Tarzan, poney méchant – Détective malgré moi ! – Lecture roman jeunesse humour cheval – Dès 8 ans

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• flolabbe 07/01/2024

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  Merci beaucoup à la Masse critique Babelio et aux éditions du Poulpe pour cette découverte plus que sympathique. Tartan est un poney au caractère bien trempé. Au final pas si méchant mais qui aime particulièrement se chamailler avec Polnarèfe, le bouc d’une ferme voisine. Il partage ses journées avec sa mouche, Django et adore Boulette, une fillette avec qui il partage plein de points communs. Le roman que j’ai reçu est le quatrième qui met en scène notre poney quelque peu caractériel. Il est question ici des disparitions mystérieuses des biquettes et des chevreaux de la ferme. Tartan va mener l'enquête accompagné de 2 enquêteurs nommés Ken et Barbie, et se lancer dans un périple montagnard plein de rencontres. Écrit par Cécile Alix et illustré par Chiara Baglioni, ce roman aux courts chapitres est plein d’ humour, écrit dans un style dynamique, moderne, mais qui recèle aussi plein d’informations sur la nature. Il diffuse également des messages intéressants en direction des jeunes lecteurs. Une lecture distrayante qui plaira aussi bien aux filles qu’aux garçons.
• Tyrth_Blan 29/12/2023

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  Je connaissais déjà cette série pour en avoir acheté un tome pour mon CDI. Celui-ci m'a tout autant plu ! C'est grâce à Poulpe Fictions et Babelio et sa masse critique que j'ai pu le découvrir. On y retrouve Tarzan, le fameux poney méchant, d'ailleurs plus râleur et bougon que vraiment méchant, et ses amis dans une toute nouvelle aventure. Et pas des moindres puisque Tarzan devra mener l'enquête pour retrouver les bien-aimées chèvres du bouc Polnarèfe ! Une belle morale sur la répartition des tâches et l'égalité des sexes est offerte à la fin de l'histoire ce qui m'a beaucoup plu ! La plume de Cécile Alix est toujours aussi drôle et inventive et c'était un vrai plaisir de la lire. En somme j'ai beaucoup aimé ce court roman jeunesse il ira rejoindre le premier tome sur mes étagères et il trouvera, j'en suis sûre, rapidement preneur au CDI !
• Juin 04/12/2023

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  Tarzan poney méchant je le connaissais en court roman et j'avais été conquise par ce poney au "foutu" caractère. Là ce sont 195 pages de lecture où l'on ne s'ennuie pas un instant et même pas peur d'aller jusqu'au bout pour les jeunes lecteurs tant l'histoire est bourré d'humour. Et que l'aventure est à chaque coin de page. Tarzan, le narrateur, est un poney, tourner en rond dans un manège ce n'est pas son truc. Une escapade de plus avec son fidèle ami Django, une mouche qui squatte son oreille le conduira dans une enquête improbable. Tout est improbable dans ce livre, certainement mais on se laisse emporter par la plume inventive et drôle de Cécile Alix. Le bélier s'appelle Polnarèfe quand même. J'ai bien aimé la plume, il y a du vocabulaire mais aussi une large utilisation du langage familier pour des pensées ou des échanges musclés. Tarzan est vraiment un drôle d'animal. si je ne suis pas fan des romans jeunesse autour des animaux là je suis conquise. Par la langue, par le punchline. Avec un message sur la liberté et une petite leçon pour le bélier. Mâle tout-puissant ou qui aime à le croire et le montrer. Pour les lecteurs qui aiment l'humour, les poneys, la castagne, la montagne, les enquêtes.... dès 9/10 ans. Succès garanti. "Nom d'un crottin qui pue !" Merci à masse critique et à Poulpe Fiction pour cet envoi Tarzan poney méchant je le connaissais en court roman et j'avais été conquise par ce poney au "foutu" caractère. Là ce sont 195 pages de lecture où l'on ne s'ennuie pas un instant et même pas peur d'aller jusqu'au bout pour les jeunes lecteurs tant l'histoire est bourré d'humour. Et que l'aventure est à chaque coin de page. Tarzan, le narrateur, est un poney, tourner en rond dans un manège ce n'est pas son truc. Une escapade de plus avec son fidèle ami Django, une mouche qui squatte son oreille le conduira dans une enquête improbable. Tout est improbable dans ce livre, certainement mais on se laisse emporter par la plume inventive et drôle de Cécile Alix. Le bélier s'appelle Polnarèfe quand même. J'ai bien aimé la plume, il y a du vocabulaire mais aussi une large utilisation du langage familier pour des pensées ou des échanges musclés. Tarzan est vraiment un drôle d'animal. si je ne suis pas fan des romans jeunesse autour des animaux là je suis conquise. Par la langue, par le punchline. Avec un message sur la liberté et une petite leçon pour le bélier. Mâle tout-puissant ou qui...

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• Sharon 02/12/2023

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  Voici un livre de littérature jeunesse qui ne plaira pas à tout le monde. Pourquoi ? Son héros a soif de liberté ! Oui, il est un poney, il est "poney unique", comme dans l'expression "enfant unique", et il le revendique dès le premier tome. Il veut être libre, faire ce qu'il veut, se lever, tôt, courir dans les prés, dans la nature, sans y être empêché par des barrières électriques - le contact est plutôt douloureux. Oui, la volonté d'être libre, d'être autonome aussi - et Tarzan en croisera, des animaux qui vivent en pleine nature et sont bien obligés de faire avec les ressources de leur environnement, sans se plaindre - cela peut déranger certains. Ce qui sera encore plus dérangeant, c'est le message délivré à la fin du livre : ras le bol, quand on est un personnage féminin, de devoir se coltiner tout ce qui est désagréable parce que l'on est de sexe féminin, alors que le mâle, lui, ne fait strictement rien, ne se rend pas compte du travail qui est fait à ses côtés, et est persuadé d'être totalement indispensable. Pardon ? Il n'est pas question d'humain, mais d'animaux ? Certes. Le message est cependant parfaitement clair, et le mâle en question (non, ce n'est pas Tarzan) devra se remettre en question, et vite. Moralisateur ? Non, jamais. Il montre et démontre, et, avec Tarzan en narrateur, enquêteur malgré lui, lançant sur la plus périlleuse des pistes, nous avons une bonne dose d'humour et d'aventures.Voici un livre de littérature jeunesse qui ne plaira pas à tout le monde. Pourquoi ? Son héros a soif de liberté ! Oui, il est un poney, il est "poney unique", comme dans l'expression "enfant unique", et il le revendique dès le premier tome. Il veut être libre, faire ce qu'il veut, se lever, tôt, courir dans les prés, dans la nature, sans y être empêché par des barrières électriques - le contact est plutôt douloureux. Oui, la volonté d'être libre, d'être autonome aussi - et Tarzan en croisera, des animaux qui vivent en pleine nature et sont bien obligés de faire avec les ressources de leur environnement, sans se plaindre - cela peut déranger certains. Ce qui sera encore plus dérangeant, c'est le message délivré à la fin du livre : ras le bol, quand on est un personnage féminin, de devoir se coltiner tout ce qui est désagréable parce que l'on est de sexe féminin, alors que le mâle, lui, ne fait strictement rien, ne se rend pas compte du travail qui est fait à ses côtés, et est persuadé d'être totalement indispensable. Pardon ? Il n'est pas question d'humain, mais d'animaux ? Certes. Le message est cependant...

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