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Les Nuits blanches du Chat botté
Date de parution : 19/06/2014
Éditeurs :
Julliard

Les Nuits blanches du Chat botté

Date de parution : 19/06/2014

Octobre 1700. Dans la région si paisible des Alpes provençales, Guillaume de Lautaret, procureur de son état, se trouve confronté à de bien singuliers événements...
Qui a tué la jeune fille...

Octobre 1700. Dans la région si paisible des Alpes provençales, Guillaume de Lautaret, procureur de son état, se trouve confronté à de bien singuliers événements...
Qui a tué la jeune fille au capuchon rouge?
Qui a enfoncé dans la gorge du couple assassiné de mystérieux petits cailloux blancs?
Qui a cousu dans la...

Octobre 1700. Dans la région si paisible des Alpes provençales, Guillaume de Lautaret, procureur de son état, se trouve confronté à de bien singuliers événements...
Qui a tué la jeune fille au capuchon rouge?
Qui a enfoncé dans la gorge du couple assassiné de mystérieux petits cailloux blancs?
Qui a cousu dans la peau d'une bête le cadavre du marchand noyé dans la rivière?
Qui a étouffé la fillette en lui plantant au fond du gosier l'aiguille d'une brodeuse?
Guillaume se passionne pour une enquête qui met subtilement au jour les fractures politiques et religieuses de l'époque. Il se passionne encore davantage pour les charmes de Delphine d'Orbelet qui se distrait de l'ennui de la vie provinciale en lisant avec passion les Contes de la mère l'Oye, dont l'auteur n'est autre que l'académicien français Charles Perrault.
Dans le feu d'une enquête que Jean-Christophe Duchon-Doris mène avec allégresse, fougue et érudition, le jeune couple va apprendre à ses dépens que les contes populaires dissimulent toujours, sous le charme des histoires à faire peur, l'irrésistible attrait de la violence, de l'érotisme et de la mort.

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EAN : 9782260019503
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782260019503
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • cvd64 20/04/2023
    Comme dans la plupart des contes, celui-ci commence par il était une fois et se termine par ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants. Entre temps c'est une enquête pour meurtres qui est diligentée par un gouverneur fraîchement arrivé dans les montagnes provençales en cette année 1700. Prendre appui sur des contes pour mettre en scène des assassinats est intéressant et remet au goût du jour, ces récits qui ont émaillés notre enfance. Lecture plaisante même si parfois les descriptions sont très imagées. Le vocabulaire utilisé donne au récit la tonalité de l'époque.
  • Labullederealita 31/12/2019
    J'avoue qu'en voyant la couverture j'étais un peu sceptique quant au fait que j'allais aimer. Mais je me suis vite plongée dans le récit ! L'enquête m'a plu de suite car le tueur met en scène ses meurtres d'après des contes très célèbres ! J'ai beaucoup aimé la manière qu'a l'auteur de mêler un peu d'érotisme et d'horreur. Les personnages principaux m'ont bien plu, le procureur m'énervait au début mais quand il rencontre Delphine, il commence à changer et j'ai apprécié leur relation qui s'établit petit à petit. Je ne me doutais pas une seule seconde de qui pouvait être le tueur. J'ai apprécié le déroulement de l'enquête et le fait de me replonger dans ces contes populaires. Je n'ai qu'une hâte : lire le tome 2 pour retrouver ces personnages !
  • Derfuchs 19/07/2019
    Voici un livre qui commence par : il était une fois et qui se termine par : ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. Un conte policier qui raconte les contes de Perrault, ceux de notre enfance, les qui font peur, Le petit Poucet et l'ogre Le petit chaperon rouge et le loup qui la mange, bref des trucs à faire des cauchemars. Seulement voilà que des crimes à répétition sont commis dans une paisible vallée de la France profonde ou se morfond un jeune et beau procureur, fraichement nommé, craignant de s'ennuyer à mourir dans ce coin perdu, d'autant que l'on n'a pas encore inventé la console de jeux PSP, car nous sommes au début du XVIIIème siècle de notre ère. Guillaume de Lautaret, c'est son nom, propre sur lui, tout de blanc vêtu, montant un fier cheval, homme habile au maniement de l'épée, moustache lissée et cirée à souhaits, oeil de velours et mains câlines, maniéré et instruit, gueule d'apôtre, bref Superman en chapeau à plumes. On se pâmerait pour moins. Tout désigne un loup, une bête féroce , surdimensionnée, imposante, ne laissant aucune chance à ses victimes. Seulement voilà, un loup ne laisse pas d'indices et les victimes, apparemment, n'étant pas choisies au hasard, recèlent ce genre de petit riens qui, en fait, ne sont-là que pour influer sur l'enquête. Le peuple gronde et les familles des victimes veulent la peau du loup ! Les manants organisent une battue vite stoppée par les nobliaux qui en ont l'apanage. On découvrira une famille de loups, mâle, femelle et un couple de loupiots qui sera abattue inutilement mais calmera le peuple, du moins jusqu'au prochain crime. Guillaume, aidé par Delphine, une jeune et belle fille, hôte de la châtelaine, bien que dessaisi de l'affaire, un loup n'est pas du ressort d'un procureur mais de l'armée, continuera son enquête qui le mènera à Paris où il apprendra des choses et nous, également, par la même occasion. Des portes s'ouvriront, d'autres se fermeront, mais l'impétueux procureur parviendra, après quelques aventures où il évitera de peu que le pire n'arrive, grâce à son sens de la déduction, à découvrir qui est, et pourquoi, responsable de ces meurtres prémédités et effroyables. Ce que je reproche à ce livre : D'abord il était aisé d'utiliser, tout ou partie, la langue flamboyante de l'époque, quitte à organiser un lexique en fin d'ouvrage. il n'en est rien. L'auteur emploie un style contemporain académique et quelquefois ennuyeux dans son classicisme, on frôle le Balzac en plus court dans les descriptions (ouf !). Pas d'innovation, on décrit dans un style purement conventionnel qui oblige le lecteur à reconnaitre que c'est bien écrit mais qui ne me convient plus ou alors dans un autre genre. Il y a trop de scènes de sexe inappropriées et décrites avec moult détails. L'agapé oui, éros non ou si c'est absolument nécessaire, ce qui n'est pas le cas, ici. La justice du Roi, n'est pas la justice de la république avec avocat et tout le bataclan, non, désobéir en continuant une enquête c'est bon pour les flics actuels, ceux de l'époque j'en doute ! Le dénouement est prévisible et, ce qui me parait, à chaque fois que je trouve, déplaisant, simple à découvrir. Je n'aime pas cela, je préfère être estomaqué par le génie de l'auteur à nous trouver une fin du tonnerre et totalement imprévisible. C'est vrai cependant que cela se lit bien, aussi j'userai d'un peu de complaisance pour reconnaitre que j'ai lu pire. Voici un livre qui commence par : il était une fois et qui se termine par : ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. Un conte policier qui raconte les contes de Perrault, ceux de notre enfance, les qui font peur, Le petit Poucet et l'ogre Le petit chaperon rouge et le loup qui la mange, bref des trucs à faire des cauchemars. Seulement voilà que des crimes à répétition sont commis dans une paisible vallée de la France profonde ou se morfond un jeune et beau procureur, fraichement nommé, craignant de s'ennuyer à mourir dans ce coin perdu, d'autant que l'on n'a pas encore inventé la console de jeux PSP, car nous sommes au début du XVIIIème siècle de notre ère. Guillaume de Lautaret, c'est son nom, propre sur lui, tout de blanc vêtu, montant un fier cheval, homme habile au maniement de l'épée, moustache lissée et cirée à souhaits, oeil de velours et mains câlines, maniéré et instruit, gueule d'apôtre, bref Superman en chapeau à plumes. On se pâmerait pour moins. Tout désigne un loup, une bête féroce , surdimensionnée, imposante, ne laissant aucune chance à ses victimes. Seulement voilà, un loup ne laisse pas d'indices et les victimes, apparemment, n'étant pas choisies au...
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  • telle17 02/04/2018
    Plongé dans le 18 e siècle entre magies, superstitions et données historiques, ce polar à l'intrigue loin d' être simple fait un parallèle intéressant avec les contes de Charles Perrault. Lecture agréable La fin est un peu rapide, abrupte.
  • Khalya 09/08/2017
    J’ai lu ce roman par curiosité car l’auteur est l’époux de mon ancienne prof de droit comparé. Comme j’ai maintenant quitté la fac et que je ne risque plus ni d’être saquée, ni d’être accusée de fayottage, j’ai enfin lu ce livre et peut donner mon avis sans « risque ». Dès les premières pages, 1er point positif pour moi : l’auteur a adapté le vocabulaire employé à l’époque à laquelle se passe l’histoire. Je sais que c’est souvent, au contraire, un point négatif pour les lecteurs qui sont perturbés de ne pas avoir une écriture moderne, mais pour moi, c’est un des plaisirs de lire une histoire qui se passe au moyen-âge ou sous l’Ancien Régime: avoir l’impression d’y être. Bon évidemment, je ne lirai pas un livre écrit en ancien français : ça peut être marrant, mais faut s’accrocher. Au début, j’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire, mais assez rapidement on se prend au jeu. Si on sait dès le départ que les meurtres ne sont pas du fait d’un animal mais d’un homme, il est difficile de ne pas voir tout le monde comme un suspect. Je me suis vraiment attachée à Delphine et Guillaume (et d’ailleurs, je pense lire les deux autres romans qui les mettent en scène). Plusieurs affaires se mêlent : Guillaume s’intéresse surtout au meurtrier, tandis que les agents du royaume veulent avant tout capturer un leader de la foi réformé (A la limite, la population peut se faire massacrer, ils s’en foutent). J’ai bien aimé les références aux contes qui permettent d’avancer dans l’enquête sans pour autant prendre le pas sur elle. On a d’ailleurs aussi une référence à l’histoire de la bête du Gévaudan, puisque les loups sont accusés d’une partie des meurtres et qu’une battue va être organisée quand bien même Guillaume est certain que les bêtes n’ont rien à voir dans l’histoire. Personnellement, même si j’avais établi plusieurs hypothèses, j’étais très loin de l’identité du coupable que je n’ai trouvé qu’en même temps que Guillaume. J’ai plongé à pied joint dans les pièges tendus par l’auteur, sans aucune frustration d’ailleurs, parce que c’était vraiment bien tourné.J’ai lu ce roman par curiosité car l’auteur est l’époux de mon ancienne prof de droit comparé. Comme j’ai maintenant quitté la fac et que je ne risque plus ni d’être saquée, ni d’être accusée de fayottage, j’ai enfin lu ce livre et peut donner mon avis sans « risque ». Dès les premières pages, 1er point positif pour moi : l’auteur a adapté le vocabulaire employé à l’époque à laquelle se passe l’histoire. Je sais que c’est souvent, au contraire, un point négatif pour les lecteurs qui sont perturbés de ne pas avoir une écriture moderne, mais pour moi, c’est un des plaisirs de lire une histoire qui se passe au moyen-âge ou sous l’Ancien Régime: avoir l’impression d’y être. Bon évidemment, je ne lirai pas un livre écrit en ancien français : ça peut être marrant, mais faut s’accrocher. Au début, j’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire, mais assez rapidement on se prend au jeu. Si on sait dès le départ que les meurtres ne sont pas du fait d’un animal mais d’un homme, il est difficile de ne pas voir tout le monde comme un suspect. Je me suis vraiment attachée à Delphine et Guillaume (et...
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