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Les Misérables - T 2
Arnaud Laster (préface de)
Date de parution : 28/03/2019
Éditeurs :
Pocket

Les Misérables - T 2

Arnaud Laster (préface de)
Date de parution : 28/03/2019

LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

Le drame de Jean Valjean, l’ex-forçat contraint au mal par l’injustice sociale, c’est « le vaste miroir reflétant le genre humain de son siècle ».
Sous...

LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

Le drame de Jean Valjean, l’ex-forçat contraint au mal par l’injustice sociale, c’est « le vaste miroir reflétant le genre humain de son siècle ».
Sous le nom de Monsieur Madeleine, puis sous celui de Monsieur Fauchelevent, il devient propriétaire d’une maison et connaît les joies...

LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

Le drame de Jean Valjean, l’ex-forçat contraint au mal par l’injustice sociale, c’est « le vaste miroir reflétant le genre humain de son siècle ».
Sous le nom de Monsieur Madeleine, puis sous celui de Monsieur Fauchelevent, il devient propriétaire d’une maison et connaît les joies de l’amour paternel auprès de Cosette, arrachée à l’affreux couple Thénardier. Mais ces moments de bonheur seront de courte durée… Javert le traque avec l’acharnement d’un fanatique, inaccessible à la pitié.
Roman policier, roman social, chef-d’œuvre du XIXe siècle, Les Misérables n’ont pas encore pris fin. Les protagonistes ont encore bien des choses à vivre avant le bouquet final.

@ Disponible chez 12-21
L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE

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EAN : 9782266296007
Code sériel : 6098
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 896
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266296007
Code sériel : 6098
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 896
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • germ1tor 30/01/2024
    S’attaquer - le terme est justifié - à ce monument de la littérature française n’est pas si simple. Ce n’est pas une comptine pour enfants. J’en avais lu quelques extraits lors de mon enfance et n’avais retenu qu’une lutte entre classes sociales: des gentils pauvres, des méchants pauvres, des gentils riches et des méchants riches. Un peu réducteur… Le livre est fleuve. Il se mérite, mais quelle récompense. Il faut se lancer et se plonger, en profondeur et sans relâche, dans Les Misérables pour découvrir au premier abord un univers d’ombres et de lumières, un monde fait du bien et du mal incarnés. Mais au fil du récit ce monde binaire s’estompe, se brouille et se transcende. Au profit de l’amour et de la grandeur d’âme. La rédemption. Telle est la foi du Victor Hugo profondément chrétien. Hugo nous expose tout à la fois: - une galerie de portraits extraordinaire de détails et de précision, montrant les vices et vertus de chacun: l’adorable évêque, Monseigneur Bienvenu, Jean Valjean, le forçat, Fantine, la pauvresse, les Thénardier, les hideux, Cosette, Marius… - une peinture du Paris du début du XIXème siècle, de ses faubourgs, et de ses moeurs à la fois - une trame de fond politique et historique, la Restauration et l’Empire - une intrigue à couper le souffle, préfigurant le thriller et le polar - et surtout une pensée romantique et humaniste Quelle imagination et quelle force dans cette imagination! Hugo est minutieux dans tous ses arguments politiques et philosophiques: il pèse, il équilibre. « Peu de lumière, beaucoup de bruit. » Il fait montre pratiquement à chaque page d’un sens incomparable de la formule: - « eux (ses chanoines et vicaires) étaient finis, lui (Monseigneur Bienvenu) était achevé ». Six mots, tout est dit. - « C’est une chose assez hideuse que le succès. Sa fausse ressemblance avec le mérite trompe les hommes». Les Misérables, c’est un tout, énorme et prodigieux: une fresque romanesque, un roman d’amour, un récit historique, un essai politique, une oeuvre philosophique. Il faut prendre le temps de savourer ces beaux livres…même les digressions qui nous font mieux toucher l’air du temps du début du XIXème siècle. Il m’est arrivé très souvent, voire systématiquement à chaque chapitre de relire quelques phrases tant elles condensaient parfaitement leur objectif soit de description soit de réflexion. Un chef d’oeuvre monumental profondément humaniste. Un plaidoyer pour l’éducation de la jeunesse, le savoir, les connaissances, la science. « Réveil de conscience, c’est grandeur d’âme ». S’attaquer - le terme est justifié - à ce monument de la littérature française n’est pas si simple. Ce n’est pas une comptine pour enfants. J’en avais lu quelques extraits lors de mon enfance et n’avais retenu qu’une lutte entre classes sociales: des gentils pauvres, des méchants pauvres, des gentils riches et des méchants riches. Un peu réducteur… Le livre est fleuve. Il se mérite, mais quelle récompense. Il faut se lancer et se plonger, en profondeur et sans relâche, dans Les Misérables pour découvrir au premier abord un univers d’ombres et de lumières, un monde fait du bien et du mal incarnés. Mais au fil du récit ce monde binaire s’estompe, se brouille et se transcende. Au profit de l’amour et de la grandeur d’âme. La rédemption. Telle est la foi du Victor Hugo profondément chrétien. Hugo nous expose tout à la fois: - une galerie de portraits extraordinaire de détails et de précision, montrant les vices et vertus de chacun: l’adorable évêque, Monseigneur Bienvenu, Jean Valjean, le forçat, Fantine, la pauvresse, les Thénardier, les hideux, Cosette, Marius… - une peinture du Paris du début du XIXème siècle, de ses faubourgs, et de ses moeurs à la fois - une trame de fond politique et...
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  • bmdeux 24/01/2024
    Cette deuxième partie des Misérables fait selon moi de l'ombre à la première bien qu'elle reste magistrale. Et pour cause, je ne suis pas un grand amateur d'histoires d'amour légères dans mes lectures. Marius et Cosette qui se regardent de loin sans vraiment se regarder, Marius et Cosette qui se bécotent en cachette, Marius qui pense au suicide quand Cosette imagine partir en Angleterre... Bref, tout ça m'a un peu agacé. Cette seconde partie est avant tout celle de l'amour, mais un amour que je trouve très naïf. Cette naïveté, on la retrouve chez Cosette qui devient insupportable : elle ne fait que subir les événements, s'exprime tel un enfant et oublie bien vite son protecteur et sauveur Jean Valjean. Heureusement, des personnages secondaires formidables comme Grantaire, Gavroche, Éponine ou encore M. Gillenormand sont bien plus intéressants et redonnent de l'énergie au roman. La fin du roman m'a beaucoup ému pour Jean Valjean mais n'a pas réussi à me consoler avec Marius et Cosette dont les caractères ne m'ont définitivement pas séduit. Ainsi se termine cette lecture en un peu moins d'un mois d'une œuvre qui restera longtemps dans ma mémoire tant le souffle des mots de Victor Hugo m'a transporté vers des horizons qui m'étaient jusqu'alors inconnus.Cette deuxième partie des Misérables fait selon moi de l'ombre à la première bien qu'elle reste magistrale. Et pour cause, je ne suis pas un grand amateur d'histoires d'amour légères dans mes lectures. Marius et Cosette qui se regardent de loin sans vraiment se regarder, Marius et Cosette qui se bécotent en cachette, Marius qui pense au suicide quand Cosette imagine partir en Angleterre... Bref, tout ça m'a un peu agacé. Cette seconde partie est avant tout celle de l'amour, mais un amour que je trouve très naïf. Cette naïveté, on la retrouve chez Cosette qui devient insupportable : elle ne fait que subir les événements, s'exprime tel un enfant et oublie bien vite son protecteur et sauveur Jean Valjean. Heureusement, des personnages secondaires formidables comme Grantaire, Gavroche, Éponine ou encore M. Gillenormand sont bien plus intéressants et redonnent de l'énergie au roman. La fin du roman m'a beaucoup ému pour Jean Valjean mais n'a pas réussi à me consoler avec Marius et Cosette dont les caractères ne m'ont définitivement pas séduit. Ainsi se termine cette lecture en un peu moins d'un mois d'une œuvre qui restera longtemps dans ma mémoire tant le souffle des mots de Victor Hugo m'a transporté vers des horizons...
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  • LugSamildatek 09/01/2024
    Après avoir quitté Jean Valjean dans le tome 1, que nous retrouverons dans ce tome-ci avec Cosette, nous faisons la connaissance de Marius. Marius, jeune homme de la bourgeoisie, ayant perdu son père est élevé par son grand-père, monsieur Gillenormand. Marius est en total désaccord avec son grand-père et donc advient ce qui doit arriver il quitte le domicile. À la suite de cet événement Marius rencontre plusieurs amis qui auront un rôle important à jouer au cours de ce récit. Nous allons bien sûr retrouver Jean Valjean et Cosette qui continue de vivre leur vie tourmentée. Nous retrouverons notre policier Javert. Et bien sûr nous retrouverons la famille Thénardier qui est maintenant composé de deux filles et d'un garçon. Ce garçon se prénommant Gavroche. Gavroche gamin des rues parisiennes au bagou sans nul autre pareil. Entre choc de génération et de culture, de trahison, de mensonges, de duperie, d'amour et d'eau fraîche et bien sûr de révolution, l'auteur nous livre encore un écrit magistral. Avec son phrasé profond, politique et maîtrisé le grand Monsieur Hugo nous laisse pantois devant son savoir-faire.
  • Orha08 17/12/2023
    J'ai bien aimé ce deuxieme tome dans lequel on voit grandir Cosette et on fait la connaissance de Marius que j'ai personnellement autant aimé que détesté ! On se laisse toujours embarquer par les péripeties des personnages j'ai hate de pouvoir conclure cette histoire avec le dernier tome !
  • smeknassi 18/01/2023
    C'est sans aucun doute l'un des romans historiques le plus détaillé, le plus complexe et le plus magnifiquement écrit que j'ai jamais lu, un vrai chef-d'oeuvre !!! Les Misérables est un roman qui explore l'histoire et la politique françaises, les questions philosophiques, les questions morales, la topographie, l'architecture de Paris, aux côtés des thèmes tel la justice, la foi, la conscience, la rédemption, la misère et l'amour. C'est aussi une histoire fascinante de personnages complexes avec des moments de lumière et d'ombre. Essayer de résumer est une tâche presque impossible. Le flux du roman est très souvent interrompu par des digressions historiques de plusieurs chapitres sur des sujets tels que Waterloo, les couvents, l'argot dans les différentes langues, les égouts de Paris, etc… que j'ai trouvées, pour ma part, enrichissantes, informatives et utiles pour bien comprendre le contexte dans lequel l'histoire est écrite. L'histoire comme nous le savons tous est celle de Jean Val Jean, victime de l'injustice humaine. À travers son histoire, Hugo fait revivre l'immense souffrance que traverse la classe défavorisée. C'est le thème central de l'histoire. La souffrance physique, les angoisses mentales, les dilemmes moraux que traversent les gens de cette classe sont déchirants. La pauvreté, le manque d'éducation, l'ignorance et la négligence des dirigeants ont fortement contribué à la triste vie et aux conditions de vie de cette classe défavorisée. Hugo pénètre profondément dans leur vie et capte avec sincérité et sympathie leur misère. Sa compassion pour eux transparaît dans son écriture touchante. L'écriture d'Hugo est magnifiquement descriptive, poétique, passionnée, dramatique et stimulante. Je ne peux pas me souvenir d'un livre qui m'a autant brisé le coeur que ce livre. A lire absolument !!! C'est sans aucun doute l'un des romans historiques le plus détaillé, le plus complexe et le plus magnifiquement écrit que j'ai jamais lu, un vrai chef-d'oeuvre !!! Les Misérables est un roman qui explore l'histoire et la politique françaises, les questions philosophiques, les questions morales, la topographie, l'architecture de Paris, aux côtés des thèmes tel la justice, la foi, la conscience, la rédemption, la misère et l'amour. C'est aussi une histoire fascinante de personnages complexes avec des moments de lumière et d'ombre. Essayer de résumer est une tâche presque impossible. Le flux du roman est très souvent interrompu par des digressions historiques de plusieurs chapitres sur des sujets tels que Waterloo, les couvents, l'argot dans les différentes langues, les égouts de Paris, etc… que j'ai trouvées, pour ma part, enrichissantes, informatives et utiles pour bien comprendre le contexte dans lequel l'histoire est écrite. L'histoire comme nous le savons tous est celle de Jean Val Jean, victime de l'injustice humaine. À travers son histoire, Hugo fait revivre l'immense souffrance que traverse la classe défavorisée. C'est le thème central de l'histoire. La souffrance physique, les angoisses mentales, les dilemmes moraux que traversent les gens de cette classe sont déchirants. La pauvreté, le manque d'éducation, l'ignorance...
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