Le Monde des Abberley

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• deslivresdelabeaute 22/01/2024

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  Le monde des abberley 🫖 Résumé : Dans son cottage de bord de mer, Beatrix Abberley est assassinée en pleine nuit. Étrangement, elle paraissait s’y attendre ; elle semblait même savoir qui allait la tuer. Pour Charlotte Ladram – sa nièce par alliance, qui hérite du domaine –, le choc est terrible. Très vite, un homme est accusé. Peut-être trop vite… Robert Goddard est un virtuose des enquêtes à la fois complexes et passionnantes. C’est pourquoi j’ai voulu tenter ma première lecture avec cet auteur. Je dois dire que j’ai apprécié ma lecture. J’ai passé un agréable moment et je pense en lire d’autres de cet auteur. Je suis sincèrement admirative de son talent. L’enquête est bien mené et les éléments sont très riches. Vous avez déjà lu cet auteur?
• mymyRouen 30/07/2023

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  Ça faisait quelques temps que ce livre, cette brique de 730 pages attendait bien sagement dans ma tablette. Je l’ai lu en 2 fois et j’ai bien aimé. Les personnages sont « so British », ils passent leur temps à boire du thé ou du Sherry. Mais, les personnages sont bien campés, les décors vont avec le livre. Ce livre se déroule maintenant, mais par le biais des lettres du frère poète envoyées pendant la guerre d’Espagne. On va apprendre qu’il y a pas mal de secrets, de non dits J’ai apprécié cette lecture et lirai un autre roman de cet auteur avant la fin de l’année pour me faire une idée plus précise de son talent d’auteur
• stephalivres 04/05/2023

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  Ce roman commence comme un roman policier, typique du genre, et l'on s'attache à vouloir savoir, comme dans beaucoup de romans de ce type, qui a bien pu tuer la victime, et pourquoi ! Malheureusement, il va falloir attendre, encore et encore pour avoir le fin mot de l'histoire. Et si dans certains polars, l'attente fait monter la pression du lecteur, dans celui-ci, pendant un long moment, la lecture est une lutte. C'est long, c'est délayé, et on se demande si on ne pourrait pas directement passer à la résolution de l'affaire. Ce qui est plutôt dommage, parce que c'est bien écrit, de façon simple, agréable, et avec du vocabulaire ( c'est à noté car plus si fréquent). Mais voilà, l'auteur se perd dans des histoires dont on se fiche, avec des développements incompréhensibles sur certains personnages. Puis il y a des petites saillies, des instants où l'on reprend le fil, où l'on se laisse convaincre, avec ce point historique que je connaissais peu sur la guerre d'Espagne. Et l'on retombe dans la simplicité de l'intrigue et dans l'incompréhension. Je me suis même dit parfois " tout ça pour ça ! " ce qui est une sacrée perte de temps quand on lit un livre de plus de 600 pages. Alors si vous lisez vite, si vous avez des vacances à occuper, n'hésitez pas. Mais si vous lisez peu, ou lentement, ou que votre temps est compté, croyez-moi, il y a d'autres romans bien plus captivants !Ce roman commence comme un roman policier, typique du genre, et l'on s'attache à vouloir savoir, comme dans beaucoup de romans de ce type, qui a bien pu tuer la victime, et pourquoi ! Malheureusement, il va falloir attendre, encore et encore pour avoir le fin mot de l'histoire. Et si dans certains polars, l'attente fait monter la pression du lecteur, dans celui-ci, pendant un long moment, la lecture est une lutte. C'est long, c'est délayé, et on se demande si on ne pourrait pas directement passer à la résolution de l'affaire. Ce qui est plutôt dommage, parce que c'est bien écrit, de façon simple, agréable, et avec du vocabulaire ( c'est à noté car plus si fréquent). Mais voilà, l'auteur se perd dans des histoires dont on se fiche, avec des développements incompréhensibles sur certains personnages. Puis il y a des petites saillies, des instants où l'on reprend le fil, où l'on se laisse convaincre, avec ce point historique que je connaissais peu sur la guerre d'Espagne. Et l'on retombe dans la simplicité de l'intrigue et dans l'incompréhension. Je me suis même dit parfois " tout ça pour ça ! " ce qui est une sacrée perte de temps quand...

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• Sylviegeo 22/12/2022

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  Beatrix, vieille dame tranquille, soeur du poète Tristan Abberley, est retrouvée assassinée chez elle. Quel drame car qui pourrait bien en vouloir à une dame âgée? C'est incompréhensible. Mais rapidement un suspect est arrêté, une espèce d'antiquaire plus ou moins honnête. Affaire réglée. Vraiment ? Que non car on se met à fouiller le passé de Beatrix pour comprendre certains événements du présent. On se demande quelles étaient ses relations avec son poète de frère engagé dans les brigades internationales qui s’est battu et qui est mort en Espagne en 1938. Le monde des Abberley en est un de faux semblants, de mensonges, de cupidité, d'argent, de secrets de famille, de vile bourgeoisie. Tout est là et les dialogues et la narration font part de l'intangible impassibilité toute "british" et de la froide politesse frôlant parfois le mépris dont certains anglais ont le secret. Secrets du passé révélés qui impactent le présent et qui dans le récit nous présentent un certain intérêt historique. Un peu poussif, c'est un pavé de près de sept cents pages auquel on aurait pu en retrancher une bonne centaine. Mais louons le talent de l'auteur qui sait aussi bien ausculter et diagnostiquer pour mettre en lumière les travers et les perversions de ses personnages. Un univers très british et toujours aussi séduisant. Beatrix, vieille dame tranquille, soeur du poète Tristan Abberley, est retrouvée assassinée chez elle. Quel drame car qui pourrait bien en vouloir à une dame âgée? C'est incompréhensible. Mais rapidement un suspect est arrêté, une espèce d'antiquaire plus ou moins honnête. Affaire réglée. Vraiment ? Que non car on se met à fouiller le passé de Beatrix pour comprendre certains événements du présent. On se demande quelles étaient ses relations avec son poète de frère engagé dans les brigades internationales qui s’est battu et qui est mort en Espagne en 1938. Le monde des Abberley en est un de faux semblants, de mensonges, de cupidité, d'argent, de secrets de famille, de vile bourgeoisie. Tout est là et les dialogues et la narration font part de l'intangible impassibilité toute "british" et de la froide politesse frôlant parfois le mépris dont certains anglais ont le secret. Secrets du passé révélés qui impactent le présent et qui dans le récit nous présentent un certain intérêt historique. Un peu poussif, c'est un pavé de près de sept cents pages auquel on aurait pu en retrancher une bonne centaine. Mais louons le talent de l'auteur qui sait aussi bien ausculter et diagnostiquer pour mettre...

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• tripackbyron 16/11/2022

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  J'aime beaucoup les livres de Robert GODDARD, sans toutefois classer cet auteur dans mes favoris pour les polars, car dans son univers, tout est " So British", avec beaucoup de thé, de retenue, de lenteur, univers très décalé donc, mais ses intrigues sont très souvent très intéressantes et particulièrement bien construites. J'ai abordé ce roman pour l'auteur donc, et surtout pas pour le titre français (très mal choisi à mon avis), ni pour la couverture assez froide, mais en survolant la quatrième de couv', je me suis dit que ça devrait me plaire. Malgré un début très accrocheur, très vite l'ennui s'est installé et au bout de 200 pages environ, j'ai failli abandonner. Mais j'ai décidé de relire attentivement cette fois-ci la quatrième de couv', et sachant qu'un deuxième meurtre était "programmé", je me suis forcé à continuer. Et je dois reconnaître que ma curiosité a été récompensée car à partir de la troisième partie du livre, mon intérêt s'est accru. Cependant, une fois le livre terminé (une semaine quand même pour y arriver alors qu'habituellemnt, si le livre m'accroche vraiment, je dévore des pavés de 600 pages en 3 ou4 jours), j'en retire une impression mitigée : oui, l'histoire est intéressante, le récit bien construit, mais tout cela est beaucoup trop lent, et long, et je n'ai pas réussi àéprouver de la sympathie pour les personnages qui m'ont paru assez fades. C'est le premier roman de Robert GODDARD qui me déçoit un peu, j'en avais lu 7 auparavant, tous très appréciés, et plus particulièrement le dernier que j'ai lu ("L'énigme des Foster", que je recommande particulièrement à ceux qui ne l'ont pas lu).J'aime beaucoup les livres de Robert GODDARD, sans toutefois classer cet auteur dans mes favoris pour les polars, car dans son univers, tout est " So British", avec beaucoup de thé, de retenue, de lenteur, univers très décalé donc, mais ses intrigues sont très souvent très intéressantes et particulièrement bien construites. J'ai abordé ce roman pour l'auteur donc, et surtout pas pour le titre français (très mal choisi à mon avis), ni pour la couverture assez froide, mais en survolant la quatrième de couv', je me suis dit que ça devrait me plaire. Malgré un début très accrocheur, très vite l'ennui s'est installé et au bout de 200 pages environ, j'ai failli abandonner. Mais j'ai décidé de relire attentivement cette fois-ci la quatrième de couv', et sachant qu'un deuxième meurtre était "programmé", je me suis forcé à continuer. Et je dois reconnaître que ma curiosité a été récompensée car à partir de la troisième partie du livre, mon intérêt s'est accru. Cependant, une fois le livre terminé (une semaine quand même pour y arriver alors qu'habituellemnt, si le livre m'accroche vraiment, je dévore des pavés de 600 pages en 3 ou4 jours), j'en retire une impression mitigée : oui, l'histoire est...

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