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Une adolescence américaine
Simone Arous (traduit par)
Date de parution : 07/05/2015
Éditeurs :
10/18

Une adolescence américaine

Simone Arous (traduit par)
Date de parution : 07/05/2015
1972, Joyce Maynard, dix-huit ans, témoigne de sa génération dans le New York Times. J.D. Salinger, de trente-cinq ans son aîné, lui écrit. Très vite, elle quitte l'université pour aller... 1972, Joyce Maynard, dix-huit ans, témoigne de sa génération dans le New York Times. J.D. Salinger, de trente-cinq ans son aîné, lui écrit. Très vite, elle quitte l'université pour aller vivre chez lui. Durant leur liaison orageuse, elle donne suite à cet article et raconte avec une désarmante maturité : la... 1972, Joyce Maynard, dix-huit ans, témoigne de sa génération dans le New York Times. J.D. Salinger, de trente-cinq ans son aîné, lui écrit. Très vite, elle quitte l'université pour aller vivre chez lui. Durant leur liaison orageuse, elle donne suite à cet article et raconte avec une désarmante maturité : la guerre du Vietnam, Woodstock, la télévision et la minijupe, l’(in)égalité des sexes, les prom nights – une jeunesse américaine, dans un monde en mutation. Mêlant mémoires, histoire culturelle et critique sociale, Joyce Maynard signe un document intime et universel, passionnant.
 
« Une adolescence américaine est une (re)plongée dans l'esprit des sixties. À la fois "morceau d'histoire culturelle" et "tranche de nostalgie". » Le Monde
 
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Simone Arous

 
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EAN : 9782264062239
Code sériel : 4826
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 264
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264062239
Code sériel : 4826
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 264
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • manonlitaussi 17/05/2019
    Joyce Maynard raporte dans ce petit récit son adolescence de 1957, ses 12 ans à son entrée en faculté. A 18 ans elle a écrit au directeur du New York Times pour lui proposer des articles. Cet audace a été le premier pas vers son succès littéraire. Mais Joyce Maynard écrivait déjà depuis longtemps puisqu’elle a commencé, dès le CM2, à  écrire des textes pornographiques pour ses camarades avides de connaissances sur le sexe. S’il s’agit bien de sa génération, celle dans laquelle elle s’est fondue,  dont elle parle, a lucidité avec laquelle elle aborde son vécu, me l’a présentée comme un peu extérieur à ce monde ou est-ce déjà la preuve de toute l’intelligence de ce texte. Elle nous livre les coquetterie, les premiers bals, l’introduction des fast food, de la mal bouffe, les différentes modes, les drogues, l’apparition des jeux télévisés ajoutant de la futilité En fond, de nombreuses références aux évènements qui ont marqué les années 60 à 70 : les Kennedy, Woodstock, l’apparition du mot “pollution”. J’ai aimé les références à la grande histoire en arrière plan pour nous situer dans le temps et attirer notre intêret .
  • Sevlipp 13/08/2018
    Ce roman est un livre de souvenir d’une jeune fille de 19 ans sur son enfance et son adolescence. Quelle maturité. Les interrogations sur la vie sont toujours d’actualité. C’est bien écrit et la période de fin des années 60, début des années 70 aux USA est propices aux anecdotes.
  • saphoo 08/03/2018
    Heureusement qu'il y a la préface réécrite par l'auteure en 2012, elle nous éclaire bien sur la teneur des écrits qui suivent. Il faut bien comprendre qu'elle était très jeune quand on lui a commandé ce livre : écrire sur les adolescents de l'époque. J'ai trouvé ce récit très américain, forcément, on retrouve presque des clichés de ce que nous de l'autre côté de l'océan pouvons connaitre par la TV ou le cinéma. Ma fois, j'ai apprécié me plonger dans les années 70. Pour un premier livre, j'ai ressenti une certaine maturité dans le style, une jolie plume prometteuse. Vu que je n'ai rien lu d'autre que ce présent roman, je pense pourvoir tenter d'autres titres dont qui m'attend quelque part sur mes étagères.
  • MAPATOU 26/01/2017
    Alors qu’elle était étudiante en première année à l’université de Yale, Joyce Maynard fit preuve de beaucoup de culot (ou d’insouciance). Elle adressa une lettre au directeur du New York Times dans laquelle elle lui proposait un article relatant la manière de vivre des jeunes de sa génération. Nous sommes alors en 1971. Contre toute attente, sa proposition fut retenue et le prestigieux journal lui commanda l’article. Peu de temps après sa publication, Joyce Maynard reçut une lettre du célèbre auteur de « L’attrape-coeurs » : J.D. SALINGER himself. Son existence en fut transformée puisqu’elle partagea sa vie pendant un certain temps malgré la grande différence d’âge les séparant. C’est pendant cette période qu’elle a rédigé « Une adolescence américaine » qui est en quelque sorte un prolongement de l’article du New York Times. Ce qui est « amusant » avec ce livre, c’est que l’auteure en nous parlant d’elle, nous fait revivre notre propre adolescence. J’ai retrouvé au fils des pages mes propres doutes, peurs, complexes, les relations avec les autres adolescents pas toujours évidentes. Je suis pourtant un petit peu plus jeune qu’elle, je n’ai pas grandi aux Etats-Unis mais dans l’Est de la France mais je suis revenue, à sa lecture, en arrière et ai mesuré ce qui avait changé en moi. C’est un exercice troublant. Alors qu’elle était étudiante en première année à l’université de Yale, Joyce Maynard fit preuve de beaucoup de culot (ou d’insouciance). Elle adressa une lettre au directeur du New York Times dans laquelle elle lui proposait un article relatant la manière de vivre des jeunes de sa génération. Nous sommes alors en 1971. Contre toute attente, sa proposition fut retenue et le prestigieux journal lui commanda l’article. Peu de temps après sa publication, Joyce Maynard reçut une lettre du célèbre auteur de « L’attrape-coeurs » : J.D. SALINGER himself. Son existence en fut transformée puisqu’elle partagea sa vie pendant un certain temps malgré la grande différence d’âge les séparant. C’est pendant cette période qu’elle a rédigé « Une adolescence américaine » qui est en quelque sorte un prolongement de l’article du New York Times. Ce qui est « amusant » avec ce livre, c’est que l’auteure en nous parlant d’elle, nous fait revivre notre propre adolescence. J’ai retrouvé au fils des pages mes propres doutes, peurs, complexes, les relations avec les autres adolescents pas toujours évidentes. Je suis pourtant un petit peu plus jeune qu’elle, je n’ai pas grandi aux Etats-Unis mais dans l’Est de la France mais je suis revenue, à sa...
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  • Chatdebibliotheques 05/01/2017
    Un livre assez intéressant, décousu, j'ai aimé le recul que prend l'auteure dans la préface
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