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Les disparus de la Cour d'Or
« Metz, septembre 1944. Josef Bürckel, haut fonctionnaire nazi, ordonne la destruction des archives allemandes ainsi que de trésors inestimables de la bibliothèque municipale.
Mai 2018. À la veille de prendre sa retraite, Michel Engberg, conservateur au musée de la Cour d’Or, à Metz, n’a jamais cru à cette destruction. Il aime rappeler qu’un fragment de manuscrit est réapparu dans une vente aux enchères en 1981. »
Metz est la ville où j’ai passé les moments les plus heureux de mon enfance. Depuis une dizaine d’années, j’ai la chance d’y vivre. Depuis, je prends plaisir à découvrir cette cité à taille humaine. À en étudier les lieux les plus secrets, ainsi que l’histoire si particulière et si riche. J’ai eu la chance d’y nouer de belles amitiés, notamment avec Philippe Brunella, directeur du Musée de La Cour d’Or. Philippe est un passionné doté d’un merveilleux talent de conteur. C’est à lui que je dois l’anecdote à l’origine de mon dernier roman.
Partir d’un fait réel et broder par-dessus une histoire enrobée de mystère et de passion est un immense plaisir pour un romancier.
Le Musée de la Cour d’Or est l’un de mes lieux préférés à Metz.
Sa collection d’objets gallo-romains, établie dans les vestiges d’un édifice thermal datant du IIè siècle, est l’une des plus riches du nord de la France. La pièce la plus étonnante et la plus mystérieuse de la période médiévale est sans conteste son plafond au bestiaire – découvert sous de faux plafonds d’une ancienne maison de chanoines, au 8 de la rue Poncelet, celui-ci donne à voir une centaine d’animaux pour la plupart fantastiques.
Le musée offre également un espace dédié à l’histoire de la communauté juive de la ville ainsi qu’une riche collection de peintures, où les artistes messins se taillent la part du lion à côté d’œuvres de Delacroix, Corot et Sargent.
Ne pas oublier le grenier de Chèvremont et sa petite cour intérieure où il fait bon musarder par beau temps.
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