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Elle s'appelait Sarah
Agnès Michaux (traduit par)
Date de parution : 09/06/2022
Éditeurs :
Editions Héloïse D'Ormesson

Elle s'appelait Sarah

Agnès Michaux (traduit par)
Date de parution : 09/06/2022
À l’occasion de la commémoration du 80ème anniversaire de la rafle du Vel d’Hiv (les 16 et 17 juillet 1942) et suite au succès de ce roman devenu une référence, nous publions une nouvelle édition de Elle s’appelait Sarah, agrémentée d’une postface inédite par Héloïse d'Ormesson, qui revient sur cette extraordinaire aventure éditoriale qui s'est écrite dans la joie et l'effroi.
Paris, 2002. Julia Jarmond, journaliste américaine, est chargée de couvrir la commémoration du Vél d’Hiv. Découvrant avec horreur le calvaire de ces familles juives qui furent déportées à Auschwitz, elle... Paris, 2002. Julia Jarmond, journaliste américaine, est chargée de couvrir la commémoration du Vél d’Hiv. Découvrant avec horreur le calvaire de ces familles juives qui furent déportées à Auschwitz, elle s’attache au destin d’une fillette et mène l’enquête au péril de ce qu’elle a de plus cher.
Paris, 16 juillet 1942....
Paris, 2002. Julia Jarmond, journaliste américaine, est chargée de couvrir la commémoration du Vél d’Hiv. Découvrant avec horreur le calvaire de ces familles juives qui furent déportées à Auschwitz, elle s’attache au destin d’une fillette et mène l’enquête au péril de ce qu’elle a de plus cher.
Paris, 16 juillet 1942. À l’aube, la police française fait irruption dans l’appartement des Starzynski. Affolée, Sarah, dix ans, enferme son petit frère dans une cachette en lui promettant de revenir le chercher. Mais elle fait partie des quatre mille enfants raflés ce jour-là.
 
Elle s’appelait Sarah ne craint pas de s’attaquer à une page sombre de l’histoire française.
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EAN : 9782350878164
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 368
Format : 140 x 205 mm
EAN : 9782350878164
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 368
Format : 140 x 205 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • briochine74 15/03/2024
    J'ai beaucoup aimé ce livre, l'écriture sans rentrer dans le "pathos" raconte avec justesse les horreurs inavouables de la guerre. La part de responsabilité de tous ceux qui ont laissé faire, qui ont fermé les yeux et décidé de plus en parler. Les dégâts des secrets de famille qui une fois connu font exploser la cellule familiale. Bref un très beau livre sur le devoir de mémoire
  • hmurgia 08/03/2024
    Julia, journaliste franco-américaine de 45 ans, vit depuis 20 ans à Paris où elle s’est mariée avec Bertrand et a eu une fille, Zoë. Ils doivent prochainement s’installer dans l’ancien appartement de Mamé, la grand-mère de Bertrand, en plein travaux. Pour les 60 ans de la rafle du Vel d’hiv, Julia est envoyée faire un article sur ce sujet qu’elle ignore totalement. Mamé, un peu confuse, lâche quelques mots à propos des Juifs qui vivaient avant elle dans son appartement..Son beau-père va lui avouer alors avoir croisé la petite Sarah venue rechercher son frère…En parallèle de ce récit, c’est celui à la 3e personne de Sarah, de ces jours au Vel d’hiv puis à Beaune qui ont bouleversé sa vie…Un roman captivant qui, s’il n’a peut-être pas une rigueur historique totale, permet néanmoins de se faire une idée du sort des juifs français menés à la mort par la police française, que ce soit à Paris ou dans les camps.
  • Le_Baron 06/03/2024
    Mais quelle histoire !!!! J’en suis tout retourné. Dans ce livre, il y a tout… La cruauté, la souffrance, la culpabilité, les secrets de famille, le suspens, l’émotion, l’amour, la tendresse et j’en passe… L’histoire alterne entre la jeunesse de Sarah pendant la seconde guerre mondiale et celle de Julia, journaliste, qui va enquêter sur la rafle du Vel d’Hiv. Son enquête va bouleverser sa vie et celle de deux familles. Je me suis tellement attaché aux personnages… J’étais le spectateur de leurs histoires… Il m’a semblé vivre leurs drames avec eux… Je n’imagine pas la difficulté qu’a dû avoir l’auteure pour écrire certains passages. Même si c’est une histoire fictive, elle est basée sur des faits réels et elle aurait pu exister pour de vrai. La montée émotionnelle est d’une telle puissance quand les deux histoires se rejoignent qu’il m’a été difficile de retenir mes larmes. D’ailleurs, l’émotion est restée bien présente jusqu’au dénouement qui m’a laissé un sentiment d’apaisement. À la fin, toutes les émotions que j’ai subi en lisant ce livre se sont envolées. Il ne me reste plus qu’à visionner le film et je vous conseille vivement de lire cette histoire qui aura marqué mon esprit à jamais. Un gros coup de cœur !!!! Tatiana rentre directement dans mon panthéon des auteurs préférés avec cette magnifique histoire. Mais quelle histoire !!!! J’en suis tout retourné. Dans ce livre, il y a tout… La cruauté, la souffrance, la culpabilité, les secrets de famille, le suspens, l’émotion, l’amour, la tendresse et j’en passe… L’histoire alterne entre la jeunesse de Sarah pendant la seconde guerre mondiale et celle de Julia, journaliste, qui va enquêter sur la rafle du Vel d’Hiv. Son enquête va bouleverser sa vie et celle de deux familles. Je me suis tellement attaché aux personnages… J’étais le spectateur de leurs histoires… Il m’a semblé vivre leurs drames avec eux… Je n’imagine pas la difficulté qu’a dû avoir l’auteure pour écrire certains passages. Même si c’est une histoire fictive, elle est basée sur des faits réels et elle aurait pu exister pour de vrai. La montée émotionnelle est d’une telle puissance quand les deux histoires se rejoignent qu’il m’a été difficile de retenir mes larmes. D’ailleurs, l’émotion est restée bien présente jusqu’au dénouement qui m’a laissé un sentiment d’apaisement. À la fin, toutes les émotions que j’ai subi en lisant ce livre se sont envolées. Il ne me reste plus qu’à visionner le film et je vous conseille vivement de lire cette histoire qui aura marqué mon esprit à jamais....
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  • tienstiensolivier 28/02/2024
    Ah! Les aprioris, quand ça vous tient... Ben oui, un bouquin écrit par une "de Rosnay". Tu vois ce que je veux dire? Tu la connais cette famile toujours dans la vague. le clan de Rosnay, ce clan "Paris Match", tellement "people" ... qui connaissent tous l'art de séduire les médias. Qui se sont tous retrouvés un jour ou l'autre dans les studios de radio, sur les plateaux de télévision, dans des reportages sur papier glacé des magazines... pour leur vision ou leurs réussites. Chez les de Rosnay, le quart d'heure de célébrité warholien dure depuis plus d'un demi-siècle. Joël, Arnaud, héros de la planche à voile, Jenna, reine du surf et des maillots de bain et mannequin et puis, Tatiana, auteure de "Elle s'appelait Sarah". Pardon pour cette longue introduction mais voilà, avec ce patronyme un peu trop célèbre, je ne m'attendais pas du tout à une si belle lecture, si profonde, si intense. Parce que oui, c'est un bon livre, c'est un beau roman, c'est une belle histoire... (Ouste Michel, on ne parle pas de toi). Même si ce livre ressemble à certains égards à un témoignage, il n'en est rien. Il s'agit bien ici d'une fiction. Une histoire à double narration où il est question de deux familles liées par un secret (évidemment) dont je ne dévoilerai rien. Il y est beaucoup question de culpabilité, de non-dits et de ce fameux devoir de mémoire. Parce que, un été 42, il y a eu l'opération "Vent Printanier". C'est joli comme nom, non? Ça sonne bien. Et donc là, tout comme Tatiana de Rosnay je me questionne un peu. Ça signifie quoi ce devoir de mémoire? Parce que lorsqu'on regarde le monde, je me dis que le devoir de mémoire, se souvenir pour que ça n'arrive plus jamais, ça ne fonctionne pas très bien. Il en faudra combien des plaques commémoratives? Et à combien d'endroits du monde? Et des témoins en juillet 2042, pour aller raconter dans les écoles, y'en aura plus et je doute fort que le monde sera en paix. Alors il restera les livres, peut-être? Y'en aura-t-il, une plaque commémorative à Gaza et au kibboutz de Réïm? Je crois cependant que ce devoir de mémoire est important, très important même. Mais voilà, je m'interroge. Ah! Les aprioris, quand ça vous tient... Ben oui, un bouquin écrit par une "de Rosnay". Tu vois ce que je veux dire? Tu la connais cette famile toujours dans la vague. le clan de Rosnay, ce clan "Paris Match", tellement "people" ... qui connaissent tous l'art de séduire les médias. Qui se sont tous retrouvés un jour ou l'autre dans les studios de radio, sur les plateaux de télévision, dans des reportages sur papier glacé des magazines... pour leur vision ou leurs réussites. Chez les de Rosnay, le quart d'heure de célébrité warholien dure depuis plus d'un demi-siècle. Joël, Arnaud, héros de la planche à voile, Jenna, reine du surf et des maillots de bain et mannequin et puis, Tatiana, auteure de "Elle s'appelait Sarah". Pardon pour cette longue introduction mais voilà, avec ce patronyme un peu trop célèbre, je ne m'attendais pas du tout à une si belle lecture, si profonde, si intense. Parce que oui, c'est un bon livre, c'est un beau roman, c'est une belle histoire... (Ouste Michel, on ne parle pas de toi). Même si ce livre ressemble à certains égards à un témoignage, il n'en est rien. Il s'agit bien ici d'une fiction. Une histoire à double narration où...
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  • philippedester 23/02/2024
    En me tendant ce livre, mon père m'a dit : "A lire en priorité". Qu'avait-il donc le paternel, lui qui lit 2-3 livres par semaine et n'exprime jamais ses sentiments? Qu'avait-il donc de si extraordinaire ce livre de Tatiana de Rosnay? Intrigué, j'ai donc, sans tarder, ouvert "Elle s'appelait Sarah" pour m'y plonger avec délectation. Sarah est une petite fille comme les autres, insouciante, joyeuse, pleine de vie jusqu'au jour où on tambourine à la porte de son appartement. Nous sommes en juillet 1942, Sarah n'a pas peur. Les hommes qui entrent chez elle ne sont pas des Allemands. Ce sont des Français qui les emmènent ses parents et elle. Elle n'a donc rien à craindre. Toutefois, elle veut mettre son petit frère à l'abri et le cache dans un placard qu'elle ferme à clef. Mais la famille ne sera pas libérée. Ils seront enfermés tous les trois au Vélodrome d'hiver avec des milliers de personnes qui portent une étoile jaune sur la poitrine. Sarah ne comprend pas, elle doit rentrer chez elle, elle l'a promis à son petit frère, elle va revenir bientôt...mais des gens en ont décidé autrement. Les jours passent, Sarah pense sans cesse à son petit frère. Des trains emmènent tous ces gens pour une destination inconnue. Les familles sont séparées, des gens meurent, des enfants meurent, Sarah doit s'échapper, elle doit absolument sauver son frère. Mais ne sera-t-il pas trop tard? Parallèlement à cette histoire douloureuse, on trouve celle de Julia Jarmond, journaliste américaine vivant à Paris. Nous sommes en juillet 2002, on s'apprête à commémorer le 60ème anniversaire de la rafle du Vel d'Hiv et c'est Julia qui est chargée d'écrire un article pour son journal. Julia va donc enquêter et c'est elle qui découvre la vie de la petite Sarah et sa douloureuse histoire. Elle se sent tellement concernée par l'histoire de la petite fille (d'autant que sa belle-famille n'est pas étrangère à tout ça) que sa vie même sera changée. L'histoire de ces 2 familles est décrite avec beaucoup de sensibilité par Tatiana de Rosnay.Un livre bien écrit, facile à lire mais poignant, pour ne pas oublier, à lire en priorité! En me tendant ce livre, mon père m'a dit : "A lire en priorité". Qu'avait-il donc le paternel, lui qui lit 2-3 livres par semaine et n'exprime jamais ses sentiments? Qu'avait-il donc de si extraordinaire ce livre de Tatiana de Rosnay? Intrigué, j'ai donc, sans tarder, ouvert "Elle s'appelait Sarah" pour m'y plonger avec délectation. Sarah est une petite fille comme les autres, insouciante, joyeuse, pleine de vie jusqu'au jour où on tambourine à la porte de son appartement. Nous sommes en juillet 1942, Sarah n'a pas peur. Les hommes qui entrent chez elle ne sont pas des Allemands. Ce sont des Français qui les emmènent ses parents et elle. Elle n'a donc rien à craindre. Toutefois, elle veut mettre son petit frère à l'abri et le cache dans un placard qu'elle ferme à clef. Mais la famille ne sera pas libérée. Ils seront enfermés tous les trois au Vélodrome d'hiver avec des milliers de personnes qui portent une étoile jaune sur la poitrine. Sarah ne comprend pas, elle doit rentrer chez elle, elle l'a promis à son petit frère, elle va revenir bientôt...mais des gens en ont décidé autrement. Les jours passent, Sarah pense sans cesse à son petit frère. Des trains emmènent tous ces gens pour...
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