« Les lecteurs devraient apprécier le nouveau voyage proposé par ce maître du polar. Lucia, une petite lumière dans un monde de ténèbres. »
Bruno Corty, Le Figaro Littéraire
« L’auteur joue avec les références littéraires pour emmener le lecteur dans une enquête aux multiples rebondissements. Si ce livre est un thriller de bonne facture, c’est surtout le personnage de Lucia qui retient l’attention du lecteur. Totalement différente de Servaz, elle se rapproche plus de Lisbeth Salander, la justicière punk de Stieg Larsson: l’Espagnole est aussi une petite brune tatouée, au parcours tortueux voire torturé, une jeune femme isolée dans un monde masculin dont elle doit adopter les codes. »
Abel Mestre, Le Monde des livres
« Lucia Guerrero, l’héroïne espagnole de son dernier roman éponyme est bien partie pour devenir un autre personnage emblématique de son œuvre. »
Podcast Keskili – Le Monde des Livres
« Tout en conservant l’art du suspense, Bernard Minier se réinvente en créant une nouvelle héroïne. La palpitante narration de Lucia ne manque pas de rebondissements. »
Louis-Henri de la Rochefoucauld, L’Express
« Une nouvelle héroïne aussi intrépide que déterminée. »
François Lestavel, Paris Match
« Un écrivain français qui aime à faire froid dans le dos. Tout le savoir-faire de Bernard Minier est au rendez-vous de Lucia, éparpillant au fil du récit nombre de petites références littéraires (très variées). »
Baptiste Liger, Lire Magazine
« L’un des meilleurs auteurs français. »
Olivia de Lamberterie, "Télématin" – France 2
« Avec ce « tueur à la colle », Bernard Minier creuse jusqu’au vertige la question du mal , et c’est l’esprit tout entier de son lecteur qui s’en trouve chamboulé. Du jamais-lu depuis Millénium. »
Anne Crignon, L’Obs
« Une œuvre d’art du polar signée Minier. Il tisse, autour de son intrigue, un fascinant canevas mêlant peinture et Histoire. Un joli tour de force. Lucia évoque tout autant les techno-thrillers de Maurice G. Dantec et de Jean-Christophe Grangé que Le nom de la rose, d’Umberto Eco. C’est une enquête, une intrigue, mais un aussi un roman chargé d’Histoire et de culture. »
Hubert Artus, Le Parisien Week-end
« On le sait depuis Glacé, Bernard Minier a le sens de la mise en scène. Impossible de ne pas être saisi dès les premières pages de son nouveau roman Lucia. Du sous-sol obscur de la faculté de droit aux petites ruelles pavées et mal éclairées en passant par les silhouettes gothiques des cathédrales, sans oublier les arcades de la plaza Mayor, Bernard Minier brouille les pistes dans Salamanque, et on a la sensation de l’arpenter avec ses personnages. Brillant, addictif, du grand spectacle ! »
Nathalie Dupuis, ELLE
« Lucia, la lumière, Guerrero, la guerrière. Un beau profil d’héroïne. Une nouvelle et très réussie héroïne »
Bernard Lehut, "Laissez-vous tenter" – RTL
« Evidemment, il y a du suspens. On est ici dans du thriller et non dans du roman noir avec comme vous l’avez compris des références historiques et culturelles tout en s’intéressant aux problématiques actuelles. Notamment l’idée de nouvelles technologies qui nous fait occulter le reste. C’est un roman d’atmosphère également. Lucia c’est à ne pas louper. »
Frédérique Le Teurnier, "Toutenpapier" – France Bleu
« Plus qu’un décor et une ambiance, c’est tout un pan de l’histoire espagnole que dévoile Lucia. Course-poursuite dans les couloirs inquiétants d’une des plus vieilles universités d’Europe ; plongée parmi les fantômes en uniforme de cette Espagne des années 70. Où le sens du sacré et du religieux se confond avec les forces du mal. Où remontent les secrets glauques du passé, sous les regards de pierre des statues d’Isabelle la catholique, Pizarro et Cortés… Lucia a sans doute devant elle encore quelques sombres nuits blanches. »
Fabrice Drouzy, Libération
« Un roman palpitant qui, en prime, donne envie de (re)visiter ces magnifiques coins d’Espagne ! »
Femina Suisse
« Du pur suspense, qui multiplie les clins d’œil au cinéma. »
Christelle Ben, La Voix du Nord
« Plus qu’un roman noir rempli de violence, c’est plutôt un thriller d’atmosphère.que nous dégustons ici, où le suspense est distillé au fil de l’enquête. Bien sûr, le côté sombre, nécéssaire à tout bon thriller, n’est pas laissé de côté. Une enquête à l’architecture narrative impeccable et un excellent moment de lecture. »
Léo Lamarche, L’Est Eclair
« Bernard Minier s’est visiblement régalé à construire une savoureuse enquête, notamment dans la splendide ville de Salamanque, avec un dénouement qu’on voit doucement arriver comme un dessert étoilé… »
Michel Troadec, Ouest France
« Bernard Minier signe un polar époustouflant et bouleversant d’humanité où il est question de l’éternelle peine des hommes quand ils sont confrontés à la maladie et à la mort de leurs proches. »
Jean-Rémi Barland, La Provence
« Nouveau tour de force de Bernard Minier. Une fois n’est pas coutume, c’est un personnage féminin qui mène l’enquête. Une femme que l’on a déjà envie de retrouver dans l’avenir. »
Hubert Lemonnier, Presse de la Manche
« On retrouve le sens du détail de Minier, une intrigue savamment menée en lien constant avec le monde de l’art, qui cache bien son dénouement. Les personnages renouvelés trouvent d’emblée leur place. Les éléments s’imbriquent parfaitement. La prise de risque est réelle et assumée. On espère pour Lucia un développement, semblable à celui de Martin Servaz. »
Magali Mustioli-Hercé, Courrier Picard
« Ce roman de Bernard Minier donne vie à un très beau personnage, celui de Lucia, obnubilée par son travail, par la vérité, par la justice. Une femme forte malgré de nombreuses blessures dévoilées au fil des chapitres. De quoi donner envie de la retrouver très vite dans de prochaines intrigues. »
Marion Chavot, La Montagne
« Une fois de plus, Bernard Minier étonne par sa maestria à multiplier les univers. Chacun de ses thrillers donne à découvrir des héros habités par la passion ou la folie, des lieux sordides ou merveilleux. »
Catherine Pauchet, Les Affiches de la Haute-Saône
« Quand Bernard Minier décide de créer un nouveau personnage, il ne fait pas les choses à moitié. L’amour du risque. Le moins que l’on puisse dire, c’’est que Bernard Minier aime en prendre, des risques. Et avec son dixième roman, Lucia, il prouve qu’il a eu raison. Oubliez (un temps) le capitaine Martin Servaz et souhaitez la bienvenue à Lucia Guerrero. Une nouvelle héroïne qui, on l’espère, deviendra un autre personnage récurrent du maître du suspense. »
Marc Fernandez, Alibi
« Mêler l’art au crime ne révolutionne pas le thriller, mais Minier y pose une touche de tragédie antique qui scotche. Dur de décrocher. »
Tribune de Genève
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