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Dune - Tome 6 : La Maison des mères
Guy Abadia (traduit par)
Collection : Ailleurs et Demain
Série : Dune
Date de parution : 02/09/2021
Éditeurs :
Robert Laffont

Dune - Tome 6 : La Maison des mères

Guy Abadia (traduit par)
Collection : Ailleurs et Demain
Série : Dune
Date de parution : 02/09/2021

Le sixième volet de l’épopée la plus fascinante de toute la science-fiction moderne. 

Dune est détruite, vitrifiée, atomisée. Avec ses habitants, ses temples et ses palais. Avec ses vers géants qui produisent l’épice. Et sur tout l’Imperium déferlent les hordes des Honorées Matriarches...

Dune est détruite, vitrifiée, atomisée. Avec ses habitants, ses temples et ses palais. Avec ses vers géants qui produisent l’épice. Et sur tout l’Imperium déferlent les hordes des Honorées Matriarches surgies de la Dispersion. Elles asservissent leurs sujets mâles, ne tolèrent aucune opposition et démolissent tout ce qui leur fait...

Dune est détruite, vitrifiée, atomisée. Avec ses habitants, ses temples et ses palais. Avec ses vers géants qui produisent l’épice. Et sur tout l’Imperium déferlent les hordes des Honorées Matriarches surgies de la Dispersion. Elles asservissent leurs sujets mâles, ne tolèrent aucune opposition et démolissent tout ce qui leur fait obstacle.
Mais leur cible principale demeure le Bene Gesserit, seule force organisée de l’Imperium après la destruction de Dune et la chute du Bene Tleilax. Pour la première fois de sa vie, Odrade, la Mère Supérieure de l’Ordre, a peur. Face aux furies, un enfant de dix ans incarne son dernier espoir…

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EAN : 9782221252345
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 558
Format : 135 x 215 mm
EAN : 9782221252345
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 558
Format : 135 x 215 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • FeyGirl 17/07/2023
    Quelques années après le tome précédent : les Honorées Matriarches pourchassent les sœurs du Bene Gesserit dans tout l’univers connu, vitrifiant des planètes entières dans leur recherche effrénée du siège des Révérendes Mères que nous ne connaissons que sous le surnom de Chapitre (titre du tome en anglais). Sous la férule d’Odrade, nouvelle Mère Supérieure, le Bene Gesserit s’est engagé dans la transformation du Chapitre en un nouveau Dune : le ver emporté d’Arrakis a engendré des truites sauvages, le désert grignote les vergers, le climat se métamorphose, et tout le monde attend l’arrivée des nouveaux vers et ses promesses d’épice naturelle. Le Bene Gesserit vit des heures sombres et sa survie est menacée. Alors qu’elles n’avaient plus de vrais contre-pouvoirs, elles sont confrontées à des ennemies impitoyables et doivent s’adapter pour ne pas mourir. Quant à Scytale, dernier survivant du Bene Tleilax, il garde caché en lui une capsule contenant les cellules des membres de sa communauté et d’autres éminents personnages, espérant les faire revivre grâce aux cuves axlotl : il ne peut pas imaginer être le dernier des siens, le dernier de son espèce et de sa religion. Frank Herbert nous parle toujours de pouvoir et de manipulation de la... Quelques années après le tome précédent : les Honorées Matriarches pourchassent les sœurs du Bene Gesserit dans tout l’univers connu, vitrifiant des planètes entières dans leur recherche effrénée du siège des Révérendes Mères que nous ne connaissons que sous le surnom de Chapitre (titre du tome en anglais). Sous la férule d’Odrade, nouvelle Mère Supérieure, le Bene Gesserit s’est engagé dans la transformation du Chapitre en un nouveau Dune : le ver emporté d’Arrakis a engendré des truites sauvages, le désert grignote les vergers, le climat se métamorphose, et tout le monde attend l’arrivée des nouveaux vers et ses promesses d’épice naturelle. Le Bene Gesserit vit des heures sombres et sa survie est menacée. Alors qu’elles n’avaient plus de vrais contre-pouvoirs, elles sont confrontées à des ennemies impitoyables et doivent s’adapter pour ne pas mourir. Quant à Scytale, dernier survivant du Bene Tleilax, il garde caché en lui une capsule contenant les cellules des membres de sa communauté et d’autres éminents personnages, espérant les faire revivre grâce aux cuves axlotl : il ne peut pas imaginer être le dernier des siens, le dernier de son espèce et de sa religion. Frank Herbert nous parle toujours de pouvoir et de manipulation de la religion, mais ce tome est axé sur la nécessité de l’adaptation pour survivre dans un contexte de crise. La menace de l’extinction est réelle face à des hordes meurtrières. Adaptation du Bene Gesserit, mais aussi adaptation des personnages : Duncan, Murbella et Sheeana évoluent en profondeur dans un environnement en mutation et doivent dépasser ce qu’ils sont pour trouver leur destin. Les Honorées Matriarches, quant à elles, semblent figées dans leur folie sanglante et leur hubris. La tension est omniprésente, avec la nostalgie d’un passé qui ne reviendra pas. Nous apprenons mieux d’où sont nées les Honorées Matriarches, ce qui les caractérise, et pénétrons dans leur antre. Toujours la question demeure : que fuient-elles ? Ce roman est dense, très dense, parfois touffu. Franck Herbert n’est pas un auteur « facile », et son histoire est au service d’une réflexion sur les mécanismes du pouvoir et les travers violents de l’humanité. Il nous livre parfois, au détour d’un paragraphe, tout un monde de démesure, comme quand une simple phrase suffit pour dire que les Honorées Matriarches ont tué des milliards d’êtres humains. On retrouvait déjà ce procédé dans le Messie de Dune pour les agissements du Jihad des Fremens sur l’Univers Connu : cette seule phrase, laissée isolée au milieu d’un long chapitre, fait froid dans le dos et souligne le dédain pour la vie humaine. Et à la fin ? On dit que l’auteur envisageait une saga en 7 tomes, mais il est mort peu après l’écriture de celui-ci. Et même si on a une fin ici, on sent bien qu’il pourrait y avoir une conclusion supplémentaire, pour le devenir de certains personnages qui reste en suspens, pour le destin du Bene Gesserit et pour l’humanité dans son ensemble. Le fils de l’auteur a prétendu avoir retrouvé 20 ans plus tard des notes de son père, affirmation à laquelle personne ne croit mais qui lui a permis de publier deux romans « concluant » la saga des Atréides. Cette suite semble moins bonne si j’en crois les commentaires, aussi je ne sais pas si je les lirai (je ne parle même pas du site internet des fans francophones qui exécutent littéralement les romans du fiston qui exploitent l’univers de papa en multipliant les préquelles et les séquelles). En conclusion, cette saga monumentale a tout pour être hors-norme : une réinvention du space opera à l’époque, de nombreuses réflexions profondes (mais parfois absconses) sur le pouvoir et la religion, une histoire qui enjambe les millénaires, une profondeur dans la vision des forces qui font avancer l’humanité, un texte littéraire soigné, et des personnages mémorables. À lire absolument !
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  • beldrak 28/04/2023
    Dernier tome écrit par Frank Herbert et énorme suspense à la fin ... La maison des mères est un roman assez étrange. Après les hérétiques de Dune, j'avais été un peu déçu. L'action se développait bien à la moitié du roman pour tomber sur un gros gachis. Miles Teg méritait mieux qu'une fin expédiée et son talent était retombé dans le néant. J'étais donc resté sur une déception et m'attendait à voir s'ouvrir le prochain tome autre part. Que nenni, la maison des mères commence quelques temps plus tard mais avec les mêmes protagonistes. C'était un bon départ, peut être même la possibilité de rattraper l'erreur du précédent tome. Et là, en fait rien. L'histoire se mets en place très doucement et dès le début il semble clair que ça va être mou. Bon gré mal gré j'ai continué ma lecture et il faut avouer que ma première sensation s'est avérée vraie. C'est vraiment très lent. L'histoire s'empêtre dans des longueurs intempestives et des monologues intérieurs. Alors, je veux bien comprendre que le Bene Gesserit est un ordre plutôt porté sur la psychologie mais quand même qu'est ce que l'on s'ennuie. La fin relève le niveau ( comme pour le précédent mais de manière plus... Dernier tome écrit par Frank Herbert et énorme suspense à la fin ... La maison des mères est un roman assez étrange. Après les hérétiques de Dune, j'avais été un peu déçu. L'action se développait bien à la moitié du roman pour tomber sur un gros gachis. Miles Teg méritait mieux qu'une fin expédiée et son talent était retombé dans le néant. J'étais donc resté sur une déception et m'attendait à voir s'ouvrir le prochain tome autre part. Que nenni, la maison des mères commence quelques temps plus tard mais avec les mêmes protagonistes. C'était un bon départ, peut être même la possibilité de rattraper l'erreur du précédent tome. Et là, en fait rien. L'histoire se mets en place très doucement et dès le début il semble clair que ça va être mou. Bon gré mal gré j'ai continué ma lecture et il faut avouer que ma première sensation s'est avérée vraie. C'est vraiment très lent. L'histoire s'empêtre dans des longueurs intempestives et des monologues intérieurs. Alors, je veux bien comprendre que le Bene Gesserit est un ordre plutôt porté sur la psychologie mais quand même qu'est ce que l'on s'ennuie. La fin relève le niveau ( comme pour le précédent mais de manière plus marquée ) avec toutefois un gros cliffhanger ... Et l'auteur est mort avant d'écrire la suite. La bonne nouvelle étant que son fils a pu écrire une suite d'après des notes que Frank Herbert avait laissé ( ouf ). Le talent du fils est légèrement moindre mais au moins on aura une fin dans l'idée que s'en faisait l'auteur. Au final ce tome pris seul n'est pas génial. Il a tendance a oublier pas mal d'aspects et à en mettre de côté ( le maitre du Bene Tleilax qui ne sert finalement à rien dans l'histoire ). Une déception donc, en espérant que la suite relèvera le niveau.
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  • Zehisus 04/04/2023
    Comme pour chaque livre, la seule question qui subsite une fois la lecture achevée est de savoir s'il m'a suffisamment plu, interpellé, questionné ou émerveillé pour que je souhaite me replonger un jour dedans et parcourir une nouvelle fois ses pages. La réponse est oui, ce tome est très intéressant malgré quelques longueurs dispensables
  • LugSamildatek 10/02/2023
    Bon voila, terminé le dernier tome de cette monumentale saga. La lecture de Dune n'est pas une lecture de tout repos. Elle requière une attention, de par la profondeur des sujets développés pars l'auteur tout au long de son oeuvre. Frank Herbert nous fait part de différents points de vue, en fonction des personnages dans ses romans, sur des sujets propre à l'homme, et qui on toujours une connotation avec notre époque. Que ce soit avec les effets du changement climatique, en faisant évoluer les planètes, la politique en nous mettant au coeur des complots et de la religion avec le Bene Gesserit et les Honorées Matriarches. Ma lecture de ces 6 tomes n'a pas été de tout repos, je l'avoue. Mais bon, avec de la volonté, nous voyageons au côté de l'imaginaire de l'auteur. Dans ce tome-ci, nous nous retrouvons sur la planète du Chapitre du Bene Gesserit. Darwi Odrade, la Mère Supérieure, doit gérer la sauvegarde de cet ordre millénaire,, tout en subissant les terribles assauts des Honorées Matriarches sur d'autres planètes. Car n'oublions pas que ces catins veulent anéantir les sorcières. Odrade ne sera pas seule pour cet affrontement. À ses côtés ce tiendront ses conseillères les plus... Bon voila, terminé le dernier tome de cette monumentale saga. La lecture de Dune n'est pas une lecture de tout repos. Elle requière une attention, de par la profondeur des sujets développés pars l'auteur tout au long de son oeuvre. Frank Herbert nous fait part de différents points de vue, en fonction des personnages dans ses romans, sur des sujets propre à l'homme, et qui on toujours une connotation avec notre époque. Que ce soit avec les effets du changement climatique, en faisant évoluer les planètes, la politique en nous mettant au coeur des complots et de la religion avec le Bene Gesserit et les Honorées Matriarches. Ma lecture de ces 6 tomes n'a pas été de tout repos, je l'avoue. Mais bon, avec de la volonté, nous voyageons au côté de l'imaginaire de l'auteur. Dans ce tome-ci, nous nous retrouvons sur la planète du Chapitre du Bene Gesserit. Darwi Odrade, la Mère Supérieure, doit gérer la sauvegarde de cet ordre millénaire,, tout en subissant les terribles assauts des Honorées Matriarches sur d'autres planètes. Car n'oublions pas que ces catins veulent anéantir les sorcières. Odrade ne sera pas seule pour cet affrontement. À ses côtés ce tiendront ses conseillères les plus fidèle, que nous connaissons depuis le tome précédant, Bellonda et Tamalane sans oublier Sheeana. Toutes trois essaieront de lui apporter une aide précieuse en fonction de leurs caractères et de leurs savoirs. Le Ghola Duncan Idaho est toujours présent avec Murbella, Honorée Matriarche, qui essai de devenir une soeur du Bene Gesserit. Nous verrons leur évolution au seins du non-vaisseau qui leur sert de prison. À leurs côtés, ce trouvera le Tleilaxu Scytale toujours en maille à partir avec les soeurs. N'oublions pas Miles Teg, que l'on retrouve sous les traits d'un enfant, élevé dans l'espoir de retrouver sa mémoire de Bashar. Darwi Odrade va devoir ce démener pour concilier toute ces personnes pour la réalisation de son plan, que l'on attend avec impatience. Ils vont tous avoir leurs rôles à jouer pour permettre l'accomplissement du plan de la Mère Supèrieur. Nous nous retrouverons aussi sur la planète Jonction, l'antre des catins, au côté de la Très Honorée Matriarche Dama. L'auteur nous transporte d'un personnage à l'autre, de leurs pensées à leurs envies, de leurs tourments à leurs doutes. Tous ses personnages, qu'ils soient bons ou mauvais, bien intentionné ou mesquin, pourraient être d'authentiques personnes. Tout au long de son récit, il nous fait voyager au coeur de ces décors que l'on visualise à la perfection, grâce à de très bonnes description des endroits où il veut que l'on soit. Je peut même dire comme si mous y étions. L'intrigue que Frank Herbert nous livre au cours de cet opus, ou de la saga entière, est composée de main de maître, un très bon imbroglio qui nous tiens en éveil constant au fil de la lecture. Dune : La Maison Des Mères, est un roman de Science-Fiction qui a tout simplement un fond qui nous parle d'écologie, de politique, de religion et de la survie de l'espèce humaine, mais si possible, de la meilleure qui soit. Du coup, me voila pressé de relire du Frank Herbert. Je peut désormais dire que celui-ci fait parti intégrante de mes auteurs préféré. Car lui fait parti de ceux qui prouvent que la Science-Fiction est un genre littéraire qui en englobe beaucoup d'autres. Chaque tome de cette saga mérite ces 5 étoiles. Bravo à ce Grand Monsieur Frank Herbert. R.I.P
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  • Lectrice_Allys 20/01/2023
    C’est avec ce roman que Frank Herbert clôt le Cycle de Dune. Nous sommes, cette fois, totalement immergés dans la communauté des soeurs du Bene Gesserit. Cette communauté est très présente tout au long du cycle, parfois un peu en retrait mais toujours au coeur de l’évolution de l’humanité. Un peu comme les Atréides. Pourtant, nous en connaissions assez peu sur leur organisation interne et leur évolution. C’est chose faite avec ce tome six qui nous emmène encore plus loin dans le bouleversement du monde. J’ai trouvé ce dernier tome très profond et philosophique. Beaucoup de préceptes énoncés peuvent tout à fait être transposés dans notre monde. Car, comme toujours, Frank Herbert sait magistralement décortiquer l’âme humaine. Tous ses personnages sont vivants et réalistes. Et très attachants pour la plupart. Certains sont effrayants dans leur cruauté, d’autres sont totalement antipathiques. Et bien sûr, il y a tous ceux auxquels on s’attache sans condition. Mais aucun personnage ne laisse indifférent car ils sont tous complexes.

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