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Garçon au coq noir
Nicolas Véron (traduit par)
Date de parution : 25/08/2022
Éditeurs :
Editions Héloïse D'Ormesson

Garçon au coq noir

Nicolas Véron (traduit par)
Date de parution : 25/08/2022
Martin, onze ans, n’a qu’une chemise sur le dos et un coq noir sur l’épaule lorsqu’il emboîte le pas d’un peintre itinérant pour fuir le village où, depuis toujours, on... Martin, onze ans, n’a qu’une chemise sur le dos et un coq noir sur l’épaule lorsqu’il emboîte le pas d’un peintre itinérant pour fuir le village où, depuis toujours, on se méfie de lui. Aux côtés de cet homme qui ne dessine que le beau, il déjoue les complots, traverse... Martin, onze ans, n’a qu’une chemise sur le dos et un coq noir sur l’épaule lorsqu’il emboîte le pas d’un peintre itinérant pour fuir le village où, depuis toujours, on se méfie de lui. Aux côtés de cet homme qui ne dessine que le beau, il déjoue les complots, traverse les rivières, se confronte aux loups, à la faim, à l’épuisement. Fort de sa ruse et de la complicité de son ami à plumes, le garçon secourt ceux qui, plus vulnérables encore, se laissent submerger par les ténèbres. Au terme de cette quête, parviendra-t-il à percer le mystère qui se dissimule derrière la légende du cavalier noir, ravisseur d’enfants ?
Grâce à une écriture simple et captivante, Stefanie vor Schulte entoure chacun de ses mots d’une atmosphère saisissante. Brutale et merveilleuse, cette fable gothique ancrée dans un folklore lointain montre à chacun de nous que l’espoir perce partout, même au cœur de la nuit.
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EAN : 9782350878188
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 208
Format : 140 x 205 mm
EAN : 9782350878188
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 208
Format : 140 x 205 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • luocine 06/11/2023
    Voici un livre qui ne tient que par le talent de conteuse de cette écrivaine allemande. Je suis partie dans son histoire sans difficultés car j’aime les contes mais je me suis sans cesse demandé pourquoi elle voulait ne raconter que le pire des comportements humains. Seuls trois personnages : Martin le garçon au cœur pur, le peintre, et Franzi l’amoureuse du garçon sont vraiment positifs. Dans une Allemagne d’autrefois, ravagée par les guerres, les épidémies, les croyances obscurantistes, des hommes stupides et sans cœur règnent sur un village où vit Martin et son coq noir qui reste toujours avec lui, sur son épaule le plus souvent, et qui, parfois, lui parle. Martin est orphelin car son père, pris de folie, a massacré tous ses frères et sœurs à la hache avant de se tuer lui-même. Un jour arrive un peintre que Martin suivra car il veut rechercher le cavalier à cape noire qui enlève de très jeunes enfants que l’on ne revoit jamais. Peu à peu, nous aurons toutes les clés de cette histoire mais je sais que vous ne voulez pas que je vous les donne (pourtant quand vous écoutez Barbe-bleu vous savez la fin, non ?), d’ailleurs de clés, il en est question dans ce récit. Cela commence justement par la clé de la porte de l’église que les abrutis de chefs du village ne retrouvent plus. Martin sait où elle est mais ne le dira qu’à la fin du récit. On saura pourquoi son père a massacré à coups de hache toute sa famille et aussi ce que deviennent les enfants enlevés par les cavaliers à cape noire. Pourquoi ne suis-je pas plus enthousiaste : j’ai vraiment du mal à comprendre pourquoi l’écrivaine a utilisé le conte pour nous raconter toute la noirceur des comportements humains. Pas grand chose nous est épargné et ce n’est pas la fin un peu moins triste qui peut compenser la succession de crimes tous plus affreux les uns que les autres qui change grand chose à la teneur de ce récit. Vraiment, pourquoi ? Le personnage positif, Martin, est paré de toutes les qualités, bonté, compassion, intelligence au point de se dire qu’il n’est pas vraiment humain. C’est un conte, d’accord, donc on peut tout accepter et il est vrai que, le style de Stefanie vor Shulte, emporte les lecteurs dans un monde onirique et que j’ai lu ce livre sans m’ennuyer en me demandant quand même pourquoi une telle noirceur Voici un livre qui ne tient que par le talent de conteuse de cette écrivaine allemande. Je suis partie dans son histoire sans difficultés car j’aime les contes mais je me suis sans cesse demandé pourquoi elle voulait ne raconter que le pire des comportements humains. Seuls trois personnages : Martin le garçon au cœur pur, le peintre, et Franzi l’amoureuse du garçon sont vraiment positifs. Dans une Allemagne d’autrefois, ravagée par les guerres, les épidémies, les croyances obscurantistes, des hommes stupides et sans cœur règnent sur un village où vit Martin et son coq noir qui reste toujours avec lui, sur son épaule le plus souvent, et qui, parfois, lui parle. Martin est orphelin car son père, pris de folie, a massacré tous ses frères et sœurs à la hache avant de se tuer lui-même. Un jour arrive un peintre que Martin suivra car il veut rechercher le cavalier à cape noire qui enlève de très jeunes enfants que l’on ne revoit jamais. Peu à peu, nous aurons toutes les clés de cette histoire mais je sais que vous ne voulez pas que je vous les donne (pourtant quand vous écoutez Barbe-bleu vous savez la fin, non ?), d’ailleurs de...
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  • Arthore 17/05/2023
    Se plonger dans un conte, où frayeurs, mystères, enfants dont le héros, personnages inquiétants, méchante reine, animal doté de parole… sont au cœur de l’histoire ! Quoi de plus attirant pour petits et grands ? Avec ce premier roman, Stefanie vor Schulte nous transporte dans un temps reculé, un passé médiéval et nous fait découvrir Martin, un enfant de onze ans, orphelin depuis l’âge de 3 ans, qui a survécu, en marge de son village, nous ne savons pas trop comment ! vivant seul, ne parvenant pas à manger à sa faim, il a pour seul ami un coq noir, le diable pour les villageois. Un beau jour, Martin va se retrouver spectateur impuissant de l’enlèvement d’une fillette par un cavalier noir. Ce qui n’était qu’une légende, une rumeur a pris vie devant ses yeux. A partir de ce moment-là, Martin n’aura de cesse que de découvrir pourquoi des enfants sont enlevés et où ils sont gardés. Ce roman est envoûtant; l’écriture rythmée, imagée nous transporte. Les métaphores s’enchainent ; le bien et le mal s’affrontent sans trop pouvoir dire avant la fin qui gagne les « batailles » qui se succèdent. A découvrir et à savourer malgré la noirceur ambiante et parfois un manque de repères. Se plonger dans un conte, où frayeurs, mystères, enfants dont le héros, personnages inquiétants, méchante reine, animal doté de parole… sont au cœur de l’histoire ! Quoi de plus attirant pour petits et grands ? Avec ce premier roman, Stefanie vor Schulte nous transporte dans un temps reculé, un passé médiéval et nous fait découvrir Martin, un enfant de onze ans, orphelin depuis l’âge de 3 ans, qui a survécu, en marge de son village, nous ne savons pas trop comment ! vivant seul, ne parvenant pas à manger à sa faim, il a pour seul ami un coq noir, le diable pour les villageois. Un beau jour, Martin va se retrouver spectateur impuissant de l’enlèvement d’une fillette par un cavalier noir. Ce qui n’était qu’une légende, une rumeur a pris vie devant ses yeux. A partir de ce moment-là, Martin n’aura de cesse que de découvrir pourquoi des enfants sont enlevés et où ils sont gardés. Ce roman est envoûtant; l’écriture rythmée, imagée nous transporte. Les métaphores s’enchainent ; le bien et le mal s’affrontent sans trop pouvoir dire avant la fin qui gagne les « batailles » qui se succèdent. A découvrir et à savourer malgré la noirceur ambiante et parfois un...
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  • berni_29 25/03/2023
    Qui est ce jeune garçon qui erre sur les chemins avec un coq noir sur l'épaule, emboîtant le pas dans le sillage d'un peintre itinérant ? Il s'appelle Martin, il a onze ans, il est le seul survivant du massacre perpétré par son père à coup de hache à l'encontre des siens... Il fuit le village où désormais on se méfie de lui ? Pourquoi ? Parce qu'il a un visage d'ange ? Parce qu'il a survécu à ce drame ? Parce qu'il porte un coq noir sur l'épaule qui pourrait être tout simplement l'incarnation du diable ? Parce qu'il est désormais mutique ? Pourtant cet enfant parle de temps en temps et sa parole si rare est presque divine, soulève le feuillage, éclaire la boue et la fiente des oiseaux, entrouvre les portes par où s'échapper enfin... Le paysage est sombre. On devine des lambeaux de ciel arrachés aux remugles des ténèbres. C'est ici pourtant qu'un peintre a décidé de peindre le beau ou peut-être de peindre pour restituer le beau. Ce peintre va devenir son ami, son compagnon de voyage, c'est presque devenu un père pour lui, lui qui n'a désormais plus de famille... C'est un décor tout droit sorti du Moyen-Âge, un conte gothique, mais dont la résonance allégorique pourrait offrir une dimension universelle. Tout pourrait paraître réel dans cette ambiance baroque, si ce n'est ce coq qui de temps en temps se met à parler... Tout pourrait être vrai, l'est certainement, y compris ce cavalier noir surgi de nulle part pour enlever des enfants qu'on ne reverra plus jamais. Où les emmène-t-il ? Ici nous croisons des cheminots, des jongleurs, des bourreaux qui se font bouffons, une princesse cruelle suspend son implacable anathème au vol des grues qui marque l'arrivée de l'automne. Les vitraux des églises ressemblent au soleil qui perce l'antre des forêts, le peintre fait de cette lumière la matière de sa palette. Chaque phrase se tisse dans l'enluminure des mots, est ciselée entre lumière et folie, nous pousse jusqu'à cette fragile frontière proche de l'exil d'où il ne sera peut-être plus possible de revenir. Martin, cet enfant qui va grandir trop vite, lui aussi a besoin du beau pour ralentir ses pas vers le monde adulte, il a besoin du beau pour tenir debout dans l'eau saumâtre des marais et le beau il le trouve dans le visage d'une autre enfant, jeune fille perdue éperdue comme lui dans cette histoire, Franzi. Mais en attendant, il veut savoir qui est ce mystérieux cavalier noir, ravisseur d'enfants. Il veut savoir dans quel envers du décor ils sont désormais réfugiés, séquestrés, peut-être encore vivants... J'ai soulevé le rideau des pages, je les suivais à mon tour pas à pas, j'avais l'impression qu'ils incarnaient à eux seuls le paysage et son vertige. Garçon au coq noir est un premier roman écrit par Stefanie vor Schulte, une jeune autrice que je découvre ici et dont l'écriture simple et percutant m'a totalement captivé. C'est une histoire à la fois brutale et merveilleuse qui m'a envoûté, un chemin qui chemine vers la lumière, un trou béant où les personnages se hissent au coeur de la nuit pour crier une rage de vivre. C'est beau comme une fable arrachée à la nuit des temps, un chant d'espoir porté par la dignité et le récit douloureux d'un enfant qui nous touche. Qui est ce jeune garçon qui erre sur les chemins avec un coq noir sur l'épaule, emboîtant le pas dans le sillage d'un peintre itinérant ? Il s'appelle Martin, il a onze ans, il est le seul survivant du massacre perpétré par son père à coup de hache à l'encontre des siens... Il fuit le village où désormais on se méfie de lui ? Pourquoi ? Parce qu'il a un visage d'ange ? Parce qu'il a survécu à ce drame ? Parce qu'il porte un coq noir sur l'épaule qui pourrait être tout simplement l'incarnation du diable ? Parce qu'il est désormais mutique ? Pourtant cet enfant parle de temps en temps et sa parole si rare est presque divine, soulève le feuillage, éclaire la boue et la fiente des oiseaux, entrouvre les portes par où s'échapper enfin... Le paysage est sombre. On devine des lambeaux de ciel arrachés aux remugles des ténèbres. C'est ici pourtant qu'un peintre a décidé de peindre le beau ou peut-être de peindre pour restituer le beau. Ce peintre va devenir son ami, son compagnon de voyage, c'est presque devenu un père pour lui, lui qui n'a désormais plus de famille... C'est un décor tout droit sorti...
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  • Etsionbouquinait 06/02/2023
    Suivant avec attention les nouveautés littéraires en Allemagne, j’ai pris connaissance il y a quelque temps de l’existence de l’autrice Stefanie vor Schulte qui a obtenu un très beau succès avec son premier roman, désormais traduit en français sous le titre Garçon au coq noir. Un conte pour les adultes avec une ambiance particulière... Stefanie vor Schulte nous emmène dans un cadre assez étrange sans nous donner de repères précis. Ce qui est certain, c’est que l’on se situe dans le passé et on devine le malheur qui s’est abattu sur la région ; un conflit qui s’éternise et qui a pour conséquence la faim et la misère, l’usure des gens et la démoralisation. Une période qui n’est pas sans rappeler la Guerre de Trente Ans. Les images donnent l’impression d’être sans couleur, comme si on regardait un film en blanc et noir tel que « Die andere Heimat », avec un style de narration très visuel. Le métier d’origine de l’autrice – scénographe et costumière – y est sûrement pour quelque chose. De ce paysage en noir et blanc se dégage le personnage de Martin, un garçon de 11 ans qui se démarque par son innocence et son esprit vif. Il est partout accompagné par un coq noir qui lui procure des allures mystiques et à cause duquel il sera soupconné d’être le diable ou son intermédiaire. Un jour, le chemin du garçon croisera celui d’un peintre. Ce dernier, venu réaliser des peintures à l’église, a parcouru le monde et s’y connait en matière de nature humaine. Il reconnait dans le garçon un être pur, une lumière en contraste avec la société pourrie, décimée par conflit interminable. Ensemble, ils se mettront en route pour retrouver un chevalier, voleur d’enfants… Stefanie vor Schulte met en scène une société en décadence qui a perdu ses valeurs et tout capacité de différencier le moral de l’immoral, mais montre (avec Martin) que l’espoir ne meurt jamais. Certes, l’histoire, comme chaque conte, pourrait se résumer en quelques lignes, il est aisé de distinguer le mal du bien et même de deviner la suite (il suffit d’avoir lu un ou deux contes de Grimm). Sa force réside dans le langage, le style et le côté très visuel qui incitent le lecteur à poursuivre sa lecture jusqu’à la dernière page. A chacun d’interpréter les métaphores de l’auteure ou alors l’existence du coq noir – est-ce le sens de la vie, notre conscience…? N’hésitez pas à lire ce petit livre original et rafraîchissant parmi l’offre abondante du marché littéraire. Suivant avec attention les nouveautés littéraires en Allemagne, j’ai pris connaissance il y a quelque temps de l’existence de l’autrice Stefanie vor Schulte qui a obtenu un très beau succès avec son premier roman, désormais traduit en français sous le titre Garçon au coq noir. Un conte pour les adultes avec une ambiance particulière... Stefanie vor Schulte nous emmène dans un cadre assez étrange sans nous donner de repères précis. Ce qui est certain, c’est que l’on se situe dans le passé et on devine le malheur qui s’est abattu sur la région ; un conflit qui s’éternise et qui a pour conséquence la faim et la misère, l’usure des gens et la démoralisation. Une période qui n’est pas sans rappeler la Guerre de Trente Ans. Les images donnent l’impression d’être sans couleur, comme si on regardait un film en blanc et noir tel que « Die andere Heimat », avec un style de narration très visuel. Le métier d’origine de l’autrice – scénographe et costumière – y est sûrement pour quelque chose. De ce paysage en noir et blanc se dégage le personnage de Martin, un garçon de 11 ans qui se démarque par son innocence et son esprit vif. Il est...
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  • DOMS 15/01/2023
    Dans un monde et une époque qui ne seront jamais cités, Martin est un enfant différent, brillant, intelligent, doté d'une humanité hors du commun. Il a survécu miraculeusement au massacre de sa famille, erre dans le village en guenilles, souvent affamé. Il est tellement plus intelligent que tous les villageois qui l'entourent qu'il le craignent tous. Il vit avec un coq noir toujours fiché sur son épaule, et nul ne sait lequel protège l'autre de l'enfant ou de la volaille. En tout cas chacun soutient l'autre face à la cruauté du monde qui les entoure. Un jour, un peintre arrive au village. Il est venu répondre à une commande, peindre un retable dans l'église. L'homme et l'enfant se prennent d'amitié. Martin n'hésite pas une seconde pour emboîter le pas du peintre lorsqu'il quitte le village pour poursuivre son itinérance. Il peint la beauté du monde dans des lieux où elle est pourtant bien cachée. Ensemble ils déjouent les pièges, méchanceté humaine, bêtes sauvages, froid, épuisement ou famine, rien ne leur sera épargné. Pourtant, l'enfant qui a été témoin de l’enlèvement d'une petite fille par de sombres cavaliers ne rêve que de venger celle-ci, de la retrouver pour la ramener à sa mère. Ses errances le mènent enfin là où tout commence, là où tout pourrait se terminer. Car Martin est devenu un jeune homme droit, juste, au destin unique et extraordinaire. Une dystopie qui évoque la méchanceté des hommes, la bonté et la force de certains face à l'adversité. Mais aussi la folie des hommes, la guerre, la famine, les destructions, la force des puissants et leur manque d'humanité. Tout au long de ce roman à l’atmosphère pour le moins originale, les hommes s'affrontent, le mal est partout, mais ce jeune garçon au cœur pur et à la force hors du commun, secondé par son coq saura parvenir à ses fins, envers et contre tous. Un premier roman à l'écriture limpide et romanesque, sombre et lumineuse, qui invente des mondes et des époques mais qui pourtant pourrait être notre présent. Le personnages sont atypiques, attachants ou repoussants, à l'image des populations rencontrées. chronique en ligne sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2023/01/07/garcon-au-coq-noir-stefanie-vor-schulte/Dans un monde et une époque qui ne seront jamais cités, Martin est un enfant différent, brillant, intelligent, doté d'une humanité hors du commun. Il a survécu miraculeusement au massacre de sa famille, erre dans le village en guenilles, souvent affamé. Il est tellement plus intelligent que tous les villageois qui l'entourent qu'il le craignent tous. Il vit avec un coq noir toujours fiché sur son épaule, et nul ne sait lequel protège l'autre de l'enfant ou de la volaille. En tout cas chacun soutient l'autre face à la cruauté du monde qui les entoure. Un jour, un peintre arrive au village. Il est venu répondre à une commande, peindre un retable dans l'église. L'homme et l'enfant se prennent d'amitié. Martin n'hésite pas une seconde pour emboîter le pas du peintre lorsqu'il quitte le village pour poursuivre son itinérance. Il peint la beauté du monde dans des lieux où elle est pourtant bien cachée. Ensemble ils déjouent les pièges, méchanceté humaine, bêtes sauvages, froid, épuisement ou famine, rien ne leur sera épargné. Pourtant, l'enfant qui a été témoin de l’enlèvement d'une petite fille par de sombres cavaliers ne rêve que de venger celle-ci, de la retrouver pour la ramener à sa mère. Ses errances...
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