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Magi - The Labyrinth of Magic - tome 06
Kayo Nishino (traduit par)
Collection : Magi - The Labyrinth of Magic
Date de parution : 08/03/2012
Éditeurs :
Kurokawa

Magi - The Labyrinth of Magic - tome 06

Kayo Nishino (traduit par)
Collection : Magi - The Labyrinth of Magic
Date de parution : 08/03/2012
Vous êtes en manque de bonnes bastons et de bons délires ? Pourquoi ne pas vous plonger dans Magi - The Labyrinth of Magic : une aventure épique au coeur des 1001 nuits !

Le pouvoir d'Ali Baba s'éveille !
Ali baba s'est enfin élevé contre le roi de son pays natal dans le but de sauver le peuple. Pour cela, il doit absolument apprendre à maîtriser son pouvoir... Quelle conséquence cela aura-t-il ?! Découvrez la véritable puissance des reliques mystérieuses !!

EAN : 9782351426791
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 192
Format : 115 x 177 mm
EAN : 9782351426791
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 192
Format : 115 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Alfaric 31/08/2015
    Dans ce tome 6 l’Arc de Baldad le dézinguage en bonnes et dues formes de l’odieuse idéologie des Chicago Boys s’amplifie carrément. Après la défaite de Judal, l’Oracle de l’Empire Kô, c’est la princesse Kougyoku Ren et ses champions hybrides qui passent à l’action. Un petit mot sur la 8e princesse de l’Empire Kô : cette bâtarde reléguée aux oubliettes aurait dû servir de chaire à canon dans les projets d’Al-Thamen... sauf qu’elle s’est émancipée par l’exercice des armes pour devenir Conquérante de Donjon. Du coup on a un personnage duale très sympathique, qui en tant que courtisane agit en caricature de midinette shojo, mais qui en tant que guerrière agit tantôt en berserker (limite psychopathe aussi gamine qu’enthousiastes). Si Sinbad use de sa royale autorité pour mettre fin aux hostilités, Aladin lui met sa vie en péril en transmettant son énergie au djinn Ugo qui a été bien au-delà de ses limites… Alors que tout le monde panse ses plaies, vu qu’au final il y eut plus de peur que de mal, c’est l’informateur des rebelles à la cour qui nous explique le triste avenir qui attend le royaume de Baldad (et oh surprise, il s’agit de SPOILER). Je ne sais pas si Shinobu Ohtaka s’inspire de l’Argentine de 2002 ou de la Grèce de 2007, mais j’en plus appris sur les rouages de l’économie mondiale dans ce manga que moult articles/thèses d’économistes ayant pignon sur rue. Les arguments du surintendant chelou sont exactement ceux que les sbires des Chicago Boys nous ressortent depuis 1973, donc c’est donc tout naturellement qu’Ahbmad Saluja après avoir pressuré sa population jusqu’au trognon décide d’optimiser les ressources humaines de son royaumes en établissement l’esclavage. Aladin dans le coma, Ali Baba ne peut se tourner vers Sinbad qui ne croit pas encore en lui, ni vers Qasim qui ne croit plus en lui. Il décide donc de tenter le tout pour le tout en inaugurant une troisième voie. Oui, cette fameuse troisième voie dont on nous rabat les oreilles depuis 20 ans mais dont on n’a toujours pas vu le bout du museau (oui le féodalisme light et le fascisme light, ce n’est pas pour moi des troisièmes voies, n’en déplaisent aux néo-cons divers et variés qui parfois se font passer pour des bobos hipsters). Le peuple de Balbad est au bord d’une insurrection de derrière les fagots, quand Ali Baba s’avance vers son destin en leur faisant une promesse solennelle : le changement c’est maintenant, autrement dit c’est la liberté, l’égalité, la fraternité ou la mort ! Un shonen fantasy consacré à la lutte des classes ? Qui l’eût cru ???Dans ce tome 6 l’Arc de Baldad le dézinguage en bonnes et dues formes de l’odieuse idéologie des Chicago Boys s’amplifie carrément. Après la défaite de Judal, l’Oracle de l’Empire Kô, c’est la princesse Kougyoku Ren et ses champions hybrides qui passent à l’action. Un petit mot sur la 8e princesse de l’Empire Kô : cette bâtarde reléguée aux oubliettes aurait dû servir de chaire à canon dans les projets d’Al-Thamen... sauf qu’elle s’est émancipée par l’exercice des armes pour devenir Conquérante de Donjon. Du coup on a un personnage duale très sympathique, qui en tant que courtisane agit en caricature de midinette shojo, mais qui en tant que guerrière agit tantôt en berserker (limite psychopathe aussi gamine qu’enthousiastes). Si Sinbad use de sa royale autorité pour mettre fin aux hostilités, Aladin lui met sa vie en péril en transmettant son énergie au djinn Ugo qui a été bien au-delà de ses limites… Alors que tout le monde panse ses plaies, vu qu’au final il y eut plus de peur que de mal, c’est l’informateur des rebelles à la cour qui nous explique le triste avenir qui attend le royaume de Baldad (et oh surprise, il s’agit de SPOILER). Je ne sais pas...
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  • Elphe07 07/04/2012
    Je souhaiterai tout d'abord remercier les éditions Kurokawa et Masse Critique de m'avoir permis de découvrir ce manga. "Magi" décrit un monde inspiré des Milles et une Nuits dans lequel des héros parcourent des labyrinthes en quête d'objets et de pouvoirs magiques. C'est du moins ce que j'en ai compris à la lecture de ce sixième tome et sans avoir lu les précédents. Je regrette à ce propos, et puisque c'était ma première immersion dans l'histoire, que ne figure pas en début de tome un résumé ainsi que la présentation des personnages principaux. J'ai donc découvert dans cette histoire Ali Baba, Sindbag ou encore Aladin, bien loin des représentations que j'en avais, mais que j'ai finalement totalement occulté en cours de lecture. Le dessin est fin et soigné et l'histoire de ce tome se concentre essentiellement sur Ali Baba, prince de Balbad, qui décide de sauver son peuple de l’esclavage. Pour cela il doit arriver à maîtriser le pouvoir de son Djinn, Amon. Une lecture plaisante qui m’emmène à vouloir lire le début de l'histoire.
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