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Le Bal
Date de parution : 08/04/2021
Éditeurs :
Editions Héloïse D'Ormesson

Le Bal

Date de parution : 08/04/2021
Robin, Rosa, Jeanne et les autres
"Il y a des jours où le temps s'arrête pour une longue respiration. Laissant naître des bulles d'air sous le crâne. Des jours entre parenthèses où les draps blancs des... "Il y a des jours où le temps s'arrête pour une longue respiration. Laissant naître des bulles d'air sous le crâne. Des jours entre parenthèses où les draps blancs des fantômes ne couvrent plus le regard des vivants."

Au cœur de l'été, dans un village du sud-est, Robin rejoint sa femme,...
"Il y a des jours où le temps s'arrête pour une longue respiration. Laissant naître des bulles d'air sous le crâne. Des jours entre parenthèses où les draps blancs des fantômes ne couvrent plus le regard des vivants."

Au cœur de l'été, dans un village du sud-est, Robin rejoint sa femme, sa fille et sa mère dans la maison familiale. Dans ce lieu gorgé de souvenirs, il va tenter de se réapproprier son corps meurtri après une longue maladie. Mais les blessures que l'on voit sont rarement les plus profondes. Au cours de ces semaines caniculaires, des tensions apparaissent à l'ombre du mûrier. L'heure est venue pour chacun d'oser dire les présences invisibles qui les ont éloignés les uns des autres.

Telle une peintre impressionniste, Diane Peylin sollicite nos sens et compose une ode à la nature. En faisant jaillir les mots qui sauvent, Robin et les siens, traversés par un élan vital, vont enfin panser leurs plaies. Le Bal est un cri d'amour poussé du sommet de la plus haute montagne.
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EAN : 9782350877631
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 192
Format : 140 x 205 mm
EAN : 9782350877631
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 192
Format : 140 x 205 mm

Ils en parlent

Il y a de la grâce dans l’écriture de Diane Peylin et l’on savoure chaque mot comme une friandise de l’enfance. Elle nous laisse évoluer dans un paysage impressionniste où goût, odeur, lumière, couleur sont intensément palpables. Un élan vital et une douce respiration !
Muriel Balay / Librairie Syllabes
Diane Peylin m'a embarquée dans une valse, au coeur de l'Ardèche, celle des petits bals de l'été, des après-midis caniculaires, de feux de forêts et des maisons de famille. Une valse à quatre temps... Qui m'a fait tourbillonner sur une musique pleine d'émotions et d'amour. C'est un très beau texte qui vient chatouiller les coeurs et qui restera longtemps gravé en moi. 
Priscilla / Focus littérature

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Ladybirdy 02/01/2023
    Joli bonheur de lecture que de me plonger dans ce dernier petit livre de Diane Peylin. Elle signe ici un roman où l’écriture se veut musicale, caresse, solaire, la lune n’a qu’à bien se tenir car les étoiles dansent avec le soleil. Robin, quarante-sept ans revient dans son village natal, à la villa des Ronces à Lomet. Après de graves problèmes de santé, il retrouve sa femme Suzanne, sa fille Jeanne et sa mère Rosa. Le temps n’est plus au beau fixe. Profondément meurtri par ses maux physiques, il ne sait plus comment aimer, comment sourire encore à la vie, lui a qui frôlé la mort. Pourtant petit à petit, au cœur d’une nature qui a toute sa place ici, ce petit monde va sortir du silence et délivrer les pierres qui alourdissent les cœurs. Les non-dits, les fantômes trop présents vont éclater au grand jour. Avec beaucoup d’émotions, on apprivoise les ombres de cette famille. Ce père Alexandre mort il y a dix-sept ans mais tellement omniprésent. C’est que ce père n’était pas tout à fait juste, adepte du fantasque et de l’extravagance, il en oubliait souvent comment aimer, au grand damne d’Elvis le frère aîné de Robin qui a préféré s’expatrier à Montréal. Au milieu de ces absences, on danse, on se remémore les bals qui ont compté. Celui de Robin et Suzanne, celui de Rosa et Alexandre, le premier de la petite Jeanne. Parce que « le bal est fait pour ça, pour délivrer les rages indicibles et éloigner les peurs des têtes cabossées ». Parce qu’avant d’être malheureux, on a tous été heureux un jour. C’est important de se souvenir. Diane Peylin met en lumière cette juste place des souvenirs et des moments heureux. Il y a dans ce livre une émanation lumineuse dans le portrait des blessures de cette famille. Une jolie façon de célébrer l’envers du monde, les têtes perchées, les fous heureux. « Alexandre était un clown, un homme extraordinaire qui faisait de la vie une fête. Il n’avait qu’une obsession, être heureux et pour cela il n’avait d’autres choix que d’être déraisonnable. Il avait une âme d’enfant, quelque chose d’éternel. » Rosa quant à elle, elle aime « Quand les grands redeviennent des enfants. Elle aime quand le monde peint des pommes bleues sur des pommiers rouges. Quand l’endroit est à l’envers. » Puis il y a la musique qui claque sur les fesses, du swingue des années 90 au son d’INXS, Madonna, Arno, Janis Joplin, Lou Reed, Queen, Maria Callas,… et aussi ces rappels d’un brin de poésie de Boris Vian , Je voudrais pas crever. Avant d’avoir usé. Sa bouche avec ma bouche. Son corps avec mes mains. Le reste avec mes yeux. J’en dis pas plus faut bien. Rester irrévérencieux. C’est un joli roman qui donne envie d’aimer, ce qui est sous nos yeux, qui nous rappelle que la vie n’est que folie passagère, qu’il faut pas s’endimancher avec des regrets, des jolis mots dans sa poche, des sourires muets, c’est un livre qui a pleins de petites choses délicates avec une ribambelle de mots qui dansent pour le plus grand plaisir des amoureux de notre si belle langue. Joli bonheur de lecture que de me plonger dans ce dernier petit livre de Diane Peylin. Elle signe ici un roman où l’écriture se veut musicale, caresse, solaire, la lune n’a qu’à bien se tenir car les étoiles dansent avec le soleil. Robin, quarante-sept ans revient dans son village natal, à la villa des Ronces à Lomet. Après de graves problèmes de santé, il retrouve sa femme Suzanne, sa fille Jeanne et sa mère Rosa. Le temps n’est plus au beau fixe. Profondément meurtri par ses maux physiques, il ne sait plus comment aimer, comment sourire encore à la vie, lui a qui frôlé la mort. Pourtant petit à petit, au cœur d’une nature qui a toute sa place ici, ce petit monde va sortir du silence et délivrer les pierres qui alourdissent les cœurs. Les non-dits, les fantômes trop présents vont éclater au grand jour. Avec beaucoup d’émotions, on apprivoise les ombres de cette famille. Ce père Alexandre mort il y a dix-sept ans mais tellement omniprésent. C’est que ce père n’était pas tout à fait juste, adepte du fantasque et de l’extravagance, il en oubliait souvent comment aimer, au grand damne d’Elvis le frère aîné de Robin qui...
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  • LeslecturesdeLily 19/07/2022
    #Chronique pour les Éditions Pocket : Le bal de Diane Peylin ➡❤️❤️❤️/5 ----- 💬 CITATION : " Comment faire quand les phrases pour nos êtres les plus chers se refusent à nous ? Comment faire quand on ne sait plus aimer ? " ----- 👉CONCLUSION DE MA CHRONIQUE : Le bal est un roman rempli de beaux sentiments, les personnages sont beaux et attachants. On les découvre à travers leurs faiblesses ce qui fait toute leur force. J'ai adoré la plume de Diane Peylin, si fine et précise, belle et agréable. Un roman d'un peu plus de deux cents pages qui se lit avec plaisir ! ----- 👉POUR LIRE L'INTEGRALITE DE MON AVIS, C'EST ICI : https://www.leslecturesdelily.com/2022/07/le-bal-ecrit-par-diane-peylin-editions.html#more ----- 👉RESUME : Chaque été, la famille se retrouve à la Villa des Ronces, à l’ombre du mûrier où chantent les grillons. Mais cet été-là, tout est différent. Lorsque Robin, en rémission d’une grave maladie, retrouve sa mère, sa femme, sa fille, il lui semble qu’ils se sont éloignés les uns des autres. Sans s’en rendre compte, ils sont là, au pied du mur, cherchant leur souffle au cours de ces semaines caniculaires. Leur valse, à tous les quatre, se joue à contretemps. Trop de non-dits, de pudeurs et de maladresses. Ensemble, ils vont réapprendre à danser. ----- #avislecture #avislittéraire #leslecturesdelily #livres #books #lecturedejuillet #lebal #dianepeylin #pocket #Chronique pour les Éditions Pocket : Le bal de Diane Peylin ➡❤️❤️❤️/5 ----- 💬 CITATION : " Comment faire quand les phrases pour nos êtres les plus chers se refusent à nous ? Comment faire quand on ne sait plus aimer ? " ----- 👉CONCLUSION DE MA CHRONIQUE : Le bal est un roman rempli de beaux sentiments, les personnages sont beaux et attachants. On les découvre à travers leurs faiblesses ce qui fait toute leur force. J'ai adoré la plume de Diane Peylin, si fine et précise, belle et agréable. Un roman d'un peu plus de deux cents pages qui se lit avec plaisir ! ----- 👉POUR LIRE L'INTEGRALITE DE MON AVIS, C'EST ICI : https://www.leslecturesdelily.com/2022/07/le-bal-ecrit-par-diane-peylin-editions.html#more ----- 👉RESUME : Chaque été, la famille se retrouve à la Villa des Ronces, à l’ombre du mûrier où chantent les grillons. Mais cet été-là, tout est différent. Lorsque Robin, en rémission d’une grave maladie, retrouve sa mère, sa femme, sa fille, il lui semble qu’ils se sont éloignés les uns des autres. Sans s’en rendre compte, ils sont là, au pied du mur, cherchant leur souffle au cours de ces semaines caniculaires. Leur valse, à tous les quatre, se joue à contretemps. Trop de non-dits, de pudeurs et de maladresses. Ensemble, ils vont...
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  • DucalmeLucette 05/05/2022
    Le Bal est le quatrième roman de l’auteure que je lis, après Même les pêcheurs ont le mal de mer, La Grande Roue et Un jour, il y aura autre chose que le jour. Les romans de Diane Peylin sont toujours, pour le lecteur, un moment de délicatesse. C’est une plume sensible qui décortique les relations humaines, les émotions et les façons d’être. Le Bal ne fait pas exception à la règle. Il fait valser une famille dans le dédale des non-dits, de la retenue, de la souffrance intérieure, là où l’on occulte les sentiments et la douleur de peur qu’ils ne prennent trop de place. Alors le quotidien éloigne les Hommes de ce qui les lie. Il étouffe les mots et les gestes. Mais sous la surface des peaux contenues, il reste des cœurs qui battent et qui ne demandent qu’à danser à nouveau. Entre deux personnages masculins et féminins, entre deux clichés imaginaires et existants, entre deux pensées tues et de mots inavoués, nous percevons, le temps d’un été ardéchois, une transformation des êtres. Les fenêtres s’ouvrent, les paroles se libèrent, les corps se meuvent, les esprits flottent dans l’air chaud et exhalent la culpabilité et le poids de ceux qui ne sont plus. Alors il ne reste que l’amour des vivants, le désir retrouvé des amants, les rires à gorges déployées et les souvenirs allégés de secrets qui n’en étaient pas vraiment. "Il y a des jours où le temps s’arrête pour une longue respiration. Laissant naître des bulles d’air sous le crâne. Des jours entre parenthèses où les draps blancs des fantômes ne couvrent plus le regard des vivants." Ce roman est une contemplation de l’humain et de la nature, c’est une tranche de vie de femmes et d’hommes comme les autres, c’est un récit bercé de poésie et de musique, c’est la chaleur du présent qui réchauffe le froid du passé. Ce sont des mots tendres et des mots crus, c’est l’ascension de la montagne de la vie. C’est un saut d’obstacles. Ni véritable action ni énigme mais une plongée dans ce que nous sommes.Le Bal est le quatrième roman de l’auteure que je lis, après Même les pêcheurs ont le mal de mer, La Grande Roue et Un jour, il y aura autre chose que le jour. Les romans de Diane Peylin sont toujours, pour le lecteur, un moment de délicatesse. C’est une plume sensible qui décortique les relations humaines, les émotions et les façons d’être. Le Bal ne fait pas exception à la règle. Il fait valser une famille dans le dédale des non-dits, de la retenue, de la souffrance intérieure, là où l’on occulte les sentiments et la douleur de peur qu’ils ne prennent trop de place. Alors le quotidien éloigne les Hommes de ce qui les lie. Il étouffe les mots et les gestes. Mais sous la surface des peaux contenues, il reste des cœurs qui battent et qui ne demandent qu’à danser à nouveau. Entre deux personnages masculins et féminins, entre deux clichés imaginaires et existants, entre deux pensées tues et de mots inavoués, nous percevons, le temps d’un été ardéchois, une transformation des êtres. Les fenêtres s’ouvrent, les paroles se libèrent, les corps se meuvent, les esprits flottent dans l’air chaud et exhalent la culpabilité et le poids de ceux...
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  • Des_livres_et_moi 06/10/2021
    Juillet… Août…Maison familiale en Ardèche… Des souvenirs, des photos, des gestes, des moments saisis… Le temps d’un été… Le temps d’un été, c’est le temps d’un partage Le temps d’un été, c’est le temps d’un pardon Le temps d’un été, c’est le temps d’une passion Le temps d’un été, sera-t-il suffisant pour que tous se retrouvent et parviennent à se (re)construire ? Ce livre, ce sont des moments intenses, des sens encore plus en éveil pour Robin, un quarantenaire qui vient de guérir d’un cancer. La maladie a provoqué un grand vide en lui mais il est vivant et bien là. De retour pour les retrouvailles avec sa femme, sa fille et sa mère dans la maison de vacances familiale en Ardèche, Robin doit faire face à ses blessures physiques et intérieures. En retrouvant sa famille, il va surtout essayer de réapprendre à se sentir vivant. Suzanne, sa femme, Jeanne, sa fille et Rosa, sa mère, vont aussi devoir réapprendre à vivre de nouveau les uns avec les autres. Mais chacun porte en lui une fêlure, une blessure. Au fond, est-ce vraiment la maladie qui les a éloignés les uns des autres ? La construction du récit, entre l’histoire familiale, le récit intérieur de Robin et l’oeil du photographe qui a inséré « des photos qui existent » et « des photos qui n’existent pas », on est littéralement happé par cette sorte de méditation en plein conscience en compagnie de Robin et de sa famille. Dans ce récit, une attention particulière est portée à chaque instant, aux gestes, aux sons, aux odeurs, comme si chaque instant était un émerveillement, comme si chaque instant était porté par le regard d’un enfant, un regard nouveau. Et la musique, présente entre les lignes, permet d'être en lien avec la réalité du livre (et notre réalité puisque la playlist de livre est téléchargeable !) "Le bal", c'est une invitation à vous laisser emporter par une bulle d'amour et de vie... le temps d'un été !Juillet… Août…Maison familiale en Ardèche… Des souvenirs, des photos, des gestes, des moments saisis… Le temps d’un été… Le temps d’un été, c’est le temps d’un partage Le temps d’un été, c’est le temps d’un pardon Le temps d’un été, c’est le temps d’une passion Le temps d’un été, sera-t-il suffisant pour que tous se retrouvent et parviennent à se (re)construire ? Ce livre, ce sont des moments intenses, des sens encore plus en éveil pour Robin, un quarantenaire qui vient de guérir d’un cancer. La maladie a provoqué un grand vide en lui mais il est vivant et bien là. De retour pour les retrouvailles avec sa femme, sa fille et sa mère dans la maison de vacances familiale en Ardèche, Robin doit faire face à ses blessures physiques et intérieures. En retrouvant sa famille, il va surtout essayer de réapprendre à se sentir vivant. Suzanne, sa femme, Jeanne, sa fille et Rosa, sa mère, vont aussi devoir réapprendre à vivre de nouveau les uns avec les autres. Mais chacun porte en lui une fêlure, une blessure. Au fond, est-ce vraiment la maladie qui les a éloignés les uns des autres ? La construction du récit, entre l’histoire familiale, le récit intérieur de Robin et l’oeil...
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  • Lepetitcaillou 22/06/2021
    Horace : « pendant que nous parlons, voilà que le temps jaloux a fui : cueillez le jour, sans te fier le moins du monde au lendemain ». C’est avec la nature que Diane Peylin compose pour nous chorégraphier une guérison, une respiration, le commencement d’une communication. On tourne les pages d’un album où sont collées des photos imaginaires, et on savoure d’être au côté de cette famille à l’ombre du mûrier emportée par le tourbillon de la vie. Le bal rythme la vie des Merendeira : Robin, Suzanne, leur fille Jeanne et Rosa, la grand-mère. Il va faire valser leur vie, ils vont s’aimer, se ouater les uns les autres jusqu’à se perdre. Mais qu’est-ce qui les a tant éloignés malgré tout l’amour qu’ils se portent ? Robin ouvre la boîte de Pandore cachée dans le jardin. La mise en mot est essentielle et chacun va reprendre sa place, se libérer, se retrouver. Sous la chaleur écrasant ardéchoise, Robin apprend qu’il est en rémission. Cette annonce va lui faire prendre conscience de la valeur de la vie, du sens qu’on lui donne, de l’émerveillement qu’il ressentait pour son père fantasque, celui qu’on maintient en vie à tout prix en organisant des anniversaires posthumes. Chacun va s’exprimer, revenir sur ses blessures, pour vibrer à nouveau, onduler, danser avec cette vie. Il est question de poème, de musique, de jardin suspendu. L’auteur passe d’Horace à Boris Vian à Lomepal. C’est beau …très beau et je vous le recommande ! Horace : « pendant que nous parlons, voilà que le temps jaloux a fui : cueillez le jour, sans te fier le moins du monde au lendemain ». C’est avec la nature que Diane Peylin compose pour nous chorégraphier une guérison, une respiration, le commencement d’une communication. On tourne les pages d’un album où sont collées des photos imaginaires, et on savoure d’être au côté de cette famille à l’ombre du mûrier emportée par le tourbillon de la vie. Le bal rythme la vie des Merendeira : Robin, Suzanne, leur fille Jeanne et Rosa, la grand-mère. Il va faire valser leur vie, ils vont s’aimer, se ouater les uns les autres jusqu’à se perdre. Mais qu’est-ce qui les a tant éloignés malgré tout l’amour qu’ils se portent ? Robin ouvre la boîte de Pandore cachée dans le jardin. La mise en mot est essentielle et chacun va reprendre sa place, se libérer, se retrouver. Sous la chaleur écrasant ardéchoise, Robin apprend qu’il est en rémission. Cette annonce va lui faire prendre conscience de la valeur de la vie, du sens qu’on lui donne, de l’émerveillement qu’il ressentait pour son père fantasque, celui qu’on maintient en vie à tout prix en organisant des anniversaires...
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