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Où vivaient les gens heureux
Florence Lévy-Paoloni (traduit par)
Date de parution : 18/08/2022
Éditeurs :
10/18

Où vivaient les gens heureux

Florence Lévy-Paoloni (traduit par)
Date de parution : 18/08/2022
« Une fresque familiale tumultueuse nourrie de drames, de trahisons, d’amour et d’émotion. » Madame Figaro
Lorsque Eleanor, jeune artiste à succès, achète une maison dans la campagne du New Hampshire, elle cherche à oublier un passé difficile. Sa rencontre avec le séduisant Cam lui ouvre... Lorsque Eleanor, jeune artiste à succès, achète une maison dans la campagne du New Hampshire, elle cherche à oublier un passé difficile. Sa rencontre avec le séduisant Cam lui ouvre un nouvel univers, animé par la venue de trois enfants : la secrète Alison, l'optimiste Ursula et le doux Toby.
Comblée,...
Lorsque Eleanor, jeune artiste à succès, achète une maison dans la campagne du New Hampshire, elle cherche à oublier un passé difficile. Sa rencontre avec le séduisant Cam lui ouvre un nouvel univers, animé par la venue de trois enfants : la secrète Alison, l'optimiste Ursula et le doux Toby.
Comblée, Eleanor vit l'accomplissement d'un rêve. Très tôt laissée à elle-même par des parents indifférents, elle semble prête à tous les sacrifices pour ses enfants. Et si entre Cam et Eleanor la passion n'est plus aussi vibrante, cette vie familiale au cœur de la nature, tissée de fantaisie et d'imagination, lui offre des joies inespérées. Jusqu'au jour où survient un terrible accident...

Dans ce roman bouleversant qui emporte le lecteur des années 1970 à nos jours, Joyce Maynard relie les évolutions de ses personnages à celles de la société américaine.

« Un roman captivant. Du très grand Joyce Maynard. » ELLE
« Dense et magnifique. » Le Figaro
« Un poignant portrait de femme. Une épopée intime de notre siècle. » Le Monde
« Inoubliable. » Version Femina

Traduit de l'anglais (États-Unis) par Florence Lévy-Paoloni
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EAN : 9782264079152
Code sériel : 05792
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 600
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264079152
Code sériel : 05792
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 600
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Rominath 06/03/2023
    Un très beau portrait de femme à travers près de 5 décennies. En suivant la vie d'Eleonore, Joyce Maynard décrit la vie de couple et de famille sans complaisance. Les romans d'amour parlent toujours de la rencontre entre deux personnes, jamais à quel point c'est dur de le faire durer, à quel point les petites vexations finissent par former un grand fleuve d'amertume et de ranqueur. C'est très bien écrit, toute femme y trouvera des moments de son expérience. Mais ce roman n'est pas qu'une histoire d'amour qui se passe mal, c'est aussi un enseignement de ce qu'est l'acceptation et le pardon. C'est beau, c'est triste mais en fait ça fait du bien.
  • Billie72 23/02/2023
    J’ai adoré cette lecture, qui a parlé à mon coeur de femme, d’épouse et de Maman imparfaite. Un roman sur le temps qui passe, emportant dans son sillage espoirs et déceptions, rêves et désillusions, miracles et drames d’une vie de famille avec des enfants qui naissent, grandissent, s’épanouissent, frôlent la mort, découvrent qui ils ont envie d’être et s’émancipent, des parents qui s’aiment, s’éloignent, se séparent, se détestent et se retrouvent. Un roman sur la maternité et l’amour inconditionnel d’une mère pour ses enfants. Un roman sur la vie et ses surprises, bonnes ou mauvaises. Un roman sur le ressentiment et le pardon. Un roman ancré dans son époque et pourtant intemporel, tant les questionnements qu’il soulève sont universels. Récompensé par le Grand prix de la littérature américaine 2021, Count the ways est un récit magnifique de justesse et d’émotion, une fresque familiale douce-amère que l’on referme à regrets, avec l'impression que cette famille est un peu la nôtre.
  • edichon 21/02/2023
    Quelle belle lecture ! Ce genre de roman qui traite de la vie, la vraie. C'est incroyable de justesse, de sincérité. Fiction autobiographique dit l'autrice. Ça se sent. Ce portrait de vie de famille fait de petits instants, de grands bonheurs et de tous les séismes que l'on peut subir et traverser. Ceux qui vont nous abîmer un peu, nous façonner surtout. Ce genre d'écrit qui nous est familier tellement il peut être universel. Chacun de nous peut s'y retrouver. Un peu comme un épisode de "this is us", personne n'est ni tout blanc ou tout noir. Ils évoluent et c'est beau. Et pour reprendre les mots de Joyce Maynard : "Mon personnage principal cette fois, tout comme l'autrice qui l'a fait vivre au fil des pages, est une femme qui finalement - non sans mal - parvient à comprendre ce que signifie abandonner les vieux griefs et l'amertume. Au bout du compte, il s'agit d'un roman sur l'importance de demander et d'accorder le pardon. C'est une leçon qu'on apprend peut-être avec l'âge - une leçon inestimable, quel que soit le moment où elle est acquise. " Tout est dit ! J'en garderai une trace longtemps dans mon esprit. Merci.
  • MrSoleil 12/02/2023
    Je n'ai pas encore fini, mais je trouve que l'histoire donne envie de continuer la lecture pour découvrir la fin. Ceci dit, je suis très fâché contre Cam, et déçu d'Eleonor, même si je n'aurais pas dû l'être. Je trouve qu'Eleonor est parfois pitoyable, et Cam est très irresponsable, voire un loser. J'ai dû mal à comprendre pourquoi elle a choisi de cacher le fait que Cam s'était trompé d'elle de ses enfants. Certes, leur mariage ne marchait plus, et elle voulait les protéger. Mais au final, ce qu'elle a eu, c'est la rancune de ses enfants ingrats, surtout Allison. Être indulgent sans principe ne sert à rien, et elle avait toutes les raisons pour être en colère. Mais peut-être tout au fond, elle était toujours cassée à l'intérieur, venant d'une famille comme la sienne. Je trouve que c'était dommage pour Toby, que j'aimais bien.
  • BillDOE 08/02/2023
    Eleanor a perdu ses parents dans un accident de voiture quand elle avait une quinzaine d’années. Son talent de dessinatrice lui offre le succès et ses premiers dollars qui lui permettent d’acheter une ferme dans le New Hampshire. Lors d’une foire artisanale elle rencontre Cam avec qui elle aura trois enfants : Alison, Ursula et Toby et un arbre tricentenaire : Old Ashworthy. Joyce Maynard raconte le quotidien d’une famille d’américains moyens à travers quelques anecdotes cocasses et beaucoup de banalités soporifiques. Ce n’est pas avec une histoire comme celle-ci que l’on risque d’attraper mal à la tête. Bien évidemment il y a, noyés dans un torrent de clichés, des morceaux de vie poignants mais ça ne suffit pas pour faire de ce roman un page-turner, rendre cette lecture addictive. L’auteure ne nous épargnera pas certains poncifs du « wokisme » avec Alison qui découvre que ses parents se sont trompés et l’ont conçue avec un vagin et non pas avec une bite (quelle étourderie !) et ceux du féminisme avec Cam, le mâle dilettante, artiste et profiteur, qui ne participe pas aux tâches ménagères et vit sur le dos de son épouse (Oui mais l’amour absout de beaucoup de choses et... Eleanor a perdu ses parents dans un accident de voiture quand elle avait une quinzaine d’années. Son talent de dessinatrice lui offre le succès et ses premiers dollars qui lui permettent d’acheter une ferme dans le New Hampshire. Lors d’une foire artisanale elle rencontre Cam avec qui elle aura trois enfants : Alison, Ursula et Toby et un arbre tricentenaire : Old Ashworthy. Joyce Maynard raconte le quotidien d’une famille d’américains moyens à travers quelques anecdotes cocasses et beaucoup de banalités soporifiques. Ce n’est pas avec une histoire comme celle-ci que l’on risque d’attraper mal à la tête. Bien évidemment il y a, noyés dans un torrent de clichés, des morceaux de vie poignants mais ça ne suffit pas pour faire de ce roman un page-turner, rendre cette lecture addictive. L’auteure ne nous épargnera pas certains poncifs du « wokisme » avec Alison qui découvre que ses parents se sont trompés et l’ont conçue avec un vagin et non pas avec une bite (quelle étourderie !) et ceux du féminisme avec Cam, le mâle dilettante, artiste et profiteur, qui ne participe pas aux tâches ménagères et vit sur le dos de son épouse (Oui mais l’amour absout de beaucoup de choses et surtout rend con(ne)). Le tout est astucieusement enveloppé d’écologie domestique (Bien sûr, ils ont un potager !) et ne sont pas des consommateur hystériques (Normal, ils n’ont pas de pognon !). Franchement ! avec un titre aussi accrocheur, on aurait pu s’attendre à quelque chose de beaucoup plus prenant ! Et puis il y a l’accident de Toby… Et le roman de Joyce Maynard prend une autre tournure, moins mièvre… Traduction de Florence Lévy-Paoloni. Editions Philippe Rey, 10/18, 591 pages.
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