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Dictionnaire amoureux du journalisme
Alain Bouldouyre (dessins de)
Date de parution : 29/01/2015
Éditeurs :
Plon

Dictionnaire amoureux du journalisme

Alain Bouldouyre (dessins de)
Date de parution : 29/01/2015
Serge July décline en 26 lettres sa passion pour "le plus beau métier du monde".
Serge July décline en 26 lettres sa passion pour "le plus beau métier du monde".

« Citizen July » est partie intégrante de notre mythologie. Fondateur et patron emblématique de Libération,...
Serge July décline en 26 lettres sa passion pour "le plus beau métier du monde".

« Citizen July » est partie intégrante de notre mythologie. Fondateur et patron emblématique de Libération, pendant 33 ans il est aussi un grand témoin de l’histoire des médias : des bidonnages au triomphe de la ...
Serge July décline en 26 lettres sa passion pour "le plus beau métier du monde".

« Citizen July » est partie intégrante de notre mythologie. Fondateur et patron emblématique de Libération, pendant 33 ans il est aussi un grand témoin de l’histoire des médias : des bidonnages au triomphe de la  communication, des nouveaux médias aux reportages qui changent les manières de penser. 
Avec naturel, simplicité et talent, ce journaliste nous raconte toutes les facettes de ce métier, depuis les origines, jusqu’aux réseaux internet.
Il évoque les figures majeures, les articles et  les grandes œuvres essentielles de l’histoire du journalisme, de Hérodote à Joseph Pulitzer, de Daniel Defoe à Gabriel Garcia Marquez, de Tintin à Curzio Malaparte,  d’Alexandre Dumas à Marguerite Duras, d’Albert Londres à Albert Camus, de John Reed à Michael Herr, de Voltaire à Emile Zola, de Robert Capa à Jean François Bizot …
 
Serge July est né en 1942. Journaliste et documentariste, il a dirigé pendant 33 ans
le quotidien Libération.
 
 
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EAN : 9782259229661
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782259229661
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • becassine84 02/03/2015
    July écrit bien. Pas de doute, mais dans ce bouquin dense (plus de 900 pages) l'autocritique est rare. Des excuses il s'en trouve beaucoup. Cette manière de justifier aujourd'hui la publication de l'article de Marguerite Duras sur la "culpabilité " de Christine Villemin laisse rêveur. Peut-on quand on à été un grand patron de presse (33 ans à la tête de Libération) s'exonérer d!avoir laissé ainsi accuser publiquement une mère sans mesurer les conséquences de cet exercice de style littéraire ? Quid de sa responsabilité ? S''il consacre de superbes articles aux moeurs actuelles et passées de la presse, je ne suis pas certaine que l'ouvrage passionne les jeunes générations. On y parle beaucoup de Beuve Mery, Capa, Cartier Besson, Lazareff, Kessel, Giroud, Víctor noir, Albert Londres, Mauriac ou Zola. Ombres tutélaires sans doute... July revendique ainsi des parrainages, des amitiés qui laissent un peu pantoise. Jean-Francois Bizot, le patron d'Actuel, doit s'en retourner dans sa tombe. July, militant maoïste, sectaire des sectaires, n'avait franchement rien de commun avec les libertaires des années 70 Comme on n'est jamais si bien servi que par soi-même il consacre 8 pages et demi à son "itinéraire d'enfant gâté"July écrit bien. Pas de doute, mais dans ce bouquin dense (plus de 900 pages) l'autocritique est rare. Des excuses il s'en trouve beaucoup. Cette manière de justifier aujourd'hui la publication de l'article de Marguerite Duras sur la "culpabilité " de Christine Villemin laisse rêveur. Peut-on quand on à été un grand patron de presse (33 ans à la tête de Libération) s'exonérer d!avoir laissé ainsi accuser publiquement une mère sans mesurer les conséquences de cet exercice de style littéraire ? Quid de sa responsabilité ? S''il consacre de superbes articles aux moeurs actuelles et passées de la presse, je ne suis pas certaine que l'ouvrage passionne les jeunes générations. On y parle beaucoup de Beuve Mery, Capa, Cartier Besson, Lazareff, Kessel, Giroud, Víctor noir, Albert Londres, Mauriac ou Zola. Ombres tutélaires sans doute... July revendique ainsi des parrainages, des amitiés qui laissent un peu pantoise. Jean-Francois Bizot, le patron d'Actuel, doit s'en retourner dans sa tombe. July, militant maoïste, sectaire des sectaires, n'avait franchement rien de commun avec les libertaires des années 70 Comme on n'est jamais si bien servi que par soi-même il consacre 8 pages et demi à son "itinéraire d'enfant...
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