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Les Douleurs premières
Date de parution : 16/03/2023
Éditeurs :
Editions Héloïse D'Ormesson

Les Douleurs premières

Date de parution : 16/03/2023
Il était une fois deux sœurs ivres de désir qui irradiaient Paris de leur insolence. Animées par une fureur de vivre incandescente, elles traçaient leurs routes sans éviter les coups.... Il était une fois deux sœurs ivres de désir qui irradiaient Paris de leur insolence. Animées par une fureur de vivre incandescente, elles traçaient leurs routes sans éviter les coups. Il était une fois un garçon amoureux qui partait nager et ne revenait pas, et un autre qui croyait crever... Il était une fois deux sœurs ivres de désir qui irradiaient Paris de leur insolence. Animées par une fureur de vivre incandescente, elles traçaient leurs routes sans éviter les coups. Il était une fois un garçon amoureux qui partait nager et ne revenait pas, et un autre qui croyait crever de désespoir dans une chambre d’hôtel. Tous les quatre se croisèrent, se percutèrent, s’embrassèrent et s’embrasèrent. Jusqu’à se perdre. 
 
Les Douleurs Premières est le roman de l’amour absolu, celui qui vous élève et vous broie. Dans une langue brute, survoltée et rageuse, Julien Birban se frotte aux peines incompressibles dont les fissures vous collent à la peau.
 
Après des études de philosophie, Julien Birban fait le tour du monde avec son groupe de punk. En tournée, il réalise ses premières photographies et poursuit son travail d'artiste pluriel à New York. Aujourd'hui scénariste et réalisateur, il vit entre Tokyo, Paris et Hyères. Les Douleurs Premières est son premier roman.
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EAN : 9782350878218
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 208
Format : 140 x 205 mm
EAN : 9782350878218
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 208
Format : 140 x 205 mm

Ils en parlent

« Un roman d'amour, ou l'amour dans tous ses états, mais aussi un roman où la colère éclate pour tenter de changer le monde ! Premier roman remarquable par la sincérité de son écriture, son originalité et le style musical cher à l'auteur. Très prometteur ! »
Marie Théron / Librairie Charlemagne

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • clo73 29/04/2023
    C'est l'histoire de deux sœurs, animées par une rage de vivre et une détermination à surmonter les obstacles de la vie. Elles ont dû apprendre à se battre pour survivre dans un environnement hostile, la plus jeune cachant sa féminité pour éviter le mépris de ses parents, qui désiraient uniquement des garçons. Dans ce récit, leurs souvenirs remontent à la surface, douloureusement et le lecteur est emporté dans leur tourbillon émotionnel. Le roman est écrit avec une grande intensité, avec des mots qui frappent forts. Les personnages sont attachants, réalistes et complexes. Leurs parcours de vie s'entremêlent, se complètent, et parviennent à nous faire ressentir ce qu'elles traversent. Des phrases courtes, des mots qui claquent, une vie qui défile à toute allure, chahutée par les souvenirs et les événements qui se produisent dans la vie des frangines. L'écriture de l'auteur est vive et à fleur de peau donnant un sentiment d'urgence, exprimant le désespoir, l'amertume ou au contraire l'euphorie. Un texte qui parle de la force qu'on peut trouver dans l'adversité. Il vous fera ressentir toute l'intensité de l'amour et de la perte. Une ode à la fureur de vivre, à l'amour et à la sororité. C'est un premier roman. Il mérite d'être lu pour l'originalité, la sensibilité et la qualité de la plume de Julien Birban. Un auteur à suivre, c'est certain. C'est l'histoire de deux sœurs, animées par une rage de vivre et une détermination à surmonter les obstacles de la vie. Elles ont dû apprendre à se battre pour survivre dans un environnement hostile, la plus jeune cachant sa féminité pour éviter le mépris de ses parents, qui désiraient uniquement des garçons. Dans ce récit, leurs souvenirs remontent à la surface, douloureusement et le lecteur est emporté dans leur tourbillon émotionnel. Le roman est écrit avec une grande intensité, avec des mots qui frappent forts. Les personnages sont attachants, réalistes et complexes. Leurs parcours de vie s'entremêlent, se complètent, et parviennent à nous faire ressentir ce qu'elles traversent. Des phrases courtes, des mots qui claquent, une vie qui défile à toute allure, chahutée par les souvenirs et les événements qui se produisent dans la vie des frangines. L'écriture de l'auteur est vive et à fleur de peau donnant un sentiment d'urgence, exprimant le désespoir, l'amertume ou au contraire l'euphorie. Un texte qui parle de la force qu'on peut trouver dans l'adversité. Il vous fera ressentir toute l'intensité de l'amour et de la perte. Une ode à la fureur de vivre, à l'amour et à la sororité. C'est un premier roman. Il mérite...
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  • _auroreetseslectures_ 26/04/2023
    Les douleurs premières : lu dans le cadre « coup de cœur Femina » Ce fut l’occasion pour moi de découvrir cet auteur et son premier roman. Voilà l’histoire de la petite sœur, la petite frangine, la postulante, la petite Parisienne, pas épargnée par la vie et surtout par l’amour. Une narration à plusieurs personnages, à plusieurs voix, mais sur un même ton; celui de la mélancolie, de la tristesse avec une pointe de poésie mais sans être dans le mélodramatique. Le ton est « cash », rapide et percutant. J’ai aimé cette façon d’intercepter le lecteur dans sa lecture. Une lecture sur fond de vague à l’âme qui se dégusterai comme un vieux vin italien !
  • milareadbook04 24/04/2023
    J'ai lu le première roman de Julien Birban , intitulé "Les douleurs premières " • J'ai pour habitude de vous résumé un roman avant de vous en donner mon avis , et pourtant, celui ci me paraît impossible à résumer tant il suscite d'émotions. • On fait la rencontre de deux sœurs et de deux garçons qui les aiment. On va majoritairement suivre l'histoire de la plus jeune. • C'est un roman d'amour mais pas que . Il parle de l'existence, de la vie. C'est un roman qui est sombre ce n'est pas l'idylle amour classique , tout le monde n'est pas heureux à la fin ahah. • Et pourtant, je crois que c'est LE livre qui m'a le plus touché dans ce début 2023. Je ne saurais pas vraiment exprimer pourquoi ou comment , mais ce livre est une perle qu'il faut lire . • Il est sorti début mars, et je pense que la Terre entière doit le lire , c'est dur, c'est touchant, parfois beau, parfois sordide . • Lisez le !
  • Joaimelire 20/03/2023
    "Serrez les dents parce que ça va cogner un peu, ça va tacher le formica. Et servez-vous un verre, vous allez quand même pas me lire sobre." Pas facile de vous proposer un résumé... Dans ce récit, différentes voix se laissent la place : deux sœurs et deux garçons amoureux. À Paris, au bord de l'océan, en Italie ou à Santiago. C'est avec la plus jeune des sœurs que l'on passe le plus de temps. Ce premier roman est atypique. L'écriture est superbe, à la limite du parler, très addictive, chaque phrase est une citation en soi que j'avais envie de noter. Si on accepte ce langage original, on peut vraiment se laisser porter. Le changement de narrateur selon les chapitres est assez déroutant au départ mais redonne une belle dynamique au livre. J'ai aimé ces personnages tout cabossés, malmenés par la vie, leurs histoires sont belles et on y croit. Mais encore une fois, je reproche à ce livre trop de noirceur. En tant que lectrice, le trop finit par me sortir de mes émotions, car je trouve ça exagéré. J'ai besoin d'un meilleur équilibre lumières/drames. Je recommande tout de même ce roman pour la plume superbe !
  • SophianeLaby 10/03/2023
    C’est un livre écrit comme on renverse une table. Avec des mots qui raclent, qui grincent et qui cognent. Une jeune fille “née du côté qui morfle, fabriquée dans une famille lamentable, dans la génération la plus conne de toutes” nous balance tout en pleine face : son enfance nulle, la fuite avec sa grande sœur, leur installation à Paris, les nuits qui dérapent dans l’alcool et le sexe. “J‘échafaude les détails pour que vous compreniez bien ce que je vais vous dire, je veux pas vous perdre en chemin.” Cette cascade de souvenirs déferle alors qu’elle vient de s’exiler en Italie. Loin de Paris et loin de la vie, elle finit par nous cracher son drame, sa douleur première, un garçon parmi tant d’autres. “Avec lui je pourrais l’aimer, le flottement bouffi d’une vie sans importance, la grande berceuse de la vie normale et des heures gâchées.” Elle raconte le bonheur intégral qui finit fracassé dans une peine absolue. Foudroyée par le chagrin, elle laisse la parole à sa sœur. Certains chapitres, c’est la frangine qui récupère la narration, avec le même débit, le même boucan, une dose de souffrance en moins. Et puis Damien rapplique. Un autre mec. “C’est mon tour ? Je ne suis pas très à l’aise ici, je ne vois pas quoi dire.” Les uns après les autres, ils avouent l’amour raté, les fins de soirée, les déceptions partout, les cafés trop forts, les supernovas à effondrement de cœur. Jusqu’à ce qu’il ne reste plus que sa voix à elle pour faire la paix avec le chaos du monde. Seulement, cette voix de fille est écrite par un homme. Comme si son désir à lui était projeté dans ce roman, avec de grandes croyances sur les filles fragiles qui portent des robes légères et qui attendent qu’on les embrasse. Une vision fantasmée qui aurait peut-être pu être évitée. C’est un livre excessif, à lire vite et fort. On tourne les pages et c’est la vie qui défile, la vie triste comme un bar qui annonce sa fermeture, abîmée comme de la poésie en lambeaux, sale mais lumineuse comme un petit village d’Italie. C’est un livre écrit comme on renverse une table. Avec des mots qui raclent, qui grincent et qui cognent. Une jeune fille “née du côté qui morfle, fabriquée dans une famille lamentable, dans la génération la plus conne de toutes” nous balance tout en pleine face : son enfance nulle, la fuite avec sa grande sœur, leur installation à Paris, les nuits qui dérapent dans l’alcool et le sexe. “J‘échafaude les détails pour que vous compreniez bien ce que je vais vous dire, je veux pas vous perdre en chemin.” Cette cascade de souvenirs déferle alors qu’elle vient de s’exiler en Italie. Loin de Paris et loin de la vie, elle finit par nous cracher son drame, sa douleur première, un garçon parmi tant d’autres. “Avec lui je pourrais l’aimer, le flottement bouffi d’une vie sans importance, la grande berceuse de la vie normale et des heures gâchées.” Elle raconte le bonheur intégral qui finit fracassé dans une peine absolue. Foudroyée par le chagrin, elle laisse la parole à sa sœur. Certains chapitres, c’est la frangine qui récupère la narration, avec le même débit, le même boucan, une dose de souffrance en moins. Et puis Damien rapplique. Un autre mec. “C’est mon tour...
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