Service après-mort : Le livre de Christophe Wojcik

Antoine rédige des éloges funèbres, Melina est infirmière dans une unité de soins palliatifs. Le travail de l’un prolonge celui de l’autre, en quelque sorte. Aussi, lorsqu’ils se rencontrent enfin, la complémentarité s’impose dans ce couple heureux. Et puis… Une réflexion à la fois légère et profonde sur la fin de vie qui prend tout son sens dans le débat actuel. Un style vif et enlevé au service d’une histoire très originale.

C'est le deuxième roman de l'auteur que je lis. Je l'ai trouvé moins jubilatoire que "le portable". J'ai retrouvé la jolie plume de Christophe Wojcik, les bons mots, et l'humour noir. Les métiers de l'ombre d'Antoine (rédacteur d'oraisons funèbres, après avoir été la plume d'un ministre) et de Melina (infirmière en soins palliatifs) sont pourtant bien mis en lumière dans ce roman. Mais l'histoire n'a pas su me séduire.

De manière concise, Christophe Wojcik aborde la mort sous ses multiples facettes, avec une légèreté et un humour subtil qui rendent la lecture fluide et agréable. Avec respect, et sans intention de juger ni de donner de leçon de morale, le message se veut percutant. Nous abordons la question de la mort, mais surtout le droit de mourir dignement. #119810;'#119838;#119852;#119853; #119854;#119847; #119849;#119834;#119851;#119842; #119834;#119854;#119837;#119834;#119836;#119842;#119838;#119854;#119857;, #119846;#119834;#119842;#119852; #119854;#119847; #119849;#119834;#119851;#119842; #119851;#119838;#119854;#119852;#119852;#119842; ! J'ai trouvé l'intrigue captivante, je n'aurais pas imaginé une telle tournure. On ne s'ennuie pas et malgré que le roman soit court on passe de rebondissements en rebondissements. La plume est vraiment efficace, nous allons à l'essentiel. L'ambiance n'est pas macabre, au contraire, on y trouve beaucoup de sérieux. Un auteur à découvrir, tant pour ses romans que pour sa personne ! #7429;#7431; #671;#903;#668;#7452;#7437;#7439;#7452;#640; #628;#7439;#618;#640;#65104; #7452;#628;#7431; #665;#7431;#671;#671;#7431; #618;#628;#7451;#640;#618;#610;#7452;#7431;#65104; #7452;#628;#7431; #7448;#671;#7452;#7437;#7431; #7448;#618;#985;#7452;#7424;#628;#7451;#7431; #65109; #7456;#7439;#618;#671;#7424;#768; #671;#7431; #7451;#640;#618;#7439; #7448;#7424;#640;#1171;#7424;#618;#7451; #7448;#7439;#7452;#640; #7452;#628;#7431; #671;#7431;#7428;#7451;#7452;#640;#7431; #640;#7431;#769;#7452;ss#618;#7431; #65111;

Livre court que j'ai dévoré avec passion. Métier particulier "écrivain d'oraison funèbre". Puis il rencontre l'amour. Roman qui sous couvert d'humour et de sarcasme posé la question de l'euthanasie, du droit de choisir de mourir tout en laissant au lecteur le choix quand à la réponse. Il ouvre la voie sans orienter. A mettre entre toutes les mains, ou presque.