Lucia : Le livre de Bernard Minier

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Un sommet d'angoisse en Espagne, sur les traces d'un serial killer atypique...

L'inspectrice Lucia Guerrero porte bien son nom : c'est une guerrière. Une vraie. Mais, ce soir-là, le coeur lui manque. Sous une pluie torrentielle, le cadavre de Sergio, son coéquipier à la police judiciaire madrilène, joue les Christs au calvaire. Nu, les bras en croix, la peau collée à la glu. Pourquoi une telle mise en scène ? Et quel rapport avec cette ancienne série de crimes, exhumée par un programme expérimental de l'université de Salamanque ? Cette intelligence artificielle de criminologie, la première en son genre, est formelle : les meurtres sont inspirés de peintures de la Renaissance. Entre vraies copies et faux-semblants, le chemin sera long, pour Lucia, de l'ombre à la lumière...

De (auteur) : Bernard Minier

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Expérience de lecture

Avis des libraires

" Les lecteurs devraient apprécier le nouveau voyage proposé par ce maître du polar. Lucia, une petite lumière dans un monde de ténèbres. "
Bruno Corty, Le Figaro Littéraire

" L'auteur joue avec les références littéraires pour emmener le lecteur dans une enquête aux multiples rebondissements. Si ce livre est un thriller de bonne facture, c'est surtout le personnage de Lucia qui retient l'attention du lecteur. Totalement différente de Servaz, elle se rapproche plus de Lisbeth Salander, la justicière punk de Stieg Larsson: l'Espagnole est aussi une petite brune tatouée, au parcours tortueux voire torturé, une jeune femme isolée dans un monde masculin dont elle doit adopter les codes. "
Abel Mestre, Le Monde des livres

" Lucia Guerrero, l'héroïne espagnole de son dernier roman éponyme est bien partie pour devenir un autre personnage emblématique de son œuvre. "
Podcast Keskili – Le Monde des Livres

" Tout en conservant l'art du suspense, Bernard Minier se réinvente en créant une nouvelle héroïne. La palpitante narration de Lucia ne manque pas de rebondissements. "
Louis-Henri de la Rochefoucauld, L'Express

" Une nouvelle héroïne aussi intrépide que déterminée. "
François Lestavel, Paris Match

" Un écrivain français qui aime à faire froid dans le dos. Tout le savoir-faire de Bernard Minier est au rendez-vous de Lucia, éparpillant au fil du récit nombre de petites références littéraires (très variées). "
Baptiste Liger, Lire Magazine

" L'un des meilleurs auteurs français. "
Olivia de Lamberterie, "Télématin" – France 2

" Avec ce " tueur à la colle ", Bernard Minier creuse jusqu'au vertige la question du mal , et c'est l'esprit tout entier de son lecteur qui s'en trouve chamboulé. Du jamais-lu depuis Millénium. "
Anne Crignon, L'Obs

" Une œuvre d'art du polar signée Minier. Il tisse, autour de son intrigue, un fascinant canevas mêlant peinture et Histoire. Un joli tour de force. Lucia évoque tout autant les techno-thrillers de Maurice G. Dantec et de Jean-Christophe Grangé que Le nom de la rose, d'Umberto Eco. C'est une enquête, une intrigue, mais un aussi un roman chargé d'Histoire et de culture. "
Hubert Artus, Le Parisien Week-end

" On le sait depuis Glacé, Bernard Minier a le sens de la mise en scène. Impossible de ne pas être saisi dès les premières pages de son nouveau roman Lucia. Du sous-sol obscur de la faculté de droit aux petites ruelles pavées et mal éclairées en passant par les silhouettes gothiques des cathédrales, sans oublier les arcades de la plaza Mayor, Bernard Minier brouille les pistes dans Salamanque, et on a la sensation de l'arpenter avec ses personnages. Brillant, addictif, du grand spectacle ! "
Nathalie Dupuis, ELLE

" Lucia, la lumière, Guerrero, la guerrière. Un beau profil d'héroïne. Une nouvelle et très réussie héroïne "
Bernard Lehut, "Laissez-vous tenter" – RTL

" Evidemment, il y a du suspens. On est ici dans du thriller et non dans du roman noir avec comme vous l'avez compris des références historiques et culturelles tout en s'intéressant aux problématiques actuelles. Notamment l'idée de nouvelles technologies qui nous fait occulter le reste. C'est un roman d'atmosphère également. Lucia c'est à ne pas louper. "
Frédérique Le Teurnier, "Toutenpapier" – France Bleu

" Plus qu'un décor et une ambiance, c'est tout un pan de l'histoire espagnole que dévoile Lucia. Course-poursuite dans les couloirs inquiétants d'une des plus vieilles universités d'Europe ; plongée parmi les fantômes en uniforme de cette Espagne des années 70. Où le sens du sacré et du religieux se confond avec les forces du mal. Où remontent les secrets glauques du passé, sous les regards de pierre des statues d'Isabelle la catholique, Pizarro et Cortés... Lucia a sans doute devant elle encore quelques sombres nuits blanches. "
Fabrice Drouzy, Libération

" Un roman palpitant qui, en prime, donne envie de (re)visiter ces magnifiques coins d'Espagne ! "
Femina Suisse

" Du pur suspense, qui multiplie les clins d'œil au cinéma. "
Christelle Ben, La Voix du Nord

" Plus qu'un roman noir rempli de violence, c'est plutôt un thriller d'atmosphère.que nous dégustons ici, où le suspense est distillé au fil de l'enquête. Bien sûr, le côté sombre, nécéssaire à tout bon thriller, n'est pas laissé de côté. Une enquête à l'architecture narrative impeccable et un excellent moment de lecture. "
Léo Lamarche, L'Est Eclair

" Bernard Minier s'est visiblement régalé à construire une savoureuse enquête, notamment dans la splendide ville de Salamanque, avec un dénouement qu'on voit doucement arriver comme un dessert étoilé... "
Michel Troadec, Ouest France

" Bernard Minier signe un polar époustouflant et bouleversant d'humanité où il est question de l'éternelle peine des hommes quand ils sont confrontés à la maladie et à la mort de leurs proches. "
Jean-Rémi Barland, La Provence

" Nouveau tour de force de Bernard Minier. Une fois n'est pas coutume, c'est un personnage féminin qui mène l'enquête. Une femme que l'on a déjà envie de retrouver dans l'avenir. "
Hubert Lemonnier, Presse de la Manche

" On retrouve le sens du détail de Minier, une intrigue savamment menée en lien constant avec le monde de l'art, qui cache bien son dénouement. Les personnages renouvelés trouvent d'emblée leur place. Les éléments s'imbriquent parfaitement. La prise de risque est réelle et assumée. On espère pour Lucia un développement, semblable à celui de Martin Servaz. "
Magali Mustioli-Hercé, Courrier Picard

" Ce roman de Bernard Minier donne vie à un très beau personnage, celui de Lucia, obnubilée par son travail, par la vérité, par la justice. Une femme forte malgré de nombreuses blessures dévoilées au fil des chapitres. De quoi donner envie de la retrouver très vite dans de prochaines intrigues. "
Marion Chavot, La Montagne

" Une fois de plus, Bernard Minier étonne par sa maestria à multiplier les univers. Chacun de ses thrillers donne à découvrir des héros habités par la passion ou la folie, des lieux sordides ou merveilleux. "
Catherine Pauchet, Les Affiches de la Haute-Saône

" Quand Bernard Minier décide de créer un nouveau personnage, il ne fait pas les choses à moitié. L'amour du risque. Le moins que l'on puisse dire, c''est que Bernard Minier aime en prendre, des risques. Et avec son dixième roman, Lucia, il prouve qu'il a eu raison. Oubliez (un temps) le capitaine Martin Servaz et souhaitez la bienvenue à Lucia Guerrero. Une nouvelle héroïne qui, on l'espère, deviendra un autre personnage récurrent du maître du suspense. "
Marc Fernandez, Alibi

" Mêler l'art au crime ne révolutionne pas le thriller, mais Minier y pose une touche de tragédie antique qui scotche. Dur de décrocher. "
Tribune de Genève
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Avis Babelio

Mimi_prts

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 mois

J’ai adoré ! J’ai acheté ce livre, je l’avoue un peu au hasard, et je n’ai pas été déçue ! C’est grâce à ce livre que j’ai repris goût à la lecture et qui m’a donné goût aux romans policiers. J’ai lu le livre en 2 jours ! L’histoire est très prenante : si vous commencez à lire ce livre vous ne pourrez plus vous arrêter !

Sharon

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 mois

J'ai lu ce livre avec plaisir, et que ce soit un pavé ne m'a pas géné. Bernard Minier est un écrivain chevronné, il sait tenir son lecteur en haleine, lui donner envie de lire un chapitre, et encore un chapitre. Certes, les chapitres sont relativement courts, mais ils sont bien construits, sans découpage arbitraire comme d'autres auteurs peuvent le pratiquer (James Patterson...), présentant une unité de temps, d'action et de personnages. Lucia est la nouvelle enquêtrice mise en scène par Bernard Minier et je dois dire que j'ai d'ors et déjà réservé le tome 2 à la bibliothèque (il est très demandé). J'ai aimé son franc-parler, le fait qu'elle ne rentre pas dans le moule, et ce, depuis fort longtemps. Née dans une famille très "comme il faut", tout a dérapé à l'adolescence à cause d'un événement qui la hante encore. Et pourtant... c'est cet "événement" qu'elle a fait tatouer sur son dos, c'est cet événement, et celui qui en est l'auteur qui l'aide à tenir jour après jour. Tenir bon. Tout sauf facile eu égard à ce à quoi elle est confrontée. Ne pas baisser les bras, jamais. Le pire de ce dont l'être humain est capable, elle le voit tous les jours. S'investir dans sa vie privée ? Difficile. Et pourtant, elle aime son fils et c'est aussi parce qu'elle l'aime que son métier lui tient tant à coeur. Au cours de sa quête d'un tueur en série, elle rencontrera Salomon, professeur d'université de son état, créateur d'un logiciel qui permet des recoupements entre différentes affaires, recoupements que les enquêteurs n'ont pas fait spontanément, pour maintes raisons. C'est à cause de ce logiciel que lui et Lucia seront amenés à se rencontrer, à travailler ensemble. Et Lucia de se demander qui a bien pu vouloir qu'ils se rencontrent, qui a bien pu vouloir qu'elle s'investisse dans cette affaire, en la touchant personnellement, en tuant son adjoint, policier intègre et consciencieux. Et peu importe la vie privée de celui-ci, même si les chantres de la morale pourront sauter au plafond : tant que cela se passe entre deux adultes consentants, cela ne nous regarde pas. Nous découvrirons au cours de cette intrigue des adultes particulièrement abjects, imposants leurs fantasmes violents et sadiques à d'autres, alors laissons les personnes amoureuses, ou simplement les personnes qui se désirent mutuellement, tranquilles. Le poids des morts sur les vivants est très important dans le récit. Je ne parle pas seulement des victimes, à qui Lucia cherche à rendre justice. Je parle des personnes aimées qui sont mortes et qui accompagnent toujours les vivants. Cependant, il est un personnage décédé qui, même s'il a été aimé, même s'il n'a apporté que du positif dans la vie de l'être aimé, me laisse tout de même dubitative. Parce que cette femme (si vous avez lu le roman, vous savez de qui je parle. Si ce n'est pas le cas, cela fait une révélation en moins) avait tout de même une part d'ombre, une part de pessimisme qui pèse sur le présent.

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christeleternel

4.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 mois

Bonjour à tous, Un retour sur le dernier roman de Bernard Minier. Madrid, hiver 2019. À l'approche du procès du "tueur au marteau" qu'elle a arrêté quelques mois auparavant, Lucia Guerrero, lieutenante à l'UCO, l'Unité Centrale Opérationnelle de l'élite de la police judiciaire espagnole est appelée sur une scène de crime insoutenable, celle de son coéquipier, retrouvé nu, crucifié, badigeonné de glue et littéralement collé à un calvaire de la région madrilène. Criminologue et professeur à l'université de Salamanque, Salomòn Borges et son groupe d'étudiants ont mis au point un logiciel exceptionnel appelé DIMAS qui regroupe les procédures de tous les enquêteurs criminels d'Espagne. Un beau matin, DIMAS établit un lien inespéré entre trois couples assassinés à trente ans d'écart, le premier en 1989 dans le Haut-Aragon, le deuxième en 2015 à Ségovie et le troisième en 2018 sur la Costa del Sol... et le lien sur les trois scènes est la colle... En effet, elle assemble les couples dénudés dans des positions élaborées et sophistiquées qui s'inspirent des tableaux de la Renaissance. Pourquoi l'assassin ou les assassins ont mis 30 ans avant de récidiver après les deux premiers meurtres ? Quels sont les tableaux dont le tueur s'inspire et pour quelles raisons ? Le professeur Borges entre en contact avec Lucia et lui fait part aussitôt de ses trouvailles. Tous deux vont rouvrir ensemble les trois cold case et mettre à contribution la troupe d'étudiants qui n'avaient jusque-là travaillé que sur des affaires résolues. Ce duo improbable devra suivre mille et une pistes pour trouver celui que la presse surnomme "Le tueur à la colle".. Que dire de plus sur ce qui a été déjà écrit sur ce roman et son auteur ? Pour moi, Bernard Minier est le Maître absolu du thriller français. Il développe ici des enquêtes dans une enquête principale menée tambour battant, où absolument rien n'est laissé au hasard, chaque chapitre vous mène un peu plus vers l'horreur et ce jusqu'au dénouement complètement fou ! Ce livre est très bien documenté, j'avais d'ailleurs l'impression d'accompagner Lucia et Salomòn dans les rues de Salamanque et l'auteur m'a donné l'envie de découvrir la ville. J'ai été encore une fois conquise par Bernard Minier et par sa nouvelle héroïne, Lucia, une jeune femme forte et solitaire, intrépide et obstinée qui ne s'en laissera pas compter dans les prochains romans, j'en suis certaine... Au revoir et à bientôt Commandant Servaz, bonjour Lieutenante Lucia ! 4ème de couverture : "À l'université de Salamanque, un groupe d'étudiants en criminologie découvre l'existence d'un tueur passé sous les radars depuis plusieurs décennies et qui met en scène ses victimes en s'inspirant des tableaux de la Renaissance. À Madrid, l'enquêtrice Lucia Guerrero trouve son équipier crucifié sur un calvaire et se lance sur les traces de celui que l'on surnomme le "tueur à la colle". Tous vont être confrontés à leur propre passé, à leurs terreurs les plus profondes et à une vérité plus abominable que toutes les légendes et tous les mythes." * Lucia de Bernard Minier Éditions XO Paru le 31 mars 2022 474 pages

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PriscillaMushu

3.50 sur 5 étoiles

• Il y a 2 mois

Un thriller un peu trop prévisible et un poil basique pour le grand nom d'auteur inscrit sur sa couverture. Alors il se lit extrêmement bien, c'est addictif et plutôt bien rythmé, toutefois l'intrigue dans sa globalité ( et surtout dans sa finalité !) est plutôt banale. Je m'attendais à une fin spectaculaire...mais non... Bernard Minier m'a clairement habituée à mieux comme ressenti de lecture. Lecture agréable malgré tout !

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Fiche technique du livre

  • Genres
    Policiers & Thrillers , Thrillers
  • EAN
    9782266332200
  • Collection ou Série
  • Format
    Poche
  • Nombre de pages
    512
  • Dimensions
    179 x 110 mm

L'auteur

Bernard Minier

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9,60 € Poche 512 pages