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Dune - Tome 4 : L'Empereur-Dieu de Dune - Édition collector
Irène Langlet (préface de), Serge Lehman (postface de), Guy Abadia (traduit par)
Collection : Ailleurs et Demain
Date de parution : 09/06/2022
Éditeurs :
Robert Laffont

Dune - Tome 4 : L'Empereur-Dieu de Dune - Édition collector

Irène Langlet (préface de), Serge Lehman (postface de), Guy Abadia (traduit par)
Collection : Ailleurs et Demain
Date de parution : 09/06/2022
Le quatrième volet de l’épopée la plus fascinante de toute la science-fiction moderne.
Une édition collector avec préface d'Irène Langlet, postface de Serge Lehman et traduction révisée.
Plusieurs millénaires se sont écoulés sur Arrakis. Leto Atréides, fils de l’Empereur Paul-Muad’Dib, a consenti à une terrible métamorphose pour rester en vie. C’est d’une main de fer qu’il dirige... Plusieurs millénaires se sont écoulés sur Arrakis. Leto Atréides, fils de l’Empereur Paul-Muad’Dib, a consenti à une terrible métamorphose pour rester en vie. C’est d’une main de fer qu’il dirige son empire .
Siona, une Atréides elle aussi, fomente une rébellion pour mettre fin à sa tyrannie, ignorant qu’elle fait partie...
Plusieurs millénaires se sont écoulés sur Arrakis. Leto Atréides, fils de l’Empereur Paul-Muad’Dib, a consenti à une terrible métamorphose pour rester en vie. C’est d’une main de fer qu’il dirige son empire .
Siona, une Atréides elle aussi, fomente une rébellion pour mettre fin à sa tyrannie, ignorant qu’elle fait partie intégrante des plans du despote.
Le Sentier d’Or que Leto appelle de ses voeux se paiera au prix fort.
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EAN : 9782221263174
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 576
Format : 135 x 210 mm
EAN : 9782221263174
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 576
Format : 135 x 210 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Minimalou 02/05/2023
    J'avance tranquillement mais surement dans la saga Dune avec ce 4ème tome qui signe un tournant dans l'univers de Frank Herbert. Mis dans ma PAL d'avril pour le lire dans le cadre d'avril autour de la SF organisé par Céline, j'ai pris un plaisir énorme à me replonger dans cette série littéraire archi connue et surtout reconnue par les amateurs du genre. Ce 4ème tome divise les avis, considéré par certains comme le meilleur, par d'autres comme trop long et trop verbeux. De mon côté, j'ai adoré! Je ne peux pas dire si ce tome est le meilleur de la saga ou pas, car pour moi il est dans un style à part des 3 premiers. Il commence un nouveau cycle, l'histoire se déroule des millénaires après le début du cycle. Paul, Jessica, Shani and co sont depuis longtemps disparu et nous nous retrouvons dans la tête de Leto II, fils de Paul Atréides devenu alors une espèce de créature mi-ver des sables, mi-humain, plutôt très ver des sables et plus très humain... ou pas. L'intéret de toute l'histoire réside justement dans le fait d' apprendre à plongée en profondeur dans l'esprit de celui-ci et de comprendre tout ce qui fait que... J'avance tranquillement mais surement dans la saga Dune avec ce 4ème tome qui signe un tournant dans l'univers de Frank Herbert. Mis dans ma PAL d'avril pour le lire dans le cadre d'avril autour de la SF organisé par Céline, j'ai pris un plaisir énorme à me replonger dans cette série littéraire archi connue et surtout reconnue par les amateurs du genre. Ce 4ème tome divise les avis, considéré par certains comme le meilleur, par d'autres comme trop long et trop verbeux. De mon côté, j'ai adoré! Je ne peux pas dire si ce tome est le meilleur de la saga ou pas, car pour moi il est dans un style à part des 3 premiers. Il commence un nouveau cycle, l'histoire se déroule des millénaires après le début du cycle. Paul, Jessica, Shani and co sont depuis longtemps disparu et nous nous retrouvons dans la tête de Leto II, fils de Paul Atréides devenu alors une espèce de créature mi-ver des sables, mi-humain, plutôt très ver des sables et plus très humain... ou pas. L'intéret de toute l'histoire réside justement dans le fait d' apprendre à plongée en profondeur dans l'esprit de celui-ci et de comprendre tout ce qui fait que Dune est devenue Arrakis et qu'elle n'a plus rien à voir avec la planète que l'on connaissait. L'eau est revenue, les Fremen ne sont plus (ou alors si ils sont toujours mais leur nouveau nom Fremen de musée dit tout de leur statut), le Bene Gesserit, les Tleilax, les Ixiens essayent tant bien que mal de tirer leur épingle du jeu mais les grandes maisons ont quasiment tout disparue. Dans ce grand chamboulement, et devant la tyrannie de Leto, seul Idaho, des milliers d'années plus tard reste, et surtout reste le même. Bref pour ma part je n'irai pas jusqu'au coup de coeur mais clairement ma lecture était tellement excellente que j'ai filé dès ce matin acheté le tome 5 "Les hérétiques de Dune" pour continuer cette cultissime saga.
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  • Felina 21/04/2023
    « L'empereur-dieu de Dune » est le 4ème opus paru dans cette splendide édition collector, après « Dune », « Le messie de Dune » et « Les enfants de Dune ». c'est un univers dense et complexe de lutte de pouvoir, et même si ce n'est pas un genre que j'affectionne particulièrement, c'est un classique de la SFFF. Dans ce cycle maintenant devenu culte, Franck Herbert joue avec des thématiques puissances comme le pouvoir ou encore la religion, et sa réflexion n'est pas dénuée d'intérêt. Tout est sous contrôle. Plusieurs millénaires se sont écoulés, et Leto est toujours au pouvoir. Métamorphosé, il exerce sa tyrannie pacifiste. Ses fièles lui obéissent aveuglément. Pourtant les évènements grondent, malgré sa prescience, les tensions se multiplient. Des personnes proches du pouvoir rêvent de rébellion comme la belle Siona, descendante de Ghani. Leto, malgré ses sacrifices parviendra-t-il à conserver cet équilibre artificiel ? Encore une fois, les avis sont très partagés. Il y a les fans absolus, ceux qui détestent et enfin les derniers qui essayent de comprendre la pépite qui se cache derrière cette œuvre. Le personnage de Leto est fascinant, même si le lecteur ne ressent que peut d'empathie pour lui. Il... « L'empereur-dieu de Dune » est le 4ème opus paru dans cette splendide édition collector, après « Dune », « Le messie de Dune » et « Les enfants de Dune ». c'est un univers dense et complexe de lutte de pouvoir, et même si ce n'est pas un genre que j'affectionne particulièrement, c'est un classique de la SFFF. Dans ce cycle maintenant devenu culte, Franck Herbert joue avec des thématiques puissances comme le pouvoir ou encore la religion, et sa réflexion n'est pas dénuée d'intérêt. Tout est sous contrôle. Plusieurs millénaires se sont écoulés, et Leto est toujours au pouvoir. Métamorphosé, il exerce sa tyrannie pacifiste. Ses fièles lui obéissent aveuglément. Pourtant les évènements grondent, malgré sa prescience, les tensions se multiplient. Des personnes proches du pouvoir rêvent de rébellion comme la belle Siona, descendante de Ghani. Leto, malgré ses sacrifices parviendra-t-il à conserver cet équilibre artificiel ? Encore une fois, les avis sont très partagés. Il y a les fans absolus, ceux qui détestent et enfin les derniers qui essayent de comprendre la pépite qui se cache derrière cette œuvre. Le personnage de Leto est fascinant, même si le lecteur ne ressent que peut d'empathie pour lui. Il concentre tous ces efforts sur sa vision peu importe les moyens pour y parvenir. Malgré son règne tyrannique, les sacrifices qu'il a fait pour l'humanité (vraiment ?) et la transformation qu'il a subit font de lui une personne très solitaire, éloignée de toutes relations humaines. Comment maintenir éternellement son joug dans ces cas-là ? Les chapitres s'enchaînent dont certains plus passionnants que d'autres. les rivalités se réveillent. Par contre, en plus de découvrir de nouveaux personnages comme Siona, il est tout de même rassurant (ce n'est pas le bon terme, mais l'idée est là) de croiser quelqu'un de connu. Duncan, enfin, son clone est toujours présent, malgré les années. L'ancien guerrier est toujours proche de l'empereur, mais sa façon de voir les choses ne concorde plus du tout avec celle de Leto II. Il réprouve totalement son despotisme, pourtant il a de tout temps été loyal envers la famille régnante. Il vit un cruel conflit de conscience.
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  • Zehisus 04/04/2023
    Comme pour chaque livre, la seule question qui subsite une fois la lecture achevée est de savoir s'il m'a suffisamment plu, interpellé, questionné ou émerveillé pour que je souhaite me replonger un jour dedans et parcourir une nouvelle fois ses pages. La réponse est oui, même si le roman le plus profond de la saga est aussi le plus dense et le plus sibyllin
  • Lucl 05/03/2023
    Un plaisir de renouveau ! Après plus de 2 mois, c’était un plaisir de lecture et un renouveau dans cette série. En effet les Enfants de Dune m’avait dans l’ensemble plu. Cependant un aspect notamment fantastique m’avait sorti de l’histoire: avec les pouvoirs qu’obtiens Leto II en fusionnant avec les truites des sables. Dans ce tome nous nous retrouvons plusieurs millénaires après la fin des Enfants de Dune. J’ai eu la sensation de découvrir un monde familier mais que je n’aurais pas vue depuis longtemps et je trouve ce côté très réussi. Une redécouverte de Dune qui donne un vent de fraicheur à la saga. Le personnage central de Leto est absolument intriguant et totalement ambigu. Sa transformation en ver et la description qu’en fait Herbert est je trouve entre fascinant et glaçant. On retrouve une inéluctabilité et un plan bien rôdé par le fils de Muad’Dib: le sentier d’or. Je recommande fortement se tome surtout si comme moi le précédent m’a quelque peut frustré. Au final un vrai plaisir qui se rapproche de la découverte et de l’intéret du 1er Tome mais qui reste toutefois pour moi le meilleur tome pour le moment.
  • arcade_d 02/01/2023
    La tragédie de Léto, re-voir, re-lire, le re-tour du « re » Pour la 13ème fois je termine la tragédie de Léto II de Franck Herbert à travers « Les enfants de Dune » et l’Empereur Dieu de Dune ». J’entends la question : 13ème fois ? Pourquoi ? Comme la tragédie de Paul dans « Dune » et le « Messie de Dune », c’est une tragédie. Qui ne va pas revoir « Phèdre » ou « Roméo et Juliette » au théâtre sous prétexte qu’il l’aurait vu précédemment ? La réponse est dans la mise-en-scène, lale metteureuse en scène. Un·e lecteuriste est également un·e metteureuse en scène de ses propres lectures. Iel n’est spectateuriste réellement que dans le souvenir de sa lecture. (Aller, j’arrête avec l’inclusif qui pourtant est nécessaire et je vais plutôt utiliser le féminin qui représente la majorité des lectrices.) Relire c’est faire l’expérience de sa propre évolution en tant que metteuse en scène, de faire l’expérience de ses propres transformations. Relire est un acte de foi. C’est faire confiance à ses propres métamorphoses et d’être capable d’accepter le constat de ses propres changements intérieurs par la nouvelle mise-en-scène qui va surgir à la re-lecture. C’est accepter de s’aventurer sur une... La tragédie de Léto, re-voir, re-lire, le re-tour du « re » Pour la 13ème fois je termine la tragédie de Léto II de Franck Herbert à travers « Les enfants de Dune » et l’Empereur Dieu de Dune ». J’entends la question : 13ème fois ? Pourquoi ? Comme la tragédie de Paul dans « Dune » et le « Messie de Dune », c’est une tragédie. Qui ne va pas revoir « Phèdre » ou « Roméo et Juliette » au théâtre sous prétexte qu’il l’aurait vu précédemment ? La réponse est dans la mise-en-scène, lale metteureuse en scène. Un·e lecteuriste est également un·e metteureuse en scène de ses propres lectures. Iel n’est spectateuriste réellement que dans le souvenir de sa lecture. (Aller, j’arrête avec l’inclusif qui pourtant est nécessaire et je vais plutôt utiliser le féminin qui représente la majorité des lectrices.) Relire c’est faire l’expérience de sa propre évolution en tant que metteuse en scène, de faire l’expérience de ses propres transformations. Relire est un acte de foi. C’est faire confiance à ses propres métamorphoses et d’être capable d’accepter le constat de ses propres changements intérieurs par la nouvelle mise-en-scène qui va surgir à la re-lecture. C’est accepter de s’aventurer sur une nouvelle création ayant pour base la même chorégraphie des mots. Je suis un grand digresseur et mes re-lectures bien souvent entraine cette qualité (?) de la digression. L’oraison carmélite est un acte de Foi. Elle demande de faire le silence de l’âme pour vivre l’expérience de la relation amicale avec Dieu. Cette rencontre est intérieure et digressive. La digression est un chemin doré qui permet de ne jamais rester sur une idée fixe, un problème à résoudre par des mots ancrés. Non l’oraison est comme la danse, le Keiko du Kendo ou une partie de jeu de rôle autour de la table avec des joueuses. La Danse, plus particulièrement la Danse contemporaine qui ne se fixe pas comme la danse classique ou se veut spectaculaire comme les Streets Danses, explore en utilisant et créant un langage non verbal, un langage sacré qui s’aborde par la relation, par la notion de sujet et pas celle d’objet, par la relation subjective et pas l’observation objective, un langage sacré qui provoque une ouverture mystérieuse et profonde chez les danseuses en même temps que les spectatrices. Léto II. Léto est l’Empereur Dieu. Il est Empereur tenant par ses décisions et son armée si particulière le pouvoir temporel, il est Dieu tenant la puissance éternelle qui exige de son armée d’apprendre à Danser, la danse de la vie, celle toujours inattendue. Il existe et en même temps « était-sera » pour construire le chemin doré, le sentier d’or, la voie de la digression permanente qui ouvre sur l’immortalité de la vie et l’éternité de nos vies, il nous y invite aussi à danser sur cette route en participant à sa création. Voilà mon RE-DUNE pour la 13ème fois (j’attends avec impatience la sortie des deux derniers tomes, la tragédie du Bene Gesserit dans la collection ailleurs et demain). Je vous invite à vivre l’expérience du « re » comme revoir « sur la route de Madison » revoir les chorégraphies de Pina Bausch ou Dominique Bagouet et Anne Teresa De Keersmaeker et à voir de la danse contemporaine à vous inscrire à du kendo ou tout art martial et à pratiquer le jeu de rôle. Relisez, empruntez ce sentier d’or. Et si vous le pouvez, poser un acte de foi, priez… Bonne vie à vous tous. ========================================== Critique de la 12ème lecture de 2018 « En fait, le souvenir ne libère rien du tout. Sans l'angoisse spirituelle, qui est une expression non verbale, il ne peut y avoir de signification nulle part. » L'Empereur Dieu de Dune est un chef d’œuvre ! Un chef d’œuvre littéraire. Herbert nous convie à un voyage dans une histoire écrite avec des mots, et qui, sublime paradoxe, illustre la pauvreté des mots pour décrire le réel. Décrire le réel ? Décrire le réel, avec des mots ? Avec tous les mots de toutes les langues de notre histoire humaine ? Cela reste-t-il une supercherie ? le REEL de l'univers, du Cosmos et même au-delà (ce qui n'est ni « ici », ni « là ») refuse de se laisser enfermer dans des mots et dans leur significations réduite, local en temps et en espace. Et pourtant, humains que nous sommes nous cherchons un Sens ! « Dieu » est un mot ! Mais Non-Dieu est également un mot ! Lire le cycle de Dune, et parvenir au coeur de celui-ci, au plus profond, avant de remonter vers sa reconstruction, c'est vivre une expérience. Vivre un Mystère. Il n'y a pas de secret dans l'empereur Dieu de Dune. Un secret est une information qui est caché qui sous-entend qu'il y a une vérité à découvrir ! Non, il n'y a pas de secret ! Il n'y a pas de problème à résoudre dans l'univers, car il n'y a pas de solution ultime de l'ingénieur qui puisse nous sauver. Il y a un mystère ! Oui, il y a un mystère. Et c'est un mystère porté par des mots est une expérience non verbale qui est à vivre. Nous sommes tous à chercher le sens. le sens de la flèche du temps qui va quelque part. Leto, Enfant et Dieu fait le don d'aimer au-delà de tout et de garder le souvenir de tous les choix que nous n'avons pas fait afin de nous offrir alors le sens que nous cherchons temps, une cible à notre flèche. Car à chaque instant nous vivons l'expérience de vivre avec un corps animé par un psyché qui tente d'ouvrir la porte de l'esprit ! Nous vivons en 2019, 40 ans après l'écriture de l'Empereur Dieu de Dune, nous vivons un temps ou les universitaires en science humaine et sociale nous ânonnent à l'unisson de Nietzsche « Dieu est mort » ! Et Nietzsche devint Fou ! Et nous le voyons ce monde, nous le voyons sombrer dans l'hédonisme le plus crasse, le plus trivial. Un monde où nous en venons à confondre Cupidité (cupidon) et Amour, Intelligence (capacité à relier la matière et l'esprit) et Calcul (Combien cela me rapporte t'il ?) Divertissement et quo-naissance. Un monde, où nous finissons par nous laisser nous même calculer par tout les algorithmes de nos frères ingénieurs, à la capacité de calcul importante mais à l'esprit totalement muré. le Jihad Butlérien risque un jour de nous devenir une nécessité, si nous voulons avoir un « à venir » ! Même en votant, en ces temps d'élection Européenne, on ne fait que vouloir résoudre un problème de calcul, on ne vit pas l'expérience de l'esprit qui passe par le coeur ! L'empereur n'autoriserait pas le mensonge de la démocratie. Voter ne sera possible que lorsque nous aurions atteint la maturité de ne plus être calculable, par aucun algorithme et aucun Scientiste. Vivre n'est pas un divertissement ! Lire le cycle de Dune de Herbert n'est pas un divertissement ! Herbert n'est pas Asimov. Non dieu n'est pas mort, il nous attend depuis toujours et pour l'éternité avec seulement son Amour (Agapè, ni éros, ni Philia) ! Ne lisez pas l'Empereur Dieu de Dune : Relisez-le !
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