril de leur vie, ils vont conjuguer leurs forces et chercher l’espoir et la beauté jusque dans les recoins les plus sombres de cette terre. Que reste-t-il de l’humanité quand les corps et les esprits sont aliénés? Quel avenir se dessine quand les ressources sont mises sous scellés? Roman d’anticipation à l’onirisme fabuleux qui déploie un monde hostile et fragmenté, La Roche choisit de livrer combat grâce à une langue dont chaque mot virevolte, percute et vient nourrir la possibilité d’un renouveau.
C’est un môme. Yohann Bellanger. Un gamin de dix-sept ans qui, par un mélange de provocation et de révolte, s’est engagé dans une ZAD.
Un soir, les CRS débarquent, lacrymos, grenades, blindés. Côté militants, branchages, caillasses, adrénaline. Lorsque les ombres des combattants se retrouvent entre les fumigènes, Yohann manque à l’appel. Il est resté à terre, le corps disloqué. Sortira-t-il ou non du coma ? Et dans quel état ?
Pour ses parents, la vie s’est arrêtée. Il faut attendre. Répondre aux questions de la petite soeur qui cherche son grand frère sans comprendre. Découvrir la vie des activistes qui entouraient Yohann, leurs convictions, leur humanité. Jusqu’à ce que tout s’embrase. Une histoire qui prend aux tripes, car ce destin familial où se mêlent la fureur, l’espoir et la fièvre raconte la France d’aujourd’hui.
Lorsque la narratrice de ce roman perd soudainement son père et voit sa vie bouleversée, elle se remémore son enfance. Alors qu’elle se confronte à ses souvenirs, celle-ci lui apparaît sous un jour nouveau, comme repeinte dans une teinte étrange. De sa maison d’enfance à l’hôpital et la morgue, Le plus petit dénominateur commun est le récit de cette femme et de la petite fille enfouie en elle : une petite fille qui a toujours voulu être un garçon, racontant sa propre histoire à la troisième personne. Ce récit fragmenté qui interroge l’identité, la sexualité, le rapport au monde, est le premier volet d’une trilogie autofictionnelle dans laquelle on peut voir Helsinki, en toile de fond, évoluer au fil des décennies.
---------- " Si vous avez aimé Deborah Levy, vous adorerez Pirko Saiso. Elle a le même art que Deborah Levy pour nous rendre son monde étrangement familier. On a la sensation de faire la connaissance d’une amie, dans cette Finlande des année 50-60 communiste. Elle raconte son histoire à hauteur d’enfant et ensuite elle donne le point de vue d’adulte, il y a donc un dédoublement de la narration et en même temps c’est extrêmement fluide. On fait la connaissance d’une amie, mais surtout d’une écrivaine qui a un style poétique, lumineux, imagé : c’est magnifique !" Elisabeth Philippe, Le Masque et la plume
Le premier roman d'un poète qui inaugure une nouvelle collection littéraire, Corps célestes.
L’arbre en face de la fenêtre, c’est l’unique paysage de Julien. Il vit seul depuis son accident. Parfois il y a du soleil, mais il ne voit rien : une brume d’alcool et d’antalgiques lui barre tout chemin comme toute croyance. Il ne fait qu’une chose : il attend.
Alors il n’est pas surpris quand Laure, une cousine éloignée, revient vers lui après quinze ans de silence. Enfants, ils passaient leurs vacances dans les Pyrénées. Ça s’est fini, sans explication. Aujourd’hui, Laure revient pour le guérir. C’est en tout cas ce qu’elle lui dit, mais Julien sait qu’elle n’a jamais été aimée. Une nuit d’orage, à la montagne, ils ont failli mourir. Tout vient de là, affirme-t-elle. Son mal à elle, l’accident, et tout le reste.
S’il accepte de l’accompagner, elle connaît un vieux couple de guérisseurs capables d’apaiser sa douleur. Julien ne croit en rien, pourtant il prend quelque plaisir à se laisser faire. Et puis Laure décide qu’il leur faut retourner dans les Pyrénées. La guérison, là-bas, vaudra levée du mystère. Mais qui, dans ces montagnes si loin de l’enfance, saurait les faire revivre ?
Un matin, un photographe militaire voit arriver, à l’hôpital où il travaille, quatre corps torturés. Puis d’autres, et d’autres encore. Au fil des clichés réglementaires qu’il est chargé de prendre, il observe, caché derrière son appareil photo, son pays s’abîmer dans la terreur. Peu à peu, lui qui n’a jamais remis en cause l’ordre établi se pose des questions. Mais se poser des questions, ce n’est pas prudent.
Avec une justesse troublante, ce roman raconte le cheminement saisissant d’un homme qui ose tourner le dos à son éducation et au régime qui a façonné sa vie. De sa discrétion, presque lâche, à sa colère et à son courage insensé, il dit comment il parvient à vaincre la folie qui le menace et à se dresser contre la barbarie.
Léonie a dix-neuf ans et ne connaît rien à l’amour, jusqu’à ce
qu’elle entame une relation avec Gilles, son parrain de soixante-deux
ans. En quelques semaines, Léonie se détache de sa réalité et se
jette à corps perdu dans cette liaison. Malgré les réactions de sa
famille, elle s’installe chez Gilles qui joue dangereusement de son
ascendance.
En écrivant son histoire, Léonie parvient peu à peu à se défaire
de cette emprise pour finalement porter plainte.
Un récit honnête et émouvant. Une voix lumineuse qui transcende
la noirceur de la situation.
À 5 000 kilomètres de son pays natal, la Colombie, une jeune femme qui travaille dans une agence de publicité de Buenos Aires tente d’obtenir une bourse d’écriture aux Pays-Bas. Elle échange régulièrement avec sa sœur qui lui envoie des encomiendas, des colis contenant de la nourriture, des dessins de ses neveux, et parfois une surprise, comme une vieille photo. Souvent, la nourriture arrive avariée et les dessins tachés. Peu à peu, des événements et des personnages viennent révéler les fissures qui creusent le quotidien de la jeune femme : l’arrivée d’un colis énorme et difficile à ouvrir, un chat qui erre dans son immeuble, les voisins absents et ceux qui frappent à sa porte, les allées et venues de son petit ami, la réapparition de sa mère, une vagabonde… Soudain, tout vacille : « Avec quelle rapidité se brise la coquille d’une routine. N’importe quelle routine, aussi solide soit-elle, peut être balayée par l’imprévu. »
Margarita García Robayo entraîne le lecteur au cœur d’un labyrinthe d’incertitudes, de souvenirs et de peurs, dans un roman troublant qui évoque la solitude, la maternité et les liens familiaux. Un livre d’une intensité contenue, illuminé par des images fugaces, qui confirme l’auteure comme l’une des voix essentielles de la narration latino-américaine actuelle.
« García Robayo s’en prend brillamment aux mythes fondateurs de l’individu, qui portent les noms de père, mère, couple, foyer ou sexe » – El País
« Elle narre l’exceptionnel à partir du minuscule avec un ton unique, comme si, pour regarder ces catastrophes en face, il fallait se servir d’un appareil basse définition » – Revista Ñ
« Elle éblouit par sa prose minutieuse, une écriture précise et consciencieuse » – El Mundo
« Dans ses histoires, les petites passions éclatent entre les lettres, les mots et les verbes, et restent là, planantes, comme si elles étaient réelles, comme si l’ordinaire et le quotidien se hissaient au rang de l’art » – El Mercurio
« Je crois que c’est la personne qui écrit le mieux sur l’intimité » – Mariana Enríquez
Du 12 au 14 avril, les amoureux de lecture se réunissent au Grand Palais Ephémère pour le Festival du Livre de Paris. Découvrez dès à présent les auteurs présets sur place.