« Un magnifique roman sur la vie. Sur ces petits détails qui nous parlent tant. »
Sandrine Bajos / Le Parisien
« Une histoire de hasards et de rencontres, jallonnée de belles scènes de vie. »
Paris Match
« Un roman racinien. Une fois de plus, Philippe Besson réussit à nous ouvrir le coeur d’hommes et de femmes arrachés à la banalité des jours. »
Arts libres
« Toute la chair du roman se joue là, dans les relations qui se nouent
dans un huis clos entre nuit et aube, par les confidences lâchées à des inconnus. »
Libération
« Fort, juste, profondément humain. Une tension romanesque belle et poignante. »
La Montagne
« Philippe Besson excelle dans un huis clos ferroviaire, cocon de portraits sensibles. Un travail d’orfèvre. »
Le Maine libre
« Philippe Besson n'oublie aucun des maux sociétaux actuels, jusqu'au drame final. Et pourtant, rien n'est pesant dans cette fiction enlevée, qui nous offre, en outre, une belle réflexion sur le destin et la fatalité. »
Marianne Payot / L'Express
« Philippe Besson signe son éclatant retour vers le pur romanesque. À la fois suspens, voyage vers le désir d'autres amours ou d'autres vies, éloge de la lenteur, réflexion sur le fatum, cette échappée ferroviaire rythmée par les échos lancinants de « La nuit je mens » de Bashung, fouille à pas feutrés la psyché humaine. »
Ouest France
« Un petit bijou unanimement salué. Le récit est haletant, l'écriture élégante et d’une redoutable précision. Du grand art. »
Charente Libre
«On a toujours apprécié la sensibilité et l'art de sonder les cœurs chez Philippe Besson. L'écrivain ajoute ici un percutant sens du suspense. »
RTL
« Un livre empathique, lumineux et vibrant. Une merveilleuse galerie de portraits. Les passagers de ce Paris-Briançon resteront avec nous, amis de papier éphémères et inoubliables. »
Le Point
« Brillant, et déchirant, ce roman ancré dans un TER mais mené avec la rapidité d’un TGV, est l'un des plus bouleversants de son auteur. »
La Provence
« C’est surtout la vie des gens normaux qui s’écoule dans ces pages magnifiquement ciselées par Philippe Besson, qui brosse ici le portait d’inconnus qui vont se découvrir. »
La Dépêche du midi
« Une infinie douceur et douleur. »
L'Alsace
« Au gré du roulis du train, le lecteur embarque pour un périple qui révèle la douceur et la violence inhérentes à l’âme humaine. Philippe Besson, une fois de plus, excelle à la raconter. »
Point de vue
« On lit ce roman d’une traite tant Philippe Besson, habile et subtil, prend son lecteur dans sa toile. »
Version Femina
« Ce récit choral poignant et toujours juste, encensé par la critique et plébiscité par le public, tient en haleine jusqu'à la dernière page. »
Midi libre
« Le suspense tourne à plein régime. Excellent portraitiste, Philippe Besson présente par petites touches ses personnages. Il rend bien compte de la liberté, voire de l'étrange euphorie, qu'un voyage engendre. ».
ELLE
«Un roman au suspense redoutable,captivant. Façon Le crime de l'Orient Express, une belle galerie de personnages attachant, une nuit à bord d'un train-couchette qui ne sera pas vraiment ordinaire ou quand on est au mauvais endroit au mauvais moment... »
Librairie Montbarbon
« Dans ce roman des rencontres improbables et de la parole libérée par le cocon de ce train de nuit, Philippe Besson donne des allures de thriller à ce Paris-Briançon qui changera la vie de ces voyageurs. Addictif ! »
Librairie le Divan
« Un roman haletant et émouvant à couper le souffle ! »
Librairie Jeux de pages
« La plume de Besson est toujours aussi efficace et dissèque les petites choses qui font une personnalité, un chemin de vie ... Ne ratez pas ce train ! »
Librairie Le pavé du canal
« Un livre où la tension monte, où un drame inéluctable s'annonce, mais qui garde tout du long, une grande sensibilité. »
Librairie Durance
« Un huis clos passionnant et poignant mené de main de maître ! »
Librairie Page 5
« Philippe Besson a le don de brosser des portraits d’hommes et de femmes d’horizons différents, et ce avec une certaine drôlerie et humanité. Et puis sans avoir l’air d’y toucher, interroge sur les non-dits, les a-priori, et ce foutu hasard qu’on aimerait bien ne jamais avoir à subir. »
Librairies de Port-Maria