Cinq jours

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• cedau38 18/02/2024

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  For twenty years, Laura has been a good wife and mother. She's supported her husband through redundancy, she's worried about her son, she's encouraged her daughter. She has been constant, caring and selfless. She's stopped thinking about her own dreams, the places she'd like to go and the books she'd like to talk about. But a chance meeting with a man in a hotel lobby - and the five days that follow - remind Laura of the young woman she used to be, and the woman she could have become. L'homme en question, Richard, un assureur qui aurait dû être écrivain, est aussi malheureux dans sa vie de couple, il a un fils malade mental. En 5 jours, ils font des plans sur la comète, un appartement est acheté, etc.. Mais soudainement, Richard renonce. Laura ne peut plus reculer, elle est allée trop loin dans la simulation de séparation : elle demande donc le divorce et s'installe seule, cherche un semblant de bonheur seule mais c'est difficile... Romance, un peu téléphonée, mais on se prend un peu au jeu.
• nancynina 23/01/2023

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  C'est un livre plein de surprises et de hasard. Ce livre permet de faire comprendre au lecteur que si on est malheureux en couple ça ne sert à rien de rester avec notre compagnon ou compagne car on gâche une partie de notre vie. Or on peut rencontrer quelqu'un par tout hasard qui nous fais renaître grâce à l'amour.
• Naudel 17/11/2022

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  Grande fan de Douglas Kennedy, j'ai voulu direct ouvrage que je ne connaissais pas !!! Avec un brin de fébrilité. Et puis ... enfin ... le voilà. Ai dégagé du temps pour pouvoir déguster cet instant. Mais hélas, quelle déception. Cette histoire est fade. La rencontre entre les deux protagonistes se passe à la vitesse de l'éclair. Les personnages secondaires n'ont aucune consistance. Bref, l'auteur peut certainement faire mieux. J'ai des scrupules à Dre d' un tel auteur "je n'ai pas aimé" ... 3 * c'est indulgent.
• sixou 01/06/2022

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  Je le sais et c'est toujours la même chose avec Douglas Kennedy. Je m'ennuie les 40 premières pages, je m'accroche et m'accroche encore, et puis...oui, je sais, c'est toujours la même chose, je ne lache plus le roman. Et celui ci ne fait pas exception à la règle. Suis-je trop fan de cet auteur ? Peut-être, sûrement. Mais tout me parle encore une fois dans ce livre. Le possible et l'impossible, l impossible tellement possible, et le possible parfois impossible. C'est beau, touchant c'est une jolie leçon de courtoisie pour ceux qui seraient en besoin d'en prendre une, une belle romance pour ceux qui veulent toujours y croire. A lire !
• ecceom 15/01/2022

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  Les jours et l'ennui Je suis un homme (quoi de plus naturel, en somme ?) et l'idée que je me fais d'une sensibilité féminine spécifique si tant est que ça existe, est peut être éloignée de la réalité car faussée par ma nature. Le Genre comme on dit maintenant. Mais je trouve que le talent, réel, de Douglas Kennedy, ne s'exprime jamais aussi bien que quand il adopte le regard d'une femme comme dans "La poursuite du bonheur" ou "Les charmes discrets de la vie conjugale" . Ce point de vue "féminin" est pour moi, une fois encore, le principal attrait de ce nouveau roman de Kennedy. Car l'histoire de Laura, opératrice radio mal dans son couple, qui rencontre quelqu'un lors d'une conférence de 5 jours qui se déroule à Boston, est à la fois banale et prévisible. Ce roman mixe en effet, des thèmes assez traditionnels et universels : la trahison des rêves d'enfance, les compromissions de l'âge adulte : l'ennui discret d'une poursuite du bonheur conjugal en quelque sorte. Nous sommes loin des meilleurs romans de l'auteur, mais celui ci possède quand même un charme douloureux, qui peut plaire. Attention, à partir de là, risques de spoiler ! [masquer]En dépit de ce manque de reliefs, j'ai relativement apprécié ce livre...presque jusqu'au bout, mais pour d'assez mauvaises raisons : je n'ai jamais cru à la simplicité de l'histoire. J'ai donc avec assurance, attendu jusqu'à la toute fin, un retournement spectaculaire, la révélation d'un complot machiavélique que j'ai passé mon temps à tenter de deviner... Mais ce retournement imprévisible, je l'ai attendu, attendu, il n'est jamais venu. Zaï, zaï, zaï, zaï. Le roman est totalement linéaire et un des personnages s'évanouit au point d'en devenir totalement insignifiant. D'où une relative déception et une frustration certaine, mais ressenties de manière rétrospective : ce n'était donc que ça ? S'il fallait aujourd'hui le relire en connaissant la fin, mon jugement serait sans doute plus négatif. Pour autant, je considère qu'il ne faut pas à l'inverse, trop accabler ce roman. Le personnage de Laura est très attachant et son lâcher-prise progressif est décrit avec beaucoup de tact, comme ses scrupules et ses doutes, qui rendent la fin d'autant plus cruelle.[/masquer] Finalement, avec cette histoire, Kennedy a réalisé une sorte de "Brève Rencontre" moderne (notons que l'héroïne du film de David Lean se prénomme aussi...Laura. Hasard ?!).Les jours et l'ennui Je suis un homme (quoi de plus naturel, en somme ?) et l'idée que je me fais d'une sensibilité féminine spécifique si tant est que ça existe, est peut être éloignée de la réalité car faussée par ma nature. Le Genre comme on dit maintenant. Mais je trouve que le talent, réel, de Douglas Kennedy, ne s'exprime jamais aussi bien que quand il adopte le regard d'une femme comme dans "La poursuite du bonheur" ou "Les charmes discrets de la vie conjugale" . Ce point de vue "féminin" est pour moi, une fois encore, le principal attrait de ce nouveau roman de Kennedy. Car l'histoire de Laura, opératrice radio mal dans son couple, qui rencontre quelqu'un lors d'une conférence de 5 jours qui se déroule à Boston, est à la fois banale et prévisible. Ce roman mixe en effet, des thèmes assez traditionnels et universels : la trahison des rêves d'enfance, les compromissions de l'âge adulte : l'ennui discret d'une poursuite du bonheur conjugal en quelque sorte. Nous sommes loin des meilleurs romans de l'auteur, mais celui ci possède quand même un charme douloureux, qui peut plaire. Attention, à partir de là, risques de spoiler ! [masquer]En dépit de ce manque...

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