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Bilingue français-allemand : L'amour d'Erika Ewald / Die Liebe der Erika Ewald
Bernard Straub (traduit par), Paul Thiele (traduit par)
Collection : Bilingues
Date de parution : 08/09/2015
Éditeurs :
12-21

Bilingue français-allemand : L'amour d'Erika Ewald / Die Liebe der Erika Ewald

Bernard Straub (traduit par), Paul Thiele (traduit par)
Collection : Bilingues
Date de parution : 08/09/2015
Partez dans l'Italie du Sud des années 1930 avec MAURIZIO DE GIOVANNI en version bilingue
La série BILINGUE de 12-21 propose :
• une traduction fidèle et intégrale, accompagnée de nombreuses notes
• une méthode originale de perfectionnement par un contact direct avec les œuvres d’auteurs étrangers
•...
La série BILINGUE de 12-21 propose :
• une traduction fidèle et intégrale, accompagnée de nombreuses notes
• une méthode originale de perfectionnement par un contact direct avec les œuvres d’auteurs étrangers
• une adaptation en version numérique étudiée, qui offre au lecteur trois manières de découvrir le texte : en version bilingue, en version originale et...
La série BILINGUE de 12-21 propose :
• une traduction fidèle et intégrale, accompagnée de nombreuses notes
• une méthode originale de perfectionnement par un contact direct avec les œuvres d’auteurs étrangers
• une adaptation en version numérique étudiée, qui offre au lecteur trois manières de découvrir le texte : en version bilingue, en version originale et en version française.

L’Affaire Carosino / L’omicidio Carosino
Naples, 1929 : une duchesse assassinée, un commissaire doté d’un étrange pouvoir, la vision d’un anneau mystérieux… Voici l’une des premières enquêtes du commissaire Ricciardi.
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EAN : 9782823823554
Code sériel : 12794
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782823823554
Code sériel : 12794
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • MartinEden87 31/01/2024
    Un recueil de nouvelles assez peu évoqué lorsque l'on énumère les œuvres de Stefan Zweig. L'auteur de « Lettre d’une inconnue », « Le joueur d'échecs », « La confusion des sentiments » propose avec quatre nouvelles des histoires aux thématiques qui lui sont familières : l'amour naissant - fait d'hésitation et de non-dits -, l'illumination face à la découverte de la foi religieuse, l'amour maternel... En grand ami de Freud, il utilise tous les biais psychologiques pour sonder l'âme humaine. À ce niveau, le lecteur ne peut être déçu. Sa plume demeure toujours aussi incisive, avec cette faculté d'en dire beaucoup avec si peu de mots. Un style jamais ampoulé, tout dans l'épure... Aérien ! Par contre, j'ai eu le sentiment que l'écrivain est passé un peu à côté de son sujet dans la nouvelle « La marche ». Peut-être trop concise dans la forme. Cette histoire d'un homme qui part à Jérusalem, en quête du Christ, et arrivant trop tard, n'arrive pas à le reconnaître, crucifié sur le mont Golgotha. Non seulement, il est difficile de voir où Zweig veut en venir. Et il s'agit probablement de la nouvelle la moins intéressante dans la forme. En ce qui concerne la nouvelle donnant son nom au recueil, j'avoue ne pas avoir été très sensible au personnage d'Erika Ewald. Son rejet de l'amour, son inconstance faisant trop preuve à mon goût d'un manque flagrant d'immaturité. J'ai nettement été plus sensible à l'histoire de François, serveur sur la Riviera, dont l'amour pour un être d'un rang supérieur au sien le mène au désespoir dans « L'étoile au-dessus de la forêt ». Globalement, on passe un agréable moment avec ce recueil. Pour les admirateurs de l'écrivain, c'est comme découvrir un trésor caché enfoui sous sa gigantesque et riche œuvre littéraire.Un recueil de nouvelles assez peu évoqué lorsque l'on énumère les œuvres de Stefan Zweig. L'auteur de « Lettre d’une inconnue », « Le joueur d'échecs », « La confusion des sentiments » propose avec quatre nouvelles des histoires aux thématiques qui lui sont familières : l'amour naissant - fait d'hésitation et de non-dits -, l'illumination face à la découverte de la foi religieuse, l'amour maternel... En grand ami de Freud, il utilise tous les biais psychologiques pour sonder l'âme humaine. À ce niveau, le lecteur ne peut être déçu. Sa plume demeure toujours aussi incisive, avec cette faculté d'en dire beaucoup avec si peu de mots. Un style jamais ampoulé, tout dans l'épure... Aérien ! Par contre, j'ai eu le sentiment que l'écrivain est passé un peu à côté de son sujet dans la nouvelle « La marche ». Peut-être trop concise dans la forme. Cette histoire d'un homme qui part à Jérusalem, en quête du Christ, et arrivant trop tard, n'arrive pas à le reconnaître, crucifié sur le mont Golgotha. Non seulement, il est difficile de voir où Zweig veut en venir. Et il s'agit probablement de la nouvelle la moins intéressante dans la forme. En ce qui concerne la...
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  • gerardmuller 17/06/2023
    L’amour d’Erika Ewald/Stefan Zweig Comme dans d’autres ouvrages de Stefan Zweig, c’est l’amour sous toutes ses formes et source de toutes les souffrances qui constitue le thème des quatre nouvelles de ce recueil. Toujours dans un style tendu, passionnel et parfait, Zweig évoque pour nous la passion d’une jeune pianiste, Erika, pour un violoniste concertiste, une passion dévastatrice évoluant du sentiment platonique d’une bienheureuse rêverie et de la coquetterie, une sorte de jouissance esthétique à l’exaltation et au désir brûlant, bercée par les vagues embrasées de la musique de Tristan et Isolde de Wagner, qui tout en représentant pour Erika le comble de la félicité, lui sont une torture cruelle. « Elle voulait tout lui dire : son amour pour lui était entièrement différent de celui qu’il avait pour elle…La résistance farouche qui l’habitait était davantage de la pudeur originelle d’une jeune fille pure qui a peur de l’inconnu, c’était la fragilité délicieuse d’une âme délicate et timide qui redoute le bruit de la vie et son horrible brutalité. » Une grande finesse psychologique émane de cette nouvelle dans l’analyse des personnages. La seconde nouvelle met en scène l’amour fou et secret d’un serveur très stylé pour la comtesse Ostrovska , hélas pour le pire des scénarios. La troisième nouvelle intitulée « La marche » situe l’action aux temps bibliques de la Crucifixion et met en scène un voyageur venu voir le Sauveur dont toute la Judée parle. Dans « Les prodiges de la vie », nous sommes revenus au temps des guerres de religions. C’est une des premières nouvelles écrites par Stefan Zweig âgé alors de 23 ans. L’histoire se passe à Anvers. Un peintre déjà d’un certain âge et sa jeune modèle juive âgée d’à peine quinze ans voient le destin les faire se rencontrer ; l’un est un homme d’expérience que tous ces jours, toutes ces années, ont rendu modeste, et l’autre, la jeune Esther, une enfant recueillie par un couple de taverniers, n’a pas encore conscience de la vie parce qu’elle est enveloppée dans le tissu obscur de ses rêves. Deux solitaires de race et de religion différentes. Le peintre que l’inspiration a fui depuis des lustres, voit en cette jeune fille le modèle idéal qu’il recherche depuis des années pour peindre une Madone telle qu’il se l’imagine depuis toujours, dans laquelle le frisson de l’annonciation s’unirait déjà à une douce confiance dans l’accomplissement. Il lui faut maintenant conduire Esther vers la foi chrétienne : il ne conçoit pas de faire autrement. Mais des choses qu’Esther avait oubliées depuis longtemps, qui avait dormi dans son âme, ressurgissaient, étincelantes. Les pogromes subis par les membres de sa famille suivis de leur mort, lui reviennent en mémoire. Les Chrétiens se livraient alors à la chasse aux Juifs. Dans cette nouvelle remarquable sont abordés notamment les thèmes de la judaïté, de l’éveil de la féminité et de la création artistique. Cette dernière nouvelle est particulièrement intéressante. Le dénouement en semble inéluctable. L’amour d’Erika Ewald/Stefan Zweig Comme dans d’autres ouvrages de Stefan Zweig, c’est l’amour sous toutes ses formes et source de toutes les souffrances qui constitue le thème des quatre nouvelles de ce recueil. Toujours dans un style tendu, passionnel et parfait, Zweig évoque pour nous la passion d’une jeune pianiste, Erika, pour un violoniste concertiste, une passion dévastatrice évoluant du sentiment platonique d’une bienheureuse rêverie et de la coquetterie, une sorte de jouissance esthétique à l’exaltation et au désir brûlant, bercée par les vagues embrasées de la musique de Tristan et Isolde de Wagner, qui tout en représentant pour Erika le comble de la félicité, lui sont une torture cruelle. « Elle voulait tout lui dire : son amour pour lui était entièrement différent de celui qu’il avait pour elle…La résistance farouche qui l’habitait était davantage de la pudeur originelle d’une jeune fille pure qui a peur de l’inconnu, c’était la fragilité délicieuse d’une âme délicate et timide qui redoute le bruit de la vie et son horrible brutalité. » Une grande finesse psychologique émane de cette nouvelle dans l’analyse des personnages. La seconde nouvelle met en scène l’amour fou et secret d’un serveur très stylé pour la comtesse Ostrovska , hélas pour le pire...
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  • Laveze 03/11/2022
    L'AMOUR d'ERIKA EWALD de STEFAN ZWEIG 4 nouvelles incluses dans ce livre et Zweig une fois encore développe tout son talent d'analyste des sentiments. La première qui a donné son titre au livre décrit les tourments d'une jeune fille vierge et la dernière étudie la naissance d'un tableau par un peintre et sa relation avec la jeune fille qui servira de modèle. Plus je lis Zweig plus je suis impressionné par son talent. À lire et à relire !
  • lydiaguernine 27/08/2022
    Erika jeune pianiste va connaître les souffrances de l'amour. Elle sera éprise d'un violoniste qui refuse de s'engager dans une relation de couple. Attirance platonique, physique des deux protagonistes. En revanche, un manque de bravoure de la part du jeune homme. Erika va sombrer dans l'obsession, puis la dépression. Illusion d'un amour bafoué. Désillusion de l'homme et du sentiment amoureux. La souffrance d'une rupture, et l'incapacité de se relever face au bonheur de la vie. Un goût amer de l'amour et de l'homme. Destin tragique et idées noires. Ne pas le lire en pleine rupture. Cela risque de donner une souffrance supplémentaire au lecteur.
  • AMR_La_Pirate 03/05/2022
    Découvrir de nouveaux écrits de Stefan Zweig est toujours un bonheur, mêmes si certains sont plus ardus que d’autres… L’Amour d’Erika Ewald est un recueil de quatre nouvelles dont l’auteur définit en ces termes l’unité ou le rassemblement : « notre vie possède des courants plus profonds que les éléments extérieurs, qui nous rapprochent et nous séparent. Une intense magie de la vie, accessible à notre seule émotion et non pas à nos sens, gouverne nos destins, même quand nous croyons les diriger nous-mêmes »… Vaste programme ! Une chose est certaine : chez Zweig, l’amour est source de souffrance… L’héroïne de la nouvelle qui donne son titre au recueil est une jeune femme discrète et rêveuse, professeur de musique, amoureuse d’un violoniste. Malheureusement ses idéaux candides et sensibles se heurtent à la passion charnelle et aux assauts virils de son soupirant… Ce portrait de femme est complexe, dérangeant dans sa vie terne et insignifiante, sa démarche exaltée qui confond les réactions de l’être aimé avec l’écho de ses propres sentiments, son désir pathétique de vengeance… Mais l’écriture est poétique, métaphorique et Zweig magnifie ainsi cette histoire triste, simple et banale. Dans la même veine, « L’Étoile au-dessus de la forêt » nous raconte l’amour impossible d’un serveur pour une belle comtesse… J’ai apprécié ici les points de vue en miroir, l’atmosphère tragique et l’annonce inéluctable du dénouement. Deux histoires d’amour qui finissent plutôt mal, l’une dans la renonciation et la solitude résignée et l’autre, dans le suicide, la solitude angoissée et la communion de deux âmes opposées dans le scintillement d’une étoile. Les deux autres nouvelles mettent en avant l’amour de l’art et la ferveur religieuse, nous emmenant à Anvers, au temps des guerres de religion et de la guerre d’indépendance des Pays-Bas, et à Jérusalem lors de la crucifixion de Jésus. Ma préférence va à la nouvelle la plus courte, « La Marche », l’itinéraire d’un rendez-vous manqué entre un jeune homme au cœur empli de foi et d’espérance et le Messie. Ici aussi, il est question de sensualité virile et fiévreuse, de tentation charnelle opposée à un idéal mystique. « Les Prodiges de la vie » aborde une problématique beaucoup plus complexe autour de la création artistique et de l’amour maternel sur fond d’antisémitisme et de violences religieuses. Un vieux peintre, chargé de réaliser un portrait de la Madone, se prend d’affection pour sa jeune modèle, une jeune orpheline juive, rescapée des persécutions et vivant en marge des réalités de la vie. Si j’ai bien aimé le lien qui se crée peu à peu entre l’artiste et la jeune fille, empreint de confiance et de respect mutuel, et la notion de destins croisés et d’incarnation, je reconnais que cette nouvelle m’a paru plus difficile à comprendre dans sa globalité, tant les thèmes développés sont denses et imbriqués. Un recueil qui était dans ma PAL depuis longtemps… Une pépite à savourer. Découvrir de nouveaux écrits de Stefan Zweig est toujours un bonheur, mêmes si certains sont plus ardus que d’autres… L’Amour d’Erika Ewald est un recueil de quatre nouvelles dont l’auteur définit en ces termes l’unité ou le rassemblement : « notre vie possède des courants plus profonds que les éléments extérieurs, qui nous rapprochent et nous séparent. Une intense magie de la vie, accessible à notre seule émotion et non pas à nos sens, gouverne nos destins, même quand nous croyons les diriger nous-mêmes »… Vaste programme ! Une chose est certaine : chez Zweig, l’amour est source de souffrance… L’héroïne de la nouvelle qui donne son titre au recueil est une jeune femme discrète et rêveuse, professeur de musique, amoureuse d’un violoniste. Malheureusement ses idéaux candides et sensibles se heurtent à la passion charnelle et aux assauts virils de son soupirant… Ce portrait de femme est complexe, dérangeant dans sa vie terne et insignifiante, sa démarche exaltée qui confond les réactions de l’être aimé avec l’écho de ses propres sentiments, son désir pathétique de vengeance… Mais l’écriture est poétique, métaphorique et Zweig magnifie ainsi cette histoire triste, simple et banale. Dans la même veine, « L’Étoile au-dessus de la forêt » nous...
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