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Nouveauté
Le Rouge et le Blanc
Date de parution : 07/03/2024
Éditeurs :
Les Escales
Nouveauté

Le Rouge et le Blanc

Date de parution : 07/03/2024
Une fresque historique magnifique qui raconte le destin tragique de deux frères désunis par l’Histoire mais liés par l’amour d’une femme.
Russie, 1914. Tout oppose Alexeï et Ivan Narychkine, deux frères issus de l’aristocratie. Alexeï, l’aîné, a hérité de leur père son tempérament déterminé et réfléchi. Libéral, il prône la modernisation... Russie, 1914. Tout oppose Alexeï et Ivan Narychkine, deux frères issus de l’aristocratie. Alexeï, l’aîné, a hérité de leur père son tempérament déterminé et réfléchi. Libéral, il prône la modernisation et la démocratisation de la Russie. Ivan, lui, ressemble à leur mère : d’un naturel tourmenté et exalté, il épouse... Russie, 1914. Tout oppose Alexeï et Ivan Narychkine, deux frères issus de l’aristocratie. Alexeï, l’aîné, a hérité de leur père son tempérament déterminé et réfléchi. Libéral, il prône la modernisation et la démocratisation de la Russie. Ivan, lui, ressemble à leur mère : d’un naturel tourmenté et exalté, il épouse volontiers les pensées anarchistes et marxistes.

Mais les deux jeunes hommes ont quelque chose en commun : leur amour pour Natalia, leur sœur de lait, fille de leur gouvernante et de l’administrateur des terres familiales.

Quand, en 1917, la Révolution éclate, tous se déchirent et chacun choisit son camp, au risque de devoir un jour s’affronter…

À travers les parcours d’Alexeï, d’Ivan et de Natalia, Harold Cobert livre une épopée passionnante de près d’un siècle, portée par des personnages inoubliables.
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EAN : 9782365698504
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 528
Format : 154 x 240 mm
EAN : 9782365698504
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 528
Format : 154 x 240 mm

Ils en parlent

« C’est avec une tristesse infinie que nous quittons ce roman-fleuve au souffle puissant. »
Gérard de Cortanze / Historia

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • ckdkrk169 09/04/2024
    Gros coup de cœur pour ce roman historique, une vraie pépite. Je me suis régalée avec cette lecture. J’espère que ma chronique vous donnera envie de vous précipiter pour le découvrir. Harold a écrit une fresque historique captivante, une grande épopée à couper le souffle. Déjà conquise par son précédent roman, j’avais hâte de lire celui-ci. Cette grande fresque raconte l’histoire de la Russie, depuis la chute des tsars, en nous contant le destin incroyable de trois personnages flamboyants et terriblement attachants. À l’instar d’un feuilletoniste du dix-neuvième siècle, un Balzac ou Zola, l’auteur nous embarque dans le quotidien de ces héros passionnés, prêts à aller jusqu’au bout pour accomplir leurs destins. Un grand roman d’aventures au rythme endiablé, à l’écriture addictive, tout est réuni pour accrocher le lecteur. Très documenté historiquement, ce livre contentera les passionnés d’histoire par son côté très immersif. En le refermant, on a envie de lire ou relire les grands auteurs russes, tout en étant un peu triste de refermer un roman aussi passionnant. Bravo pour cette prouesse.
  • LeMondeDeMarie 19/03/2024
    Un roman historique comme un roman d'espionnage qui va nous faire vivre l'histoire à travers trois protagonistes forts. Deux frères et une femme qui s'aiment et se déchirent. Des personnalités fouillées pour ces trois protagonistes que j'ai aimé pour certains aspects et profondément détestés pour les actes qu'ils commettent, leur manière de penser. Je ne suis malheureusement pas parvenu à ressentir d'attachement pour eux même si j'étais très curieuse de découvrir la suite de leur destin. Des anti-héros qui marquent. Une intrigue très dense de par les nombreux faits historiques relatés. De la première guerre mondiale à la chute du mur de Berlin. C'est très documenté. Des personnages rebelles qui deviennent des agents des services secrets. Ce n'est pas uniquement en Russie (puis URSS) que l'histoire se passe, c'est aussi à Paris, à Berlin, à Londres ou encore en Amérique. Nos personnages voyagent et nous font vivre l'intrigue sur plusieurs fronts. Des convictions politiques fortes qui les habitent et feront qu'ils n'auront pas une vie ordinaire. Qui leur feront commettre des actes horribles. Impardonnables. A leurs côtés nous allons vivre l'inhumain de la guerre, lorsque l'homme devient un monstre, capable des pires sévices pour obtenir un renseignement. L'horreur des camps "de redressement". Un récit dense et riche. Une intrigue fournie qui nous captive et nous fait trembler. Je regrette néanmoins la présence de longueurs qui, parfois, cassent le rythme. Une belle découverte. Un roman historique comme un roman d'espionnage qui va nous faire vivre l'histoire à travers trois protagonistes forts. Deux frères et une femme qui s'aiment et se déchirent. Des personnalités fouillées pour ces trois protagonistes que j'ai aimé pour certains aspects et profondément détestés pour les actes qu'ils commettent, leur manière de penser. Je ne suis malheureusement pas parvenu à ressentir d'attachement pour eux même si j'étais très curieuse de découvrir la suite de leur destin. Des anti-héros qui marquent. Une intrigue très dense de par les nombreux faits historiques relatés. De la première guerre mondiale à la chute du mur de Berlin. C'est très documenté. Des personnages rebelles qui deviennent des agents des services secrets. Ce n'est pas uniquement en Russie (puis URSS) que l'histoire se passe, c'est aussi à Paris, à Berlin, à Londres ou encore en Amérique. Nos personnages voyagent et nous font vivre l'intrigue sur plusieurs fronts. Des convictions politiques fortes qui les habitent et feront qu'ils n'auront pas une vie ordinaire. Qui leur feront commettre des actes horribles. Impardonnables. A leurs côtés nous allons vivre l'inhumain de la guerre, lorsque l'homme devient un monstre, capable des pires sévices pour obtenir un renseignement. L'horreur des camps "de...
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  • eirenamg 19/03/2024
    Le rouge est le blanc est une fresque historique sur l’histoire du XXe siècle de la Russie. On suit deux frères, fil rouge des grandes dates de l’histoire du pays et du monde. Alexeï l’ainé et Ivan, Alexeï est un défenseur du progrès de la liberté, son cadet lui veut une société sans classe, l’avènement du communisme. Il souhaite la fin de la domination de sa classe sociale, lui ,le fils d’aristocrate, de patrons. Les deux frères ont été élevés avec Natalie et Kolia : fils et fille de leur intendant et nourrice. De l’éclatement de la 1re guerre, en passant la Révolution Russe, la 2nde guerre mondiale ou la Guerre Froide. On assiste à un affrontement des idéaux, des valeurs, des manières de voir le monde. Comment défendre 1 système, refonder 1 société? La violence, le totalitarisme, les compromissions sont au cœur du récit. J’ai découvert certains rouages du système du Goulag, de la Tchéka: l' ancêtre du KGB. L’auteur dissèque les mystères de l’âme russe, des idéologies et des régimes politiques du 20e. On voit des idéaux se fracasser, des sacrifices , la folie de certains hommes, la pauvreté, mais aussi la haine fratricide. L’histoire à hauteur d’homme faillibles complexes qui se dévore comme une bonne série Neflix en plusieurs épisodes. Les chapitres sont courts, avec un rythme soutenu pour dresser le portrait clair-obscur de la Russie et mieux comprendre la Russie d’aujourd’hui. Outre les 2 frères, j ai aimé la complexité de Natalia qui oscille sur un fil, qui se questionne, s’aveugle parfois et qui est le fragile lien entre les 2. Le personnage de Kolia, d’Andreas font aussi partie de mes préférés. On côtoie également le flegme britannique avec James, on voyage à travers le destin de ces 2 frères ennemis. La complexité des personnages, la volonté de recréer un monde disparu par des descriptions ciselées où chaque mot, instille une atmosphère. Le récit fait réfléchir sur la liberté, les valeurs, la politique, l’autorité. Chaque personnage est un rouage qui nous fait comprendre la complexité du rapport à l’histoire, au chef. L’auteur franchit 1 étape avec ce roman dans son œuvre, avec une construction habile, digne des grands conteurs. Il aime toujours autant mettre en lumière les angles morts, gratter là où ça fait mal, faire réfléchir sans édulcorer en racontant. J’ai aimé la précision historique et le défi que porte ce roman. Pari brillamment relevé, vous n’oublierez pas le rouge et le blanc , donc partez à la découverte de la complexité de la Russie PS, je suis 1 grande admiratrice du travail de l’auteur et je pense que ce roman ouvre 1 nouvel axe dans sa bibliographie. Je suis heureuse d’avoir assisté à sa naissance, de son idée à sa mise en forme et que sa dernière touche ait eu lieu pendant la résidence de l’auteur dans ma classe. Le rouge est le blanc est une fresque historique sur l’histoire du XXe siècle de la Russie. On suit deux frères, fil rouge des grandes dates de l’histoire du pays et du monde. Alexeï l’ainé et Ivan, Alexeï est un défenseur du progrès de la liberté, son cadet lui veut une société sans classe, l’avènement du communisme. Il souhaite la fin de la domination de sa classe sociale, lui ,le fils d’aristocrate, de patrons. Les deux frères ont été élevés avec Natalie et Kolia : fils et fille de leur intendant et nourrice. De l’éclatement de la 1re guerre, en passant la Révolution Russe, la 2nde guerre mondiale ou la Guerre Froide. On assiste à un affrontement des idéaux, des valeurs, des manières de voir le monde. Comment défendre 1 système, refonder 1 société? La violence, le totalitarisme, les compromissions sont au cœur du récit. J’ai découvert certains rouages du système du Goulag, de la Tchéka: l' ancêtre du KGB. L’auteur dissèque les mystères de l’âme russe, des idéologies et des régimes politiques du 20e. On voit des idéaux se fracasser, des sacrifices , la folie de certains hommes, la pauvreté, mais aussi la haine fratricide. L’histoire à hauteur d’homme faillibles...
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  • Eve-Yeshe 16/03/2024
    Je me suis laissée tenter par ce roman noir historique comme on voudra, car j’avais beaucoup aimé « Belle amie » de l’auteur qui imaginait une suite au chef-d’œuvre de Maupassant « Bel ami ». L’aventure commençait bien avec la description de la famille Narychkine, aristocrates proches du régime tsariste et leurs deux fils Alexeï et Ivan. Nous sommes en 1914, et le régime tremble, la famille impériale décrédibilisée par la relation toxique qu’elle a entretenue avec Raspoutine. Alexeï a choisi de rester dans les traces de son père, désirant devenir diplomate tandis qu’Ivan se laisse tenter par les idées révolutionnaires sous l’influence de Kolia, fils de leurs domestiques et de sa sœur Natalia. Evidemment les deux frères vont suivre des chemins complètement opposés, Alexeï suivant les Russes blancs tandis qu’Ivan se liera aux Bolchéviks d’où une lutte fratricide, sur fond de jalousie entre les deux frères. Au début, cette histoire m’a plu, mais avec les horreurs de la guerre de 14-18, puis de la Révolution, les exactions en tous genres, les tortures décrites avec une précision quasi anatomique, puis les tractations de Staline pour évincer, Trotski, m’ont soulevé le cœur. Bien sûr, derrière Ivan je voyais Poutine, alors nous faire revisiter les grands moments de l’histoire, les rencontres avec tous les personnages importants qui ont traversé l’époque communiste ne m’ont pas convaincue. Je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages, même à Alexeï, ce qui était déjà un problème en soi, la scène où Ivan tue ses propres parents d’un coup de pistolet dans la nuque au nom de la Révolution a été terrible. Je voulais approfondir un peu mes connaissances, car je l’avoue, si j’ai beaucoup lu sur le Nazisme, je n’arrivais pas à faire de même avec Staline et ses crimes, mais quand je vois que la Russie d’aujourd’hui le réhabilite et réécrit l’histoire,.. j’ai fini par survoler ce livre. On voit assez d’horreur comme cela,… Je connaissais assez bien l’histoire des îles Solovki et ce qui s’y passait au moment du goulag, notamment la visite enthousiaste de Gorki, pour qui tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes. Comment ne pas relever la similitude entre la devise « par le travail, la liberté » avec celle des camps nazis ? ou les méthodes qui se ressemblent tant pour détruire physiquement et psychologiquement un être humain (comme ce fut le cas pour Alexeï Navalny) Bref, ce n’était pas le moment de me plonger dans ce roman. En plus, mon esprit voguait vers Boris Pasternak et son fameux « Docteur Jivago »… Un grand merci à NetGalley et aux éditions Les Escales qui m’ont permis de découvrir ce roman et de retrouver la plume de son auteur. #LeRougeetleBlanc #NetGalleyFrance !Je me suis laissée tenter par ce roman noir historique comme on voudra, car j’avais beaucoup aimé « Belle amie » de l’auteur qui imaginait une suite au chef-d’œuvre de Maupassant « Bel ami ». L’aventure commençait bien avec la description de la famille Narychkine, aristocrates proches du régime tsariste et leurs deux fils Alexeï et Ivan. Nous sommes en 1914, et le régime tremble, la famille impériale décrédibilisée par la relation toxique qu’elle a entretenue avec Raspoutine. Alexeï a choisi de rester dans les traces de son père, désirant devenir diplomate tandis qu’Ivan se laisse tenter par les idées révolutionnaires sous l’influence de Kolia, fils de leurs domestiques et de sa sœur Natalia. Evidemment les deux frères vont suivre des chemins complètement opposés, Alexeï suivant les Russes blancs tandis qu’Ivan se liera aux Bolchéviks d’où une lutte fratricide, sur fond de jalousie entre les deux frères. Au début, cette histoire m’a plu, mais avec les horreurs de la guerre de 14-18, puis de la Révolution, les exactions en tous genres, les tortures décrites avec une précision quasi anatomique, puis les tractations de Staline pour évincer, Trotski, m’ont soulevé le cœur. Bien sûr, derrière Ivan je voyais Poutine, alors nous faire revisiter les...
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  • Flo_herisson 10/03/2024
    Dans la pure tradition des romans russes ce livre nous plonge dans l’histoire tourmentée de la Russie du XXème siècle, de l’aube de la première guerre mondiale à la chute du mur de Berlin. On y suit les frères Narychkine, Alexei et Ivan, deux jeunes aristocrates. Nés peu avant le siècle, ils sont inséparables et ils grandissent avec Kolya et Natalia, les enfants de domestiques de leurs parents, à un âge où l’amitié se joue des barrières sociales. Mais à l’adolescence, leurs chemins divergeront. Alexei, l’aîné, dans le sillage de ses parents choisira le camps des blancs, inspiré par les thèses libérales et attiré par la démocratie. Ivan, plus fougueux et d’un naturel rebelle épousera très tôt la cause des rouges, reniera sa famille et se jettera à corps perdu dans la révolution communiste aux côtés des tchékistes. Et entre les deux Natalia, dont ils sont tous les deux épris, et qui creusera encore le fossé creusé entre eux par la politique. . Je lis généralement peu de romans historiques, goûtant peu à ce genre littéraire. Je ne suis pas non plus particulièrement attirée par la Russie. Deux éléments qui pouvaient me laisser redouter cette lecture. Et pourtant! Après un démarrage un peu laborieux, je l’avoue, j’ai dévoré cette fresque foisonnante et j’ai pris autant de plaisir à suivre la destinée de ces deux frères qu’à revisiter l’histoire riche et mouvementée de l’Europe du XXème siècle. Parce qu’à travers les trajectoires d’Ivan et Alexei c’est l’opposition de deux visions du monde que nous offre Harold Cobert. C’est très documenté, très dense de références historiques, mais c’est aussi follement romanesque et les rebondissements nombreux m’ont complètement happée dans une intrigue qui tient autant au roman d’espionnage que de la fresque familiale. Sa réussite tient aussi à ses personnages. Complexes et tourmentés, très engagés mais pétris de failles et de doutes. Des personnages auxquels on s’attache et que l’on quitte à regret. Mais surtout, on le referme en ayant le sentiment d’avoir un peu mieux compris la complexe histoire de ce siècle que ce soit sur un plan historique, politique ou géopolitique. Mention spéciale pour les pages sur le goulag, terribles et sur les épisodes de la course à la bombe, passionnantes. Un roman que je vous conseille vivement pour sa grande puissance narrative. Ambitieux, tragique et foisonnant Dans la pure tradition des romans russes ce livre nous plonge dans l’histoire tourmentée de la Russie du XXème siècle, de l’aube de la première guerre mondiale à la chute du mur de Berlin. On y suit les frères Narychkine, Alexei et Ivan, deux jeunes aristocrates. Nés peu avant le siècle, ils sont inséparables et ils grandissent avec Kolya et Natalia, les enfants de domestiques de leurs parents, à un âge où l’amitié se joue des barrières sociales. Mais à l’adolescence, leurs chemins divergeront. Alexei, l’aîné, dans le sillage de ses parents choisira le camps des blancs, inspiré par les thèses libérales et attiré par la démocratie. Ivan, plus fougueux et d’un naturel rebelle épousera très tôt la cause des rouges, reniera sa famille et se jettera à corps perdu dans la révolution communiste aux côtés des tchékistes. Et entre les deux Natalia, dont ils sont tous les deux épris, et qui creusera encore le fossé creusé entre eux par la politique. . Je lis généralement peu de romans historiques, goûtant peu à ce genre littéraire. Je ne suis pas non plus particulièrement attirée par la Russie. Deux éléments qui pouvaient me laisser redouter cette lecture. Et pourtant! Après un démarrage un...
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  • Focus
    Les Escales

    Le questionnaire de Proust d'Harold Cobert !

     Alors que Le Rouge et le Blanc d'Harold Cobert vient de paraître, nous avons souhaité en savoir plus sur sa personnalité, sa devise, son don rêvé, ses héros préférés...

    Harold Cobert se livre en répondant au questionnaire de Proust.

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