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Sulak
Date de parution : 22/08/2013
Éditeurs :
Julliard

Sulak

Date de parution : 22/08/2013

Aucun romancier n’aurait pu inventer un personnage aussi fascinant que celui de Bruno Sulak. Tout au long des années 80, ses braquages audacieux et ses évasions répétées – sans la...

Aucun romancier n’aurait pu inventer un personnage aussi fascinant que celui de Bruno Sulak. Tout au long des années 80, ses braquages audacieux et ses évasions répétées – sans la moindre effusion de sang – ont défrayé la chronique judiciaire. Ancien légionnaire, parachutiste émérite, charmeur, généreux et intègre, follement épris...

Aucun romancier n’aurait pu inventer un personnage aussi fascinant que celui de Bruno Sulak. Tout au long des années 80, ses braquages audacieux et ses évasions répétées – sans la moindre effusion de sang – ont défrayé la chronique judiciaire. Ancien légionnaire, parachutiste émérite, charmeur, généreux et intègre, follement épris de liberté, Bruno Sulak a marqué les mémoires avec ses casses spectaculaires. Pendant dix ans ce jeune homme a défié les lois de la République, s’est joué du système carcéral, a bravé l’ensemble d’une société contre laquelle il était entré en guerre à force d’injustices, aux côtés de Steve, son ami et complice, et de Thalie, grande et belle brune, son amour hors la loi. Aussi fulgurante que rocambolesque, son existence s’est achevée sur un point d’interrogation : une mort dans des circonstances obscures qui suscite encore la polémique.
Aucun autre romancier que Philippe Jaenada, doté d’un humour irrésistible, d’un style inimitable et d’une tendresse non dissimulée pour ses personnages, n’aurait pu s’emparer de la vie mouvementée de Bruno Sulak et retracer avec autant de talent ce temps où les gangsters avaient encore du panache.

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EAN : 9782260020592
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 496
Format : 1 x 225 mm
EAN : 9782260020592
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 496
Format : 1 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • marclouiselie 16/03/2024
    C’est un comble : nous en arrivons à trouver sympathique « le héros » qui commet tant de forfaits. Tout le talent de l’auteur qui une fois encore nous fait rentrer avec lui dans l’intimité du gangster. L’on sentait poindre la richesse prochaine du « au printemps des monstres ». Bravo, un grand moment !
  • Choupy 21/02/2024
    Ce livre m'a été offert par un ami . Pour lui, ce fut un coup de cœur qu'il voulait me faire partager. En effet, il m'a fait découvrir l'histoire palpitante de Bruno Sulak, étant née dans les années 80, je ne connaissais absolument pas cet homme qui a fait de nombreux braquages de supermarché pour après finir par braquer des bijouteries. Notamment la plus mémorable celle de Cartier où il a pris possession de la fameuse panthère. Je m'attendais à un bijou telle qu'une bague, un collier... Au final c'est un briquet représentant une panthère faite avec différentes pierres, donc unique. Bruno sulak était une personne assez brillante, qui avait déjà de nombreuses facultés étant enfant, puisse qu'il était plus intelligent que la norme et s'ennuyait en classe. Il fait des rencontres, pas forcément terribles dans les quartiers de Marseille. Mais il arrive à se reprendre et part pour être légionnaire. Malheureusement, suite à une visite chez ses parents qui ne devait avoir lieu, il déserte la légion malgré lui... De la s'ensuit ses nombreux périples où l'on ressent cette force de liberté, de faire ce qu'il a envie, ce qui lui plaît. Il arrive à faire tout ceci sans blesser, ni hausser la voix, ni effrayer les personnes qui ont été prises en otage. Il est même le Robin des Bois des supermarchés puisque après ses hold-up il déchire les chèques afin que les personnes puissent bénéficier de leurs courses gratuitement. En ce qui concerne les bijouteries, je suis plutôt assez étonné du directeur de Cartier qui lors d'une interview incite plus ou moins Bruno Sulak a continué, puisque tout ce qui a été volé est bien sûr pris en compte par les assurances donc aucune perte pour eux. Bruno sulak est plutôt très apprécié en règle générale puisque c'est un homme simple, gentil, intelligent, et qui ne veut absolument faire aucun mal à qui que ce soit. Je suis assez admirative du travail que Philippe Jaeneda a effectué pour ce roman. Je ne connaissais pas cet auteur, et ce roman se compose comme une sorte de reportage que j'aurais pu regarder à la télévision (notamment "faite entrer l'accusé"). Il donne son avis, se situe lui-même dans le temps lors des événements de Bruno sulak. J'ai trouvé ces parallèles assez bien posées dans l'ensemble et la chronologie des événements très bien faite. J'ai eu également beaucoup d'affections pour la famille car quoi qu'il arrive elle est toujours là pour lui. Elle n'est pas mise à la noce mais tient le choc et ne dénigrera jamais leur fils ni leurs frères. Thalie quant à elle fut vraiment l'amour de sa vie. L'auteur l'ayant retrouvé pour écrire ce livre lui a fait remémorer ces années. Celle-ci vit maintenant en Amérique mais on constate que Bruno sulak était lui aussi l'amour de sa vie. Ils étaient complémentaires. J'ai aimé connaître la vie de cet homme qui fut quand même exceptionnel et qui aurait mérité une autre fin que celle qu'il a eu. Sa mort restera toujours une intrigue. Est-il mort suite de sa chute? Ou est-il mort suite aux coups des agents pénitenciers ? Pourquoi la porte était-elle fermée? Était-ce un guet-apens ? Plein de questions restent en suspens sur cette mort tragique...Ce livre m'a été offert par un ami . Pour lui, ce fut un coup de cœur qu'il voulait me faire partager. En effet, il m'a fait découvrir l'histoire palpitante de Bruno Sulak, étant née dans les années 80, je ne connaissais absolument pas cet homme qui a fait de nombreux braquages de supermarché pour après finir par braquer des bijouteries. Notamment la plus mémorable celle de Cartier où il a pris possession de la fameuse panthère. Je m'attendais à un bijou telle qu'une bague, un collier... Au final c'est un briquet représentant une panthère faite avec différentes pierres, donc unique. Bruno sulak était une personne assez brillante, qui avait déjà de nombreuses facultés étant enfant, puisse qu'il était plus intelligent que la norme et s'ennuyait en classe. Il fait des rencontres, pas forcément terribles dans les quartiers de Marseille. Mais il arrive à se reprendre et part pour être légionnaire. Malheureusement, suite à une visite chez ses parents qui ne devait avoir lieu, il déserte la légion malgré lui... De la s'ensuit ses nombreux périples où l'on ressent cette force de liberté, de faire ce qu'il a envie, ce qui lui plaît. Il arrive à faire tout ceci sans blesser,...
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  • MalouD 01/11/2023
    Moi meme issue de ces annees la, je n'avais pas le souvenir en tout cas aussi "romanesque" des turpitudes et aventures de ce bandit inclassable. Jaenada m'a permis de me remémorer d une manière humoristique et historique les évènements de cette époque. Son récit s 'adresse au lecteur avec tout du long des clins d'œil d'écrivain et de conteur. Cette vie romancée et subjective ( un peu) même s il nous narre pragmatiquement les faits n'est pas dénuée cependant de la vue de l'auteur qui ne s 'en cache pas , porte une véritable admiration ou plutôt "subjugation " à son sujet... C'est frais, fantaisiste , et plein de transfert!!!! chouette!
  • MaggyM 13/10/2023
    J'aime tant les livres de Philippe Jaenada que je m'y engouffre sans vraiment regarder de quoi ça parle. Bruno Sulak était inconnu au bataillon chez moi et sous la plume de l'auteur j'ai découvert un cambrioleur certes, mais rendu tellement attachant que je me suis surprise à souhaiter une autre fin à l'histoire qui pourtant est écrite depuis presque 40 ans. Comme d'habitude, on sent que Jaenada s'est hyper documenté et surtout, ici, qu'il a recueilli des témoignages de première main d'une partie des protagonistes. Il ressuscite Bruno Sulak pour quelques heures. Ce jeune homme qui n'était pas fait pour vivre dans notre société telle qu'elle est. Il a alors brûlé la chandelle par les deux bouts, a pris d'énormes risques, parfois inconsidérés et à risqué sa liberté à chaque instant pour être libre. Plus intelligent que la moyenne, quand on voit ce qu'il a réussi à organiser, combien de braquages il est parvenu à réaliser avec succès, sans une goutte de sang, sans une blessure... Je ne peux m'empêcher de me demander ce qu'il aurait été capable de faire dans d'autres registres, si certains chemins n'avaient pas été pris au début de sa vie d'adulte, s'il avait fait d'autres choix, s'il avait rencontré les bonnes personnes.... Surnommé le gentleman cambrioleur, celui qui déchirait les chèques volés pour que les clients aient leurs courses gratuites, celui qui partageait sans compter avec ses amis, était loyal, plus intègre que ceux qui tentaient de le capturer, avait de belles valeurs... Oui, décidément, ce jeune homme était attachant et finalement, sa droiture dans son modèle force presque le respect. Surtout quand on met ses actions en miroirs avec les truands qui sillonnaient les routes de France à la même époque, mise en perspective dont ne se prive pas l'auteur. Et que dire du "système" des bijouteries ou des assurances qui rachetaient les butins, quand elles n'étaient pas le commanditaire du casse... Comme attendu, Jaenada explique, raconte, et surtout, il commente, il décortique, il s'interroge... Et on ne peut que constater que l'attitude des forces de l'ordre, à plusieurs moments, semble quand même bien disproportionnées. Sans parler de toutes les zones d'ombre qui entachent la fin de l'histoire. Ah, si Bruno Sulak, qui avait commencé à écrire en prison, avait eu le temps de nous proposer lui-même sa biographie, que n'aurait-il pas pu nous raconter? J'aime tant les livres de Philippe Jaenada que je m'y engouffre sans vraiment regarder de quoi ça parle. Bruno Sulak était inconnu au bataillon chez moi et sous la plume de l'auteur j'ai découvert un cambrioleur certes, mais rendu tellement attachant que je me suis surprise à souhaiter une autre fin à l'histoire qui pourtant est écrite depuis presque 40 ans. Comme d'habitude, on sent que Jaenada s'est hyper documenté et surtout, ici, qu'il a recueilli des témoignages de première main d'une partie des protagonistes. Il ressuscite Bruno Sulak pour quelques heures. Ce jeune homme qui n'était pas fait pour vivre dans notre société telle qu'elle est. Il a alors brûlé la chandelle par les deux bouts, a pris d'énormes risques, parfois inconsidérés et à risqué sa liberté à chaque instant pour être libre. Plus intelligent que la moyenne, quand on voit ce qu'il a réussi à organiser, combien de braquages il est parvenu à réaliser avec succès, sans une goutte de sang, sans une blessure... Je ne peux m'empêcher de me demander ce qu'il aurait été capable de faire dans d'autres registres, si certains chemins n'avaient pas été pris au début de sa vie d'adulte, s'il avait fait d'autres...
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  • JLBlecteur 27/08/2023
    Comme toujours, Jaenada nous exhibe sa magnifique verve, incomparable, si belle, si puissante et si pénétrante, aussi bien pour servir le sujet phare de son ouvrage que pour nous inviter subrepticement à entrer dans son intimité par digressions entendues comme il aime tant à le faire. C’est sa patte, mais pas de mouche, l’écriture est fascinante. Il use (mais sans en abuser) de comparaisons aussi saugrenues que croquignolesques, ce qui lui confère un style propre et léger, voire un rien décalé, quelque soit le propos abordé, aussi désopilant, sordide ou délicat soit-il (ici, ce sera, par exemple le corps d'un légionnaire empalé sur des pieux de bambou en Indochine versus des olives sur un cure-dents. Il faut oser, Jaenada ne s’en prive pas et c’est tant mieux pour nous, on s'en régale (pas de ce qui reste sur le cure-dents (berk)))! J'ai déjà lu ‘la petite femelle', ‘la serpe' et ‘au printemps des monstres'. ‘Sulak' trépignait d’impatience de ses petits bras musclés (et moi, et moi, et moi !!) que je veuille bien me plonger dans les pages de son histoire, c’est donc chose faite et avec quelle délectation (Miamm)! Plus qu’un ‘simple' travail de biographe, celui de Jaenada prend la forme d'une véritable enquête d’investigation. Il fouille et trifouille (parfois secoue les nouilles) et se dépatouille de toutes les archives mises à sa disposition pour y débusquer la vraie vérité véritable, allant jusqu’à pointer d'un doigt rageur les erreurs parfois absurdes qu’il a pu découvrir dans les livres ou articles paru précédemment (y a des journalistes, je vous jure…(clin d'œil à Noël Mamaire)) Remontant jusqu’à la génération du grand père de son sujet (qui a le verbe haut), il analyse les faits (et gestes) qui peuvent expliquer le parcours criminel de Sulac, décortique avec minutie, tel un vautour sa charogne purulente, les informations qu’il exhume à la faveur d'une pugnacité redoutable mise au service de ses recherches passionnées (et passionnantes). Il va gratter jusqu’à l'os (et on ne dit pas hélas) pour en extraire la substantifique moelle et offrir à son récit épique une charpente assurée qui saura reconstituer l’époque (souvent opaque) ou se déroulent les faits (pas toujours marrainés par les fées). Ici donc, c’est Sulac. Bruno Sulac, qui avait fait tourner les rotatives dans les années 70/80 pour des faits de banditisme dont il est un des maitres étalons, appelé même ‘ennemi numéro un' dans certains journaux. Dans la famille, nous connaîtrons le grand-père puis le père avant de rencontrer le fils, un kéké marseillais dont l’intelligence exceptionnelle n'a pas été décelée suffisamment tôt, et qui, du coup, c'est emm…dé sérieux sur les bancs de la communale qu'il s’est empressé de déserter sitôt l’occasion présentée. Et comme le dit l'illustre et célébrissime proverbe ancien (que j'invente à l'instant) ‘qui déserte une fois, de remettre le couvert ne se privera’, il reprendra la clé des champs mais sans entonner ‘tiens voila du boudin’ puisque ce chant est celui de la légion dont il se sent étranger. C’est son père, également ancien légionnaire qui en fera, du boudin, et sa mère un sang d'encre (relation de cause à effet) de le savoir en rupture de ban avec les bérets verts.  Alors, avec la cavale il convole mais pour des noces barbares comme dirait Queffelec qui, breton, n’a rien à voir avec cette histoire typiquement marseillaise et s'en retrouve fanny (mais ne renie pas gnôle (marcel) et autres breuvages alcoolisés pour autant mais ça, c’est un autre pastis). Seulement, pour s’assurer une bonne cavale, il faut des pépettes. Alors il s'en trouve une, de pépette, qui se prénomme Thalie et ensemble ils se font les supermarchés mais en passant plutôt par les caisses centrales et surtout leurs coffres forts que par les caisses ordinaires, de peur, sans doute, de se laisser tenter par les confiseries et autres chewing-gum qui y attendent le chaland (on veut garder la ligne, tout de même et passer dans son maillot !) La randonnée des french Bonnie Clyde a commencé comme a démarré la saison de la chasse à l’homme dont la cible principale  est Bruno Sulac qui n'a absolument pas l’intention de retourner au gnouf dont il s'est déjà fait la belle (‘qui déserte une fois, de remettre le couvert ne se privera »). Trépidant, foisonnant, aussi documenté qu'un rapport d’inspecteur des impôts tatillon (pléonasme) venant de d’entériner un redressement fiscal, le récit nous emporte à fond la caisse (de supermarché) dans le sillage mouvementé de ce Robin des bois contemporain qui avait dans son code d’honneur de ne surtout ôter la vie à personne (même en Harlay-Davisson, on a ses principes quand même). On voyagera de Marseille à Paris en passant par toutes les moyennes bourgades pourvues d'un Carrefour, Mammouth ou autre Cora susceptible de se laisser arracher son chiffre d’affaires à la moustache (on est fin 70/début 80) des convoyeurs de fonds (qui en perdent la forme) et au blues des gyrophares des 4L Renault (Ta ta tin). C’est ‘la belle vie' comme le chantait Sacha, la flambe, le Palace, l'Aventure, les BM, le bling-bling du début des années 80, Stéphanie de Monaco… Ils font le paon ! Seulement, la maison poulaga, derrière ses rideaux vénitiens planquée, ne cherche qu'à leur voler dans les plumes (de paon) mais eux ne sont pas pressés ni de tâter du Manurhin F1/X1 ni de s’endormir dans du grillage à poules et continuent de voler (tous sens confondus) de leurs propres ailes, libres comme des gipsys ! Volare, oh, oh ! Cantare, oh, oh, oh, oh ! Nel blu dipinto di blu Felice di stare lassù… Jusqu’au jour où (parce qu’il y a toujours un jourou) les flics se montreront les plus intelligents (à la grande stupéfaction de certains incrédules qui lisent cette chronique). Alors, alors…bin alors raconte (chante le chœur antique). Va-t-il se laisser plumer comme une pintade aux hormones et finir en cordon (de flics) bleu, va-t-il se refaire la belle et se retaper sa belle (« qui déserte une fois, de remettre le couvert ne se privera’), va-t-il, comme ET téléphoner maison avant de s’envoler dans son aéronef  ??? Et non, et non, la suite est dans le bouquin qui nous tient en forte haleine (comme un bon vieux maroilles fermier) en nous narrant, ce qui n’est pas marrant, la case prison par laquelle passe Sulak pour n’avoir pas respecté les règles du jeu de loi. A l'instar de son oncle Tom, finira-t-il dans sa case? fera-t-il un double six pour recommencer la partie ? ou les dés sont-ils définitivement pipés et sa pépée pleurera-t-elle son amour perdu au soleil couchant ? Je ne piperai mot,  pour ma part. Seule la lecture du ‘Sulac’ de Jaenada vous le dira et je suis certain que vous succomberez au charme du style de l'auteur comme j'y ai succombé moi-même il y a quelques années déjà grâce à sa ‘petite femelle’ qui, aussi, permettait de s’émerveiller de sa verve magnifique !Comme toujours, Jaenada nous exhibe sa magnifique verve, incomparable, si belle, si puissante et si pénétrante, aussi bien pour servir le sujet phare de son ouvrage que pour nous inviter subrepticement à entrer dans son intimité par digressions entendues comme il aime tant à le faire. C’est sa patte, mais pas de mouche, l’écriture est fascinante. Il use (mais sans en abuser) de comparaisons aussi saugrenues que croquignolesques, ce qui lui confère un style propre et léger, voire un rien décalé, quelque soit le propos abordé, aussi désopilant, sordide ou délicat soit-il (ici, ce sera, par exemple le corps d'un légionnaire empalé sur des pieux de bambou en Indochine versus des olives sur un cure-dents. Il faut oser, Jaenada ne s’en prive pas et c’est tant mieux pour nous, on s'en régale (pas de ce qui reste sur le cure-dents (berk)))! J'ai déjà lu ‘la petite femelle', ‘la serpe' et ‘au printemps des monstres'. ‘Sulak' trépignait d’impatience de ses petits bras musclés (et moi, et moi, et moi !!) que je veuille bien me plonger dans les pages de son histoire, c’est donc chose faite et avec quelle délectation (Miamm)! Plus qu’un ‘simple' travail de biographe, celui de Jaenada prend la forme d'une véritable enquête d’investigation....
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