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Militante, star internationale, sorcière, reine, pionnière du féminisme, résistante… Pure fiction ou portrait romancé, notre sélection de 17 livres vous fera découvrir des héroïnes fortes et inspirantes.
Mais dans cette Amérique du tournant du xxe siècle, tenue d’une main de fer par une bourgeoisie vieillissante sûre de ses privilèges, quelle place pour une femme, certes ambitieuse mais roturière ?
Le mariage, d’abord. À force de manigances, Alva épouse un héritier Vanderbilt et s’assure ainsi une fortune colossale.
L’image, ensuite. Invitations fastueuses, bals extravagants, Alva ne recule devant rien. Et tant pis pour celles qui ne voient en elle qu’une cocotte parvenue.
La couronne, enfin. Alva va trouver sur son chemin la reine de la ruche, celle qui fait et défait les réputations, adoube ou exclut selon son bon plaisir : Caroline Astor.
Pendant trente ans, les deux femmes vont se livrer une guerre qui deviendra légendaire. Et façonner au passage une figure plus moderne de la femme, plus émancipée, capable de s’assumer seule dans le monde, en dehors d’un riche époux volage.
Un roman sur la quête fascinante de Romy, celle d’une artiste et d’une femme.
Traduit de l’allemand par Astrid Monet.
Mary se lance alors dans un récit aussi ardent que vivant – l’histoire d’une vraie combattante, d'une aventurière et d'une amante. L’histoire de Mary Wollstonecraft, pionnière du féminisme et mère de Mary Shelley, l'auteure de Frankenstein. Une femme méconnue, à mettre en lumière de toute urgence…
« Le chagrin, ma douce enfant, te mettra à genoux, encore et encore, mais la beauté et l’amour aussi. Suffisamment pour te permettre de te relever, d’essayer encore, de vivre comme chaque être vivant le voudrait : libre. »
Mars 2017. Mathilde, en couple avec Aurélien, rencontre la belle Alix. Dans ses bras, elle s’abandonne à son désir et s’enivre d’une liberté nouvelle. Mais bientôt la question de la maternité s’impose et pousse Mathilde à s’interroger.
Avec ce premier roman au croisement de l’intime et du politique, Pauline Gonthier entremêle deux trajectoires de femmes qui retracent l’évolution des luttes féministes depuis cinquante ans
Mais quand s'ouvre un immense procès pour sorcellerie à Pendle, tous les regards se tournent vers Alice, accusée comme tant d'autres femmes érudites, solitaires ou gênantes. Fleetwood fera tout pour arracher, coûte que coûte, sa bienfaitrice à la potence…
Coco va alors se lancer corps et âme dans cette folle aventure afin de rendre un hommage éternel à l'homme perdu. Sa persévérance va l'aider à repousser ses limites et à revenir peu à peu parmi les vivants. Tout en donnant naissance à une des plus belles créations de la parfumerie, le Chanel N°5...
Cette femme au parcours hors du commun rêvait de devenir mannequin chez Lanvin : la voici nue devant l’objectif de Man Ray, en robe de soirée récitant les poèmes de Cocteau, ou ivre de bonheur au bras de son amant, l’aviateur Jean Mermoz.
Après la guerre, après la fête, elle choisit la Provence pour ses vieux jours, et le monde l’oublie peu à peu.
Charlotte Duthoo fait entendre à nouveau la voix si particulière de Suzy Solidor et retrace ce destin unique, emporté par le tourbillon des amours et celui des arts. Un portrait de femme qui est aussi celui d’une époque éprise de liberté.
Installée aux États-Unis, elle rencontre le directeur de la MGM et devient sous ses mains Hedy Lamarr, superstar hollywoodienne. Malgré le faste et les mondanités, elle ne peut cependant oublier l'Europe et décide de contribuer à sa façon à l'effort de guerre. Grâce à son intelligence et avec l'aide d'un musicien, elle conçoit un système de codage des transmissions révolutionnaire – technologie qui sera à l'origine, entre autres, du Wifi et de nos téléphones portables. Mais comment accorder le moindre crédit scientifique à la plus belle femme du monde, d'origine autrichienne de surcroît ?
Dans ce récit à la première personne, Marie Benedict redonne vie à une femme hors du commun, dont le plus grand rôle fut oublié, voire ignoré, durant des décennies...
PRESSE :
«...une lecture digne de cette femme magnifique et talentueuse. » New York Journal of Books
« L'histoire captivante d'une femme complexe, d'une pionnière. » Kirkus Reviews
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Valérie Bourgeois
En 1920, dans une France ravagée par la guerre, Mlle Papillon est envoyée par la Croix-Rouge dans un dispensaire à Vraignes-en-Vermandois. Alors qu’elle tente d’accomplir sa mission, la vision des enfants qui succombent dans la rue l’obsède. Une ambition se forme et prend bien-tôt toute la place: elle doit bâtir une maison pour les protéger. Lorsqu’elle franchit le seuil de la sublime abbaye de Valloires, Mlle Papillon est convaincue d’approcher son rêve...
Et pourtant je m’élève, son troisième opus publié en 1978, demeure l’un de ses plus emblématiques. Composé de 32 poèmes, divisés en trois parties, il révèle une Maya Angelou dans sa pleine maturité poétique, tour à tour sentimentale ou engagée, évoquant aussi bien des motifs intimes (l’amour, la maternité, la famille), que les thèmes ouvertement politiques (les difficultés de la vie urbaine, la maltraitance, la drogue, le racisme du vieux Sud). Ce qui caractérise sa voix est une détermination sans faille à surmonter les épreuves, quelle qu’elles soient, et la confiance, la force, la fierté qu’elle puise dans son identité de femme noire. Si Maya Angelou réjouit le lecteur d’aujourd’hui, c’est parce que son sens de la provocation et de la formule ne se départit jamais d’humour et ne verse jamais ni dans le désespoir, ni le communautarisme ou la haine de l’autre. Elle est cette femme phénoménale dont le poème éponyme brosse le portrait, et nous enjoint de le devenir à notre tour :
Je dis,
C’est le feu dans mes yeux,
Et l’éclat de mes dents,
Le swing de mes hanches,
Et la gaieté dans mes pieds.
Je suis une femme
Phénoménalement
Femme phénoménale
C’est ce que je suis.
Mais les faits sont là : c'est par la poésie que Margaret Atwood est entrée en littérature au début des années 1960. Et elle n'a jamais cessé d'écrire de la poésie. De se référer à la poésie. D'habiter le monde en poète.
Circé et autres poèmes de jeunesse rassemble dix années de création poétique. Dix années d'éclosion, qui précèdent et accompagnent l'émergence de l'oeuvre romanesque. Dans le cycle de Circé sur lequel s'achèvent ces poèmes de jeunesse, Margaret Atwwod s'attache à la magicienne qu'Ulysse rencontre lors de son Odyssée, s'intéresse à la manière dont les femmes survivent dans les structures qui les déshumanisent. Et rêve pour elles d'un avenir meilleur. »
Bruno Doucey
« Voici un recueil de la poétesse canadienne Margaret Atwood qui saute au visage de celui qui le lit. Par ses mots, elle se saisit du parcours de Circé. Mais à sa manière : la Circé qui se dévoile ici nous semble inconnue. »
Loup Besmond de Senneville, La Croix
Grisélidis Réal, écrivaine et prostituée suisse, a fui le milieu où elle est née, bourgeois, calviniste et rigide, pour mener une vie libre. Une vie marquée par des histoires avec des hommes violents, des dizaines de milliers de relations tarifées, quatre enfants placés, des fausses couches, mais une vie illuminée par l’art et l’engagement militant au nom des travailleuses du sexe.
Poétesse magnifique, figure rebelle et courageuse, Grisélidis Réal fascine Nancy Huston qui, malgré quelques désaccords, se retrouve beaucoup en elle. À l’aune de son destin, elle questionne le sien, son rapport à la mère, aux hommes, au danger.
Véritable déclaration d’admiration, cette lettre révèle une grande artiste de la fin du XXe siècle dont la modernité de pensée annonce les débats contemporains. Un texte résolument féministe, qui interroge avec puissance le rôle du corps féminin dans l’écriture et le rapport au monde.
Née dans une famille de bourgeois intellectuels de Genève, vite orpheline de père, révoltée contre sa mère et l’éducation rigide qu’elle lui fait subir, artiste peintre, mère très jeune de quatre enfants de quatre pères différents, elle emmènera deux d’entre eux en Allemagne, illégalement, pour suivre un amant qui la mettra sur le trottoir quand ils seront tombés dans la misère…
Elle vivra encore de grandes amours, passionnelles, parfois violentes, sortira de la prostitution pour y retourner finalement de façon définitive et par conviction jusqu’à devenir dans les années 70 une porte-parole très remarquée des prostituées (dont elle défend le rôle social).
Sa vie est aussi ponctuée de séjours au sanatorium (tuberculose dans sa jeunesse), en prison (un deal de shit qui tourne mal lors des années en Allemagne), et à l’hôpital (le cancer qui l’emportera).
Ces expériences extrêmes seront le terreau de sa création poétique.
On savait que Grisélidis Réal avait fait paraître un roman, des récits, des journaux, sa correspondance avec Jean-Luc Hennig (ses œuvres sont principalement disponibles aux éditions Verticales). Mais quelques rares poèmes seulement étaient apparus au fil de certains ouvrages et dans un recueil partiel publié en suisse. Pourtant cette création poétique est peut-être son œuvre fondamentale. Du symbolisme des débuts, au « récit » poétique poignant de la prostitution ou de la lutte contre le cancer, les poèmes de Grisélidis Réal racontent une vie, avec un art et une profondeur unique quand elle parle d’amour, de sexe, de maladie, de maternité… trouvant là la plus grande beauté.
Son destin sera parachevé de façon étonnante : quatre ans après ses obsèques, sa dépouille est transférée au Cimetière des Rois à Genève (où seulement les personnalités qui ont marqué l’histoire de la ville ont leur place), entre Calvin (son ennemi préféré) et Jorge Luis Borges (son modèle poétique).
Depuis que la mer a rendu, cadavre après cadavre, tous les hommes de Vardø, les femmes du village ont pris les choses en main. La pêche. Les travaux domestiques. Mais il était dit, même aux confins du cercle polaire, qu’on ne laisserait jamais les femmes en paix. En vertu du Décret sur la sorcellerie, fraîchement entré en vigueur, il est venu du continent un pasteur étranger : Absalom Cornet, inquisiteur fanatique et chasseur de sorcières. Pour Maren, Kirsten, Ursa et les autres, toutes prisonnières chacune à sa manière, le bûcher est déjà dressé…
Ce premier roman inoubliable, qui dépeint la lutte de deux générations de femmes pour devenir elles-mêmes dans un pays en pleine désolation, annonce la naissance d’une écrivaine au talent époustouflant.
PRESSE :
« Avec Les femmes n'ont pas d'histoire, Amy Jo Burns nous met face à un environnement mystérieux et luxuriant qui semble façonner les destinées. » Elle
« Sur le thème de la difficile émancipation féminine, un premier roman époustouflant dans la tradition du grand roman américain. » L'Obs
« Amy Jo Burns explore avec finesse la bataille souvent discrète mais lumineuse des femmes pour rester en vie. » La Vie
« L'écriture est ample, puissante, et la construction, merveilleuse d'intelligence, donne envie de reprendre au début une fois parvenu à la fin. » L'Express
« Ce roman noir est un miracle. » Le Canard enchainé
« Un grand roman, fort et touchant. » La Voix du Nord
Autour de la récente sortie chez 10/18 du très beau Les femmes n’ont pas d’histoire d’Amy Jo Burns, retour sur plusieurs titres immanquables du catalogue où les personnages féminins disent leur soif de liberté et de changement. La révolution est bel et bien en marche et la littérature s’en fait un formidable vecteur.
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