Doggy bag, la série littéraire en six saisons débutée par Philippe Djian en 2005,est sur le point de s'achever.C'est avec une impatience fébrile et un léger pincement au cœur que...
Doggy bag, la série littéraire en six saisons débutée par Philippe Djian en 2005,est sur le point de s'achever.C'est avec une impatience fébrile et un léger pincement au cœur que les fidèles attendent le dernier opus de ce récit aux rebondissements toujours plus insensés. Récompensée par le prix Vaudevilleen2007,plébiscitée par...
Doggy bag, la série littéraire en six saisons débutée par Philippe Djian en 2005,est sur le point de s'achever.C'est avec une impatience fébrile et un léger pincement au cœur que les fidèles attendent le dernier opus de ce récit aux rebondissements toujours plus insensés. Récompensée par le prix Vaudevilleen2007,plébiscitée par la critique et les lecteurs, en passe d'être adaptée pour le petit écran et déjà disponible en coffret poche chez 10/18, la saga du clan Sollens est un succès qui a fait de nombreux adeptes. Six livres en trois ans ! Mais quel est le secret de Philippe Djian ? Une discipline au long cours – dont l'intensité n'a jamais faibli – pour une expérience d'écriture hors norme.
À chaque saison sa température. Cette fois, Noël approche ainsi que le mariage tant attendu d'Édith et de Marc. Tandis qu'une chape de neige et un froid polaire s'abattent anormalement sur la ville, la famille Sollens vaque à ses occupations comme si tous ces signes de dérèglement climatique n'indiquaient pas le déclin manifeste de notre civilisation… Mais attention au retour de bâton : toute histoire a une fin, et celle-ci promet d'être explosive…
http://philippedjian.free.fr
À propos de Doggy bag, saison 5
« Le rythme implacable est toujours là, et la folie des personnages grandissante. »
Géraldine Sarratia, Les Inrockuptibles
« Ce qui garde le lecteur en haleine, cest le swing de Djian, avec ce jeu de jambes qui fait quaucun personnage nest jamais au repos. »
François Vey, Le Parisien
À propos de Doggy bag, saison 4
« En attendant Godot de Beckett adapté comme une série télévisée, dans le style des Sopranos. Sauf que la littérature est au rendez-vous...»
Yann Plougastel, Le Monde 2
« Djian touche parfois à la grâce, quand bien même, on le sait, il est là pour samuser, et nous aussi. Et cest réjouissant au point dattendre avec fébrilité la saison 5. Djian tient son rythme, sa narration et on en redemande. »
Raphaëlle Leyris, Les Inrockuptibles
« Djian fait uvre de superbe littérature. Non seulement il crée un monde qui bruit de violences, de passions, il invente une histoire haletante qui brasse mythes et archétypes, psychanalyse et politique, mais il métamorphose en verbe haut en rythmes, en pulsions, en couleurs, cet étonnant chaos familial, conjugal, humain. »
Fabienne Pascaud, Télérama
« Cette saison 4 fait encore monter la température. Âmes prudes ou sensibles, sabstenir. »
Didier Jacob,Le Nouvel Observateur
« Faites confiance au métier de Djian, on ne sennuie pas. »
Gilles Martin-Chauffier, Paris Match
« Philippe Djian, ça se médite aussi. »
François Vey, Le Parisien.
Àpropos de Doggy bag, saison 3
« Djian récidive dans sa fausse série télé mais vraie littérature
Le lecteur de ce roman, écrit en saisons, est réduit à ronger son frein, à trépigner en attendant la suite. »
Raphaëlle Leyris, Les Inrockuptibles
« Farfelu, déjanté, Djian écrit fort bien et son feuilleton a trouvé la bonne cadence . On en redemande avec plaisir. »
André Rollin, Le Canard enchaîné
« Philippe Djian désire prendre des risques autant dans le fond que dans la forme. Son style préfère frôler des ravins plutôt que de chausser des patins. »
Marie-Laure Delorme, Le Journal du Dimanche.
« Si Doggy bag est si réussi, cest parce quon y trouve les codes des séries télé filiations secrètes, municipalités véreuses, accidents naturels et dautres moins
appliqués aux obsessions de Philippe Djian : femmes au physique de Jennifer Lopez, amours physiques et fiévreuses, et toujours des histoires deau peur, noyades, etc. Bref du concentré de Djian sur un rythme denfer. »
Olivia de Lamberterie, Elle
« Avec une justesse émouvante, il poursuit une uvre véritable, en forme de mode demploi à lusage de lhumanité du bout de la rue. En ce domaine Djian est tout simplement le meilleur. »
Myriam Anderson, Le Figaro Magazine